Et l’être humain est appelé à l’accomplir. La vie sociale doit sa continuité par l’application du devoir qui, à mon sens, le garant exclusif de l’organisation de la société. Le devoir peut être personnel, familial et social. Or, il semble que ce mot est rejeté, n’est plus pris en considération. Qui reconnaît aujourd’hui le devoir des uns envers des autres ?
Chacun estime qu’il n’ qu’un seul devoir : être, jouir, éprouver le plaisir, exsuder, prendre, à tel point que le devoir apparaît comme une contrainte qui gêne l’existence de l’homme en société. D’abord, le devoir de l’homme envers lui-même : l’homme est appelé à s’épanouir, à aspirer à ses ambitions, tout en prenant en considération ses compétences personnelles. Ce devoir est donc sacré. Quant au devoir de l’homme envers ses semblables, quelle serait sa vie si la solitude l’écartait d’autrui, SI l’égoïsme le ronge ? Ai valeur de l’homme réside dans le fait de se sentir télé aux autres. Le devoir est le lien qui unit l’homme à ses semblables dans un cadre d’échange des responsabilités. L’intérêt d’autrui doit constamment être présent dans ses relations ce qui me paraît relativement utopique en notre temps où l’intérêt personnelle dépasse tout
Et cela conduit fatalement à la dislocation de la vie sociale et la disparition des rincées fondamentaux pour lesquels elle a été conçue. Je ne dis pas que homme doit favoriser valeureuse au détriment de ses obligations personnelles, mais j’opte pour un équilibre qui réhabilite l’homme en tant qu’un être effectivement social. Répondre en citant Liens Sponsorisés « Sujet précédent I Sujet suivant » Utilisateurs lisant actuellement ce sujet.