Si certains auteurs sont dotés d’une imagination vaste et fertile, d’autres sont obligés, pour écrire, de s’inspirer de ce qui les entoure, de leur quotidien ou de l’actualité. L’imagination ouvertes portes que l’inspiration n’ouvre pas et inversement, il s’agit de deux façons distinctes d’écrire et l’une n’est pas plus vertueuse que l’autre. De grands auteurs et écrivains n’ont pas hésité asséneriez du réel.
Prenons le cas de la fable Le curé et e mort de Jean de La Fontaine, extraite du livre VIA des Fables. Cette fable est, en réalité, inspirée d’un fait divers conté à La Fontaine parsemée de sévisse dans lequel un curé décédé tragiquement lors du transport d’un certain Monsieur de bouffées vers sa dernière demeure. Alors, comment Jean de La Fontaine transforme-t-il un si argumentation et coma le, récit avisé, ans une première on du texte ainsi que grande partie, nous lys, S. Va. Pp nées page sa versification.
ensuit subie toi eue nées page erronées portrait du curé pour donner une première conclusion qui introduira une seconde grande partie dans laquelle nous donnerons la portée générale de la fable ainsi que sa cible, car il s’agit d’instaure visant le clergé. Pour terminer, nous tenterons de
En effet, on eut facilement discerner une situation initiale, allant de la ligne 1 à 8, dans laquelle le narrateur industrialiserions en plongeant le lecteur dans le contexte. Puis, ligne 9 à 29, viennent les «perpétrés» comprenant les prières du curé (lignes 9-16), son fantasme (lignes 17-27) et l’accident du corbillard(lignes 28-29). La situation finale, lignes 30 à 34, conte le décès du curé, ce qui clos le récit et envoie ainsi sur l’élément propre à la fable : la morale valeur collective et/ou universelle….