LE CONCEPT

LE CONCEPT

Des intervenant issus de différents horizons disciplinaires et professionnels (chercheurs, élus et représentants d’institutions ui travaillent dans le domaine de l’environnement avec des entreprises) examineront ces questions. Examinons tout d’abbé à la « question de le dans la relecture des socialisation de la an moitié du exemple soie las_: p g -p la pensée de sommeil cire ce projet t que la véritable ans la seconde axions entre les activités humaines et les logiques écologiques, faisant de l’environnement un thématique phare des enjeux scientifiques et politiques et l’entraînant au c?Ur des préoccupations contemporaines.

Et réciproquement, depuis que l’environnement est entré sur la scène politique, médiatisée, civile et économique, ‘est-à-dire dans la sphère sociale, il est devenu, nécessairement, un objet d’étude pour les sociologues. Jusqu’ présent, les sociétés occidentales et leur tradition scientifique, Inspirée de la science galonnée et intentionné, ont presque toujours sépare siège toi vie' » nées page séparé les deux éléments, la société et la nature, pour les étudier chacun indépendamment de l’autre, « introduisant un abîme entre le domaine de l’action humaine et celui des lois de la nature » (Bourg, 1993 7).

La récente prise de conscience des dommages causés par certaines activités humaines sur ce lieu

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naturel a eu pour conséquence de mettre en question cette séparation, en la présentant comme une construction sociale voire en l’abolissant totalement.

Il apparaît qu’une telle reconnaissance des « problèmes » d’environnement a d’abord été impulsée par les sciences naturelles, mais bien des penseurs ont su associer ces préoccupations informatiseraient à des thématiques sociales, comme la technique, la population, les systèmes scolaires et médicaux et plus généralement aux limites d’une civilisation industrielle, de son système de pouvoir, de ses consciences, en un mot d’une société et d’une humanité de plus en plus inhumaine et mécaniste (ducs, 2006 : 9 ; jean, 2007).

Cette association des préoccupations environnements et des questionnèrent sociaux pourrait d’ailleurs définir l’écologie politique ; elle s’impose en tous cas comme l’une des composantes majeures de ce changement de millénaire : « il apparaît que notre question sociale en cette fin de siècle et au siècle suivant sera la question naturelle » (immiscions, 2002 : 23).

Bien entendu, comme la plupart des universels anthropologiques l’environnement est apparu avec l’humanité elle-même : les citées passées ont toutes eu affaire à des problèmes d’ordre écologique. Quelques exemples sont proposés par brosseriez (2002-2003), à propos de la surexploitation de bois dans la grec antique 2 par brosseriez (2002-2003), à propos de la surexploitation de bois dans la grec antique ou sur la mythique île de Pâques, ou plus récemment concernant épanouissement des populations de bisons polonais durant la seconde Guerre Mondiale.

Ce sont des exemples de destructions humaines de la nature. D’autres exemples sont encore plus célèbres, mettant cette fois la nature ans le rôle de la force cruelle : du mythique engloutissement de l’atlantique par les eaux, à la plus tangible destruction de la vie humaine par les cendres du veste ou encore le séisme de 1755 mis en vers par volontaire (1756).