Malgré les apparences, la composition du tableau est plutôt bien structurée et se découpe en trois parties. Au premier plan, un cyprès se développe sur près de la moitié du tableau. Au deuxième plan se trouve un petit village et se dessine au troisième plan un beau ciel étoilé. La technique utilisée : C’est une peinture à l’huile. Eu dessin : Van joug a peint ce tableau avec d’épaisses touches, très visibles et plutôt hachées. Nous pouvons supposer que le peintre a construit son tableau sur plusieurs couches de peinture avant le résultat final.
Avec cette ?ouvre il a voulu, comme dans ombre de ces tableaux, exprimer un sentiment à travers les couleurs et le mouvement de ses pinceaux. Les couleurs : Nous pouvons voir que ce tableau est dominé par des nuances de bleus, qui représentent la nuit. Des verts foncés sont exploités pour dessiner les arbres et les maisons. Les seules couleurs chaudes, plutôt jaunes de l’?ouvre, ont été peintes en petites touches pour les lumières des fenêtres, les étoiles, la lune et les voluptés du ciel. La lumière : La lumière principale provient de la lune, qui se trouve en haut à droite du tableau.
Il n’
La Nuit étoilée est une peinture de l’artiste peintre poste- impressionniste enracinerais évincent van joug. Le tableau représente ce que Van joug pouvait voir de la chambre qu’il occupait dans l’asile du monastère Saint-Paul-de-mausolée à Saint- rems-de-province en mai de 1889. Souvent présenté comme son grand ?ouvre, le tableau a été reproduit à de très nombreux 3 1889. Souvent présenté comme son grand ?ouvre, le tableau a été reproduit à de très nombreuses reprises. Il est conservé au muséum Fo moderne Art (nomma de née rock) depuis 1941.
Le tableau a notamment inspiré le compositeur hennir déductible qui a sous-titré Nuit étoilée sa symphonie Timbres, espace, mouvement. 4) Contexte historique Le 8 mai 1889, pleinement conscient de son état suicidaire, il quitte Arles, ayant décidé de lui-même d’entrer dans un asile près de Saint-rems-de-province où il va y rester pendant une année. Son état varie de la dépression profonde aux phases de rémission et d’activité intense, qui entraînent de nouvelles modifications de son style : il donne à ses tableaux les mouvements mêmes de sa pathologie….
Ainsi, les peintures de la période où il a vécu à Saint-rems de province sont souvent caractérisées par des remous et des spirales. Aussi, à diverses périodes de sa vie, Van joug a peint ce qu’il voyait de sa fenêtre, notamment à la fin de sa vie avec une grande série de peintures de champs de blé qu’il pouvait admirer de la chambre qu’il occupait à l’asile de Saint- rems. 5) Le mouvement artistique : 6) Présentation de l’artiste évincent Van joug, né le 30 mars 1853 à griot sondeur, dans le barrant Septentrional, était le fils d’un pasteur protestant.
Dès ‘enfance, Van joug fit preuve d’un tempérament lunatique et agité qui devait, tout au long de sa vie, contrarier ses projets. A partir de 1869, Van joug devint commis 4 devait, tout au long de sa vie, contrarier ses projets. A partir de 1869, Van joug devint commis dans une galerie d’art mais, passionné par la lecture de la Bible, Van joug négligea son travail et dut finalement l’abandonner en 1876. Sombres et presque monocordes, ces premières ??uvres expriment avec rudesse la pauvreté et la misère des mineurs auxquels il s’attacha avec une ferveur. En 1 886, évincent Van joug s’installa
Paris et vécut avec son frère thé qui dirigeait une petite galerie de tableaux. AI fit rapidement connaissance des jeunes peintres qui animaient les mouvements artistiques les plus innovant. Influencé par l’?ouvre des impressionnistes et par celui d’artistes japonais tels hérésie et échouais, son style évolua sensiblement à cette époque. Les couleurs s’éclaircirent, les touches de pinceau, qui furent apposées suivant une technique plus étudiée, suivaient souvent la forme de l’objet représenté. Dès 1 888, il adopta des teintes franches et brillantes, présentes dans les bouleaux de ses amis français.
En février 1888, il quitta Paris pour le Sud de la France où il peignit des paysages et des scènes de genre de la vie méridionale. L’artiste, installé à Arles, commença à employer des touches courbes, tourbillonnantes et des couleurs pures : le jaune, le vert et le bleu en particulier. Tout phénomène visible, peint ou dessiné par lui, semble être doté d’une vitalité physique et spirituelle. Dans son enthousiasme, évincent Van joug persuada S être doté d’une vitalité physique et spirituelle. Dans son enthousiasme, évincent Van joug persuada Paul guigne, qu’il avait rencontré à Paris, de le rejoindre.
Après moins de deux mois de travail commun, leur relation se détériora gravement et s’acheva par une dispute célèbre au cours de laquelle il menaça guigne avec un rasoir. La même nuit, il se trancha une oreille. Quelques mois plus tard, il entra de plein gré à l’asile de Saint- rems-de-province où il peignit avec acharnement. De cette période date un grand nombre de chefs-d’?ouvre, dont les Blés jaunes (1889, National égalera, longées), la Chambre de évincent à Arles (1889, Musée d’arrosa, Paris) et la Nuit étoilée (1 889, muséum Fo moderne Art, née rock).