UniversitÉ djillali liabes sidi bel-abbes FacultÉ des lettres, langues & arts département des langues étrangères filiere de français Nom et prénom : Bouda Amira Meriama La littérature était tou•ours considérée comme un carrefour interculturel et intert les sociétés du mond nr_i Swipe View next page pas de fin, qui n’arrêt as de temps. Chaque texte réalité sociale qui est les cultures et ce ouvert qui n’a s’agiter dans le r une certaine ar l’auteur pour communiquer un message, qui peut être interprétée différemment par le public
Tout texte littéraire est considéré comme universelle puisque tous les thèmes sont universels, ce qui explique le processus de la répétition des thèmes dans toutes les littératures du monde, donc aucune production littéraire n’est originale, il y a toujours une filiation des textes précédents, qui eux aussi se sont influencés par les mythes anciens qui s’estiment comme le début de toute connaissance ainsi qu’un récit fondateur qui avait construit les fondements de la littérature.
En effet un texte est conçu comme un champ polysémique où s’entrecroisent lusieurs sens, effectivement qui éclaire le fait qu’à tout moment, en lisant un texte, des souvenirs textuels d’un autre écrit reviennent à notre mémoire, que nous seuls, peut-être, mettons est une
L’interculturalité est devenue une notion attachée à toutes les œuvres, puisque tout texte porte en lui une empreinte d’une culture précise, et l’interculturalité ermet un contact, une interaction, un dialogue entre des différentes cultures qui adhère à des échanges mutuels ainsi « une harmonie d’enrichissement réciproque »2. Grâce ? l’interculturalité, il a eu la naissance de la nouvelle science « littérature comparée » qui cherche à confronter des textes de cultures différentes, ainsi qu’étudier les textes, leurs influences.
Cette discipline est devenue un lieu commun des œuvres qul appartiennent à plusieurs langues et cultures « Toute littérature, disait Goethe, éprouve périodiquement le besoin de se tourner ers l’étranger ». Depuis son apparition (à la fin XIX e siècle) avait pour but rapproché les textes, accepté la culture cible, faire des rencontres entre les sociétés du monde et leurs héritages culturels, encourage les échanges entre les disciplines et les lieux de recherche.
Dans n’importe quelle œuvre littéraire l’écrivain à pour objectif de présenter son vécu et celui de sa société, ainsi de bouleverser, de changer et d’influencer. Déjà l’œuvre est un produit de la société voire un miroir qui reflète la réalité et qui transmette les idées de l’auteur. La lecture d’une œuvre est une lecture ouverte, qui peut être interprétée à plusieurs « sens c’est-à-dire chaque lecteur à sa propre interprétation, comp 2 interprétée à plusieurs « sens », c’est-à-dire chaque lecteur ? sa propre interprétation, compréhension qui suit une époque précise.
Dans la deuxième partie de la citation Marino s’est focalisé surtout sur le point mentionné au-dessus : de Pinterprétation qui selon lui à deux niveaux, la première c’est l’approche généraliste qui s’appuie sur les connaissances générales qui sont partagées ar plusieurs personnes dans le monde, elle est une approche qui apporte en elle un sens universel Pœuvre littéraire . porteuse de signification universelle l’ donc elle signifie le premier sens exact connu et compris par tous les lecteurs.
Par contre la deuxième approche qui s’intéresse aux traits spécifiques d’un texte, elle est considérée comme un terrain ou chaque lecteur va prendre parti sur ce que dit le texte, où on quitte la position du « sens premier » pour ceux du sens second(s), de la construction du sens, des intentions et des effets de sens. Alors l’interprétation ndividuelle ouvre sur une pluralité de sens possibles Enfin on comprend que la littérature est un processus ouvert, évolutif qui est toujours en mouvement, qui met en interaction plusieurs cultures et sociétés.
Elle est toujours en état d’échange culturel et textuel, elle rapproche les textes et permet un enrichissement partagé. L’interprétation de ses œuvres se diffère d’une personne à une autre parce que le texte comporte des blancs, des énigmes, ouvre des choix, invite à élaborer des hypothèses de compréhension, il est polysémique, ce qu confirme les lisibilités de lecture. 3