siècle ainsi que des c représente des coch ll- L’accessibilité du récit La Ferme Des Animaux Premium By memm Oenpang 28, 2015 IO pages Questionnaire de lecture La ferme des Animaux De Georges ORWELL I-L’auteur et son œuvre 1. George Orw. ‘ell, de son vrai nom Eric Arthur Blair, est un écrivain anglais né le 25 juin 1903 à Motihari (Inde britannique, aujourd’hui en Inde) et mort le 21 janvier 1950 à Londres. 2. II a écrit plusieurs œuvres tels que 1984, Dans la dèche à Paris et à Londres ou encore Hommage à la Catalogne : 1936-1937. 3. La Ferme des animaux a été publiée en 1945 en Angleterre et
S vien « ext s quatre habits du XX ème -forme. Ce dessin : vêtus et debout. Le récit est accessible à de nombreux lecteurs pour plusieurs raisons. Cest un récit court et donc facile à lire ce qui ne rebute pas les lecteurs. De plus, la typographie est plaisante. En effet, sans utiliser des mots complexes, l’auteur parle facilement de politique. Sage L’Ancien, dont le nom pourrait faire référence ? Pline IAncien, montre l’exemple lorsqu’il annonce que tous les animaux sont égaux et qu’ils doivent s’unir pour se débarrasser de celui
En outre, le fait que les personnages sont es animaux rend le récit non-réaliste. Le récit en devient plus accessible et on pourrait même croire que c’est un livre dédié a aux enfants. Ill- Un récit porteur d’enseignement Sage l’Ancien apparaît comme un prophète. Dans son discours, il encourage les animaux à se soulever pour refuser la tyrannie de l’Homme, l’idéologie que l’Homme. Il met en place une autre idéologie : l’Animalisme, et les grands principes de cette révolution qui sont l’égalité et la liberté, écrit sous forme de commandements.
Les animaux adoptent un chant révolutionnaire « Bêtes d’Angleterre », qui va devenir un hymne. Il prononce un discours contre l’Homme en citant des arguments des exemples concrets: « Nous avons une vie de labeur, une vie de misère, une vie trop brève. une fois au monde, il nous est tout juste donné de quoi survivre, et ceux d’entre nous qui ont la force voulue sont astreints au travail jusqu’à ce qu’ils rendent l’âme. Et dans Pinstant que nous cessons d’être utiles, voici qu’on nous égorge avec une cruauté inqualifiable.
Il montre que les animaux pourraient manger à leur faim « Notre pays est-il donc si pauvre qu’il ne puisse procurer à ceux ui l’habitent une vie digne et décente ? Non, camarades, mille fois non ! Fertile est le sol de l’Angleterre et propice son climat. Il est possible de nourrir dans l’abondance un nombre d’animaux bien plus considérable que ceux qui vivent ici. Cette ferme à elle seule pourra pourvoir aux besoins d’une douzaine de chevaux, d’une vingtaine de vaches, de centaine de moutons – tous vivant dans l’aisance une vie honorable. . Il montre aussi que l’Homme est la seule c 0 tous vivant dans l’aisance une vie honorable. « . Il montre aussi que l’Homme est la seule créature à manger ans produire: » L’Homme est la seule créature qui consomme sans produire. Il ne donne pas de lait, il ne pond pas d’œufs, il est trop débile pour pousser la charrue, bien trop lent pour attraper un lapin. Pourtant le voici le suzerain de tous les animaux. Il distribue les tâches : entre eux, mais ne leur donne en retour que la maigre pitance qui les maintient en vie.
Puis il garde pour lui le surplus. Qui laboure le sol : Nous ! Qui le féconde ? Notre fumier ! Et pourtant pas un parmi nous qui n’ait que sa peau pour tout bien. « . Il illustre ses propos en montrant les injustices dont sont ictimes les vaches, les poules mais aussi les chevaux en autres . ‘ Vous, les vaches là devant mol, combien de centaines d’hectolitres de lait n’avez-vous pas produit l’année dernière ? Et qu’est-il advenu de ce lait qui vous aurait permis d’élever vos petits, de leur donner force et vigueur ?
De chaque goutte l’ennemi s’est délecté et rassasié. Et vous les poules, combien d’œufs n’avez-vous pas pondus cette année-ci ? Et combien de ces œufs avez-vous couvés ? Tous les autres ont été vendus au marché, pour enrichir Jones et ses gens ! Et toi, Douce, où sont les uatre poulains que tu as portés, qui auraient été la consolation de tes vieux jours ? Chacun d’eux fut vendu à l’âge d’un an, et plus jamais tu ne les reverras ! En échange de tes quatre maternités et du travail aux champs, que t’a-t-on donné les reverras !
En échange de tes quatre maternités et du travail aux champs, que ea-t-on donné ? De strictes rations de foin plus un box dans l’étable l » Enfin, Sage l’Ancien démontre que tous les animaux finissent avec une mort atroce: » Et même nos vies misérables s’éteignent avant le terme. Quant à moi, je n’ai pas de hargne, étant de ceux ui ont eu de la chance. Me voici dans ma treizième année, j’ai eu plus de quatre cents enfants. Telle est la vie normale chez les cochons, mais à la fin aucun animal n’échappe au couteau infâme.
Vous autres, jeunes porcelets assis là et qui m’écoutez, dans les douze mois chacun de vous, sur le point d’être exécuté, hurlera d’atroce souffrance. Et à cette horreur et à cette fin, nous sommes tous astreints – vaches et cochons, moutons et poules, et personne n’est exempté. Les chevaux eux-mêmes et les chiens n’ont pas un sort plus enviable Toi, Malabar, le jour où tes uscles fameux n’auront plus leur force ni leur emploi, Jones te vendra à l’équarrisseur, et Féquarrisseur te tranchera la gorge ; il fera bouillir tes restes à petit feu, et il en nourrira la meute de ses chiens.
Quant aux chiens eux-mêmes, une fois édentés et hors d’âge, Jones leur passe une grosse pierre au cou et les noie dans l’étang le plus proche 2- Le projet initial des animaux est de vivre sans » FHomme », de vivre entre animaux et sans dirigeants. Mais les cochons en décident autrement. Ils se comportent comme que des Hommes à la fin, ils dirigent les autres animaux et les exploit 4 0