1) Le controle que l’on a de notre corps a evolue en fonction de changement de certains facteurs economique, sociaux, scientifiques et historique. La maniere de controler son corps n’est donc pas naturelle dans le sens ou elle est influencee par son epoque et les representations que celles-ci transmet. Selon Norbert Elias il est primordial de dire que « tout est du a une evolution historique », les changements de conceptions du corps ne sont pas anodins. On observe deux mouvements indissociable l’un de l’autre depuis quelques temps : l’individualisation et l’individuation.
Cela consiste a expliquer le fait que l’homme a travers le processus de civilisation a changer les manieres de controler son corps. Desormais ce n’est plus la societe qui dicte comment l’individu doit se comporter, via la main correctrice du maitre ou bien les bandages que les meres faisaient a leurs enfants, mais c’est lui-meme qui se l’impose. Car maintenant « on se surveille, on s’imite » et l’autocontrainte s’interiorise, la societe n’intervient plus : l’individus interiorise tellement les normes que c’est lui qui se les imposent.
Seulement cela traduit le fait que « le corps ne s’interiorise que parce que la pression du groupe augmente ». C’est-a-dire que ce n’est pas parce que ce sont nous qui nous
Cette autocontrainte est transmise par des facteurs que l’on rencontre des le plus jeune age, ce qui nous permet donc aussi de plus les interiorises, comme l’ecole, l’hopital ou bien l’armee selon Foucault. Mais egalement le fait que le sport permet de defouler cette autocontrainte meme s’il y a des regles. Il est un espace libre d’exteriorisation de pulsions ou comme dans le quotidien y sont fixe certaines regles a ne pas depasser surtout au niveau du degre d violence.
Cela dit il permet une autocontrainte grandissante dans la vie de tous les jours en se delimitant comme un espace ou il est possible de se defouler. Donc le controle du corps depend donc surtout du culturel, de l’historique… plus que du naturelle comme ce sont surtout des facteurs sociaux qui dictent les manieres de se comporter de controler son corps. Neanmoins, le grand changement opere dans notre epoque est le fait que les normes s’interiorisent tellement par les individu qu’il parvient a s’autocontraindre sans etre force directement par l’exterieur.
Norbert Elias parle meme « d’une seconde nature, un element de leur personne compris comme allant de soi ». Seulement ici aussi meme si en effet l’individu s’impose les normes a lui-meme, il le fait parce que la pression exterieure est en realite plus forte. L’individu est surveiller est doit savoir s’autocontraindre. 2) « Le corps s’insere ainsi dans un systeme de valeur symboliques et culturelles. Comme le langage verbale, il est support de communication, de paroles entre deux individus parlant la meme langue des gestes. Le corps etant inscrit dans une telle epoque, appartenant a une certaine culture va apprendre a interpreter puis executer des gestes interiorise au cours de sa socialisation, un langage mais qui n’est pas aussi explicite que le verbal. Donc le corps permet de communiquer a partir du moment ou il est inscrit dans un temps et une culture, et surtout une societe, un groupe partageant (comprendre et appliquer) les memes codes de la gestuels permettant de communiquer.
De surcroit, le corps dans sa demarche, sa gestuelle, son vetu, son apparence est bien plus qu’une simple facade il communique aux autres une information, il est comme une carte d’identite. Ce sont les premieres informations que l’on a sur une personne (sexe, age, couleur de peau, style vestimentaire pouvant traduire une appartenance sociale). Element devenu primordiale dans les societes (modernes) d’aujourd’hui, dans les grandes villes par exemple ou personnes ne se connait l’apparence joue un role de communication d’information essentiel. ) Christine Detrez pour repondre a cette question, reprend la notion de Bourdieu de l’habitus qui est un des facteurs principaux de la perception differente des individus sur leur corps. Les pratiques courantes different selon l’habitus, Bourdieu et Boltanski cherchent a le demontrer en expliquant les liens entre l’utilisation et la perception que les individus ont de leur corps et la culture ainsi qu’au groupes (social et sexue) auxquels ils appartiennent.