LA. 2 : 1-6, Jan, Martha, la mère, p. 186 « mère vous n’avez pas de raison de raconter ces choses [… ]fin » situation : première fois que la famille est réunie. Reconnaissance possible grâce au perso de la mère (recss avec la soeur a échoué). Echange intime naît entre Jan et la mère. « Vous n’avez pas de raison… » négation Martha intervient au parler. cf. plus haut « du coeur. Cest vrai Présentatif et déclara e.
Elle l’empêche de rejette le discours org Sni* to View Acceptation de la mère Jan, très vite « je comprends si bien votre sentiment » Didascalie hyperbole arle pour empêcher Martha d’interrompre le dialogue, pour renouer ce que Martha menace de briser : la complicité tentative de rapprochement : recréer le lien pour que la mère en vienne à parler du fils (Jan veut savoir quelle image sa mère garde de lui) Si vous aviez Subordonnées hypothétiques Martha Veut éviter le sujet, rompre cette discussion : rôle d’opposant dans la scène Les vieilles femmes désaprennent même d’amer leur fils.
Emploi rare Mot qui choque le spectateur et le fils : vérité difficile à entendre et à comprendre (peut-on désapprendre/ « désaimer » ? Mais
Martha se plaçant entre eux didascalie Matérialisation de l’obstacle à la communication qu’est Martha : la mise en scène fait sens Un fils trouverait ce que n’importe quel client est assurer d’y trouver Parallélisme avec répétition du verbe trouver ou déterminant indéfini (« n’importe quel p) Martha nie l’existence du fils : elle l’assimile à un « client » parmi d’autres : pas de distinction entre l’être appartenant à la amille et des inconnus. as d’accueil comme celui dont rêve Jan mais seulement une « indifférence bienveillante » (oxymore): désintérêt, absence de sentiments Nous n’avons rien fait pour eux Pas d’implication sentimentale envers les êtres humains de passage dans l’hôtel : contraire de ce que vient chercher Jan Je désire rester un peu dans cet hôtel, si vous m’y acceptez Double sens 1) s’il est accepté comme client 2) s’il est accepté comme fils (le spectateur entend les 2, les femmes ne perçoivent qu’un sens : double énonciation) Oh ce n’est pas cela .. xclamation Refus de l’arpent : mais alo nde-t-elle ? La mère sort Refus de l’argent : mais alors, que demande-t-elle ? La mère sort de son rôle d’hôtesse Si vs êtes rlche, cela est bien. déclarative Martha contredit sa mère : opposition des persos. Revendique son rôle d’hôtesse. L’accueil est un service payant. Ne parlez plus de votre coeur. Nous ne pouvons rien pour lui une maison sans ressources pour le coeur rien ici qui ressemble à de l’intimité ce que nous leur réservons n’a rien à voir ac les passions du coeur Accumulation de négations dans la tirade
Rejet du sentiment, de la compliclté, de l’intimité, de la sympathie Refroidi cette maison métaphore Le temps détériore les relations humaines, le contact, l’empathie, la tendresse Nous vous accueillons, par intérêt, tranquillement x2 Répétition des CCManiere Insistance sur l’absence de sentiment et le refus de tout rapprochement Il la regarde sortir / il veut l’aider didasc Différence d’attitude de Jan vis-à-vis des femmes : impuissance face à Martha, rapprochement avec sa mère Laissez, mon fils voyez ces mains. Elles pourraient maintenir les jambes d’un omme. rolepse l’oreille du fils et dans celle du spectateur. La clé : métaphore du sens du langage ? De la compréhension qui se fait dans ce temps de silence ? Ce sont mes paroles qui vous donnent à réfléchir ? interrogative Mise en valeur du silence par le texte : traduction par les mots du sens du silence Mais pourquoi m’avez-vous appelé « mon fils » ? Trouble de Jan : les mots veulent-ils dire ce qu’ils signifient ? MOMENT CLE : LA RECONNAISSANCE VA-T-ELLE AVOIR LIEU ? Les personnages vont-ils se comprendre ? dramatisation Oh je suis confuse !
Cétait une manière de parler. Exclamative GN avec CdN Réaction inattendue de la mère, entraînant déception du spectateur : attente brisée réflexion sur le langage : chaque mot, tournure est susceptible de contenir une vérité dont le locuteur peut être conscient ou inconscient. Ici, la mère est toute proche de la vérité mais la dit sans le savoir : ironie tragique. Je comprends. (Un temps) -Il comprend l’explication -il comprend le vrai sens du mot ou alors, antiphrase : il ne com rend rien, au contraire. mise en valeur par le silen t important, du drame de PAGF