LOI DU TALION – « Justice pour Daisy nouvelle fronde des réseaux sociaux après un viol Blog « Big Browser » 15 octobre 2013 paru dans Le Monde. Dans le Missouri, la petite bourgade de Maryv’lle, 12 000 habitants, est devenue ces dernières heures la cible des attaques des plus grands groupes de hackers de la planète.
A l’origine de cette guerre numérique, une longue enquête parue dans le quotidien local, le Kansas City Star, racontant le viol de Daisy Coleman, 14 ans, et l’abandon, deux mois après les faits, de toutes les poursuites contre l’agresseur de la jeune fille, âgé de 17 ns, petit-fils d’une figure politique locale. Swp to page Les charges furent é second garçon de 17 n’ayant pas été retro dans l’affaire, selon suspects d’un viol ne ors uite contre un I de Daisy.
Le film amment de preuves Sni* to View nextÇEge s du Missouri, les est raisonnable de penser que la victime n’ tait pas handicap e et s’il est raisonnable de penser que la victime ait pu consentir à cet acte Après cette victoire judiciaire, les proches des deux garçons se félici félicitèrent largement de la tournure des événements. L’article explique en outre que, du fait
La jeune Daisy a d’ailleurs fait plusieurs tentatives de suicide après ces événements. Rapidement, l’histoire des Coleman s’est répandue sur Internet. Lundi matin, deux comptes Twitter des hackers Anonymous relayaient l’information et prévenaient : « Mary. ,’ille, expect us » Marpille, on arrive »). Dans ce communiqué, le groupe exige notamment « une enquête immédiate de la part des autorités locales dans le cas de Daisy » ? Pourquoi un suspect, qui a avoué un crlme, est-il libéré sans aucune poursuite ?
Et surtout, comment les habitants de Maryville peuvent-ils encore trouver le sommeil avec une telle histoire sur la conscience ? » interrogent les Anonymous, qui ont alors lancé le hashtag #0pMaryville pour soutenir la jeune fille et sa famille. Lundi soir, le site Internet du comté était inaccessible et affichait la mention « nous faisans face actuellement à des difficultés sur notre site A lire : Les Anonymous, nouveau contre-pouvoir dans les affaires de viol ?