Les sols qu’on y rencontre sont les sols fertiliserait, les sols ferrugineux (cuirasse alternative) occupant les zones de climat tropical, et les sols hydrographes dans les formations marécageuses et dans certaines plaines fluviales. Les terres cultivables sont estimées à 21 millions d’ha, soit 65 pour cent de la superficie totale du pays. En 2002, la surface mise en culture représentait 6. 9 millions d’ha environ, soit 21 pour cent de la superficie totale du pays et 33 pour cent de la superficie cultivable (tableau 1). Louvoiement annuelle y dépasse les 1 500 mm et les sols sont d’assez bonne qualité. Le café et le cacao dominent l’économie de la région (les deux tiers des surfaces cultivées), mais sont aussi présents le palmier à huile, l’hévéa et le cocotier. Les cultures annuelles couvrent 25 pour cent des surfaces cultivées (mais, riz, manioc, plantain, etc.. En intercalaire avec le cacao généralement). L’agriculture est basée sur des pratiques traditionnelles extensives de défriche-brûlais et donne de faibles rendements.
Ces pratiques conjuguées à la croissance rapide de la population ont mené une défenestration à large échelle et à une réduction des temps de jachère qui ne permettent plus de restaurer la fertilité des sols. ?
Les précipitations varient entre 1 200 et 1 500 mm, mais sont erratiques. En ce qui concerne l’agriculture, c’est la zone la plus difficile cultiver en raison de la sécheresse et des inondations. ? La zone soudaine (31 pour cent du pays) est située plus au nord. C’est une région de savane au climat tropical de type soudain-guindée avec une seule saison et cultures permanentes) 2002 6 900 000 ha ? en % de la superficie totale du pays 21 ? terres arables (cultures temporaires + prairies et jachères tempe. 3 100 000 ? cultures permanentes 3 800 000 cultures éprennes (mangues, karaté) et l’élevage sont aussi d’importantes sources de revenus. Les précipitations moyennes atteignent 1 350 mm/an. Les températures varient entre 24 et CC, avec cependant des températures plus basses en montagne. La population ovarienne comptait, en 2004, 16. 9 millions d’habitants, dont 55 pour cent de ruraux (tableau 1). La densité de population est de 52 habitants/km?. La croissance démographique annuelle entre 1997 et 2003 s’élevait 2. 3 pour cent.
La pauvreté en 1998 touchait 34 pour cent de la population et l’accès à eau potable n’était disponible que pour 81 pour cent des ovariens (92 pour cent en milieu urbain, contre 2 pour cent en milieu rural). L’espérance de vie à la naissance en 2003 n’était que de 41 ans, notamment en raison d’une prévenance du VIA/SODA de 9. 7 pour cent parmi les personnes âgées de 15 à 49 ans à la fin de 2001. Le taux d’alphabétisation de 49 pour cent connaît une forte disparité entre les sexes (60 pour cent pour les hommes contre 39 pour cent pour les femmes). Économie, agriculture et sécurité alimentaire Le secteur agricole a constitué le principal moteur de la croissance ovarienne pendant les années de prospérité économique soutenue, à savoir depuis l’indépendance jusqu’ but des années 1 980, avec le développement spectaculaire des cultures de rente impulsé par l’État (cacao, café, coton, banane, ananas, palmier huile, hévéa, etc.. ). Le, l’accent étant mis sur L’agriculture est aujourd’hui PUB en 2003, gênèrent environ 60 pour cent des recettes d’exportation et occupant 45 pour cent de la population active.
Cependant la crise politique qui a touché le pays depuis 1999 a eu des effets dévastateurs sur son économie, jadis fleuron de prospérité de l’affaire subsisteraient. Le secteur agricole a, en effet, enregistré une croissance de 0. 5 pour cent en 2001 et n repli de 2. 6 pour cent en 2002. Sur le plan alimentaire, la situation globale est satisfaisante. Les principales productions vivrières (igname, manioc, banane plantain et mais) sont largement excédentaires, et celles dites secondaires (mil, sorgho et fanion) couvrent les besoins.
Les denrées importées (pour un total de 350 millions de dollars EU en 1 997) comprennent principalement le riz (450 000 tonnes), les légumes, le blé, la viande, le lait et le poisson (1 ou 000 tonnes). Deux types d’opérateurs interviennent dans le secteur agricole: i) les sociétés agro-alimentaires sur de grandes plantations canisses avec méthodes culturelles intensives; ai) les petits exploitants individuels formant l’essentiel de la population rurale. Les systèmes de production pratiqués par ces petits exploitants sont fondés sur la culture manuelle, extensive et itinérante, aux rendements faibles.
Les productions sont fortement centrées sur les cultures d’exportation et dominées par le bonhomie café – cacao. Viennent au second plan les cultures vivrières les plus importantes comme le riz, l’igname, la banane plantain, le manioc et le maïs. Enfin, le maraîchère est en pleine expansion dans 5 FO agricole résident dans les problèmes fonciers et le manque de main-d’ouvre agricole, de maîtrise des techniques d’irrigation, d’intégration élevage-agriculture et d’accès au crédit.
Ressources en eau et utilisation de l’eau Ressources en eau Le réseau hydrographique comprend quatre bassins principaux: ? à l’ouest le cavale (700 km) couvre un bassin versant de 28 800 km dont seulement 15 000 en Côte d’ivoire: ? le assassina qui prend sa source en guindé et draine 75 000 km en Côte d’Ivoire sur une longueur de 650 km; le bandit, formé du bandit Blanc, du bandit Rouge (ou marabout) et du n’si a une longueur totale de 1 050 km et occupe un bassin de 97 000 ? la comme à peste prend sa source au brunira fasse et draine 78 000 km en Côte d’Ivoire sur une longueur de 1 160 km. Ces quatre bassins principaux, s’ajoutent: ? de petits fleuves côtiers d’ouest en est: le Tabou, le sans poudre, le munirions, le boubou (5 100 krak), l’agneau (8 900 krak, la me (4300 kir?ne), la bai qui prend sa source au gant et d’autres petits bassins, couvrant 8 390 km; ? des affluents du neiger: le boule, la bague et le gabelle. La superficie du bassin du neiger occupe environ 23 770 km en Côte d’Ivoire; e coula qui coule vers le gant est un petit affluent de la volet Noire dont la source est au brunira fasse.
Il draine environ 7 000 km en Côte d’Ivoire. En ce qui concerne les eaux souterraines, on distingue deux types d’chaufferies: de bassins sédimentaires. Les ressources totales du bassin sédimentaire tertiaire sont évaluées à 7 km sur 6 000 km avec un renouvellement de 2. 1 km/an. Quant au bassin sédimentaire quaternaire de 1 800 km, il subit l’intrusion des eaux de mer et a un renouvellement annuel de 0. 74 km. 3 L’irrigation en affaire en chiffres 4 TABLEAU 2
L’eau: ressources et prélèvement – Enquête ACCUSAIT 2005 Les ressources en eau renouvelables Précipitations moyennes 1 348 435 mm/an 109 mm/an Ressources en eau renouvelables internes 76. 84 109 mm/an Ressources en eau renouvelables réelles totales 81. 14 109 mm/an Indice de dépendance Considérant une partie commune entre eaux de surface et eaux souterraines de 35 km/an, Industrie 11. 8% les ressources en eau renouvelables totales internes s’élèvent à 76. 84 km/an.
Plusieurs rivières entrent dans le pays ou forment la Collectivités frontière entre le Côte d’Ivoire et un pays 23. 3 % voisin. Le volume total des ressources externes Agriculture est estimé à 4. 3 km/an, soit un total des 64. 9 % ressources en eau renouvelables de 81. 14 km/ an (tableau 2). Une étude d BENÊT a recensé 572 barrages en 1 996, soit une capacité de stockage de 38. 1 km. De ces barrages, 41 pour cent sont utilisés pour les productions agricoles.
FIGURE 1 Utilisation de l’eau En 2000, les prélèvements d’eau étaient estimés à 931 millions de ma, dont 604 millions pour l’agriculture, ce qui représente environ 65 pour cent du prélèvement total dont 217 millions de mg pour les usages domestiques et 110 millions euro l’industrie (tableau 2 et figure 1). Eaux internationales: enjeux Le bassin versant du bandit est l’unique bassin entièrement national (outre quelques petits bassins côtiers), les autres sont partagés avec des pays voisins, notamment les fleuves neiger et volet.
Autorité du bassin du la première session s’est tenue en 2005, étudie la possibilité de créer un organisme de bassin pour la volet. 5 FIGURE 2 Répartition des superficies avec contrôle de l’eau Total: 89 000 ha en 1994 Bas-fonds cultivés non équipes Maîtrise totale/partielle Développement de prorogation et du Zones basses 4 % équipes drainage 28 % Évolution du développement de l’irrigation Le potentiel des terres réglables est évalué 475 000 ha, répartis en 175 000 ha de bas-fonds, 200 000 ha dans les grandes plaines et 100 000 FIGURE 3 Techniques d’irrigation ha de marais côtiers.
Cependant l’étendue total: 47 750 ha en 1994 des terres humides est estimée à 7 millions d’hectares, dont 500 000 ha seraient constitués Irrigation de surface 25 % de bas-fonds aptes à l’amena ment. La superficie avec contrôle q 1 ait 75 % cours d’eau généralement permanents se composent d’aménagements fruitiers (6 000 a), de périmètres maraîchers (4 000 ha) et de petits périmètres résilles (1 750 ha). On en rencontre dans les zones de tissage, m’bakchich et mousserons pour la production rizière, et dans le sud forestier pour la production de bananes et d’ananas.
La superficie moyenne de ces périmètres varie de 10 ha à quelques centaines d’hectares. Les périmètres grabataires (pompage et aval de barrage) ont été mis en place par des sociétés étatiques aujourd’hui liquidées; leur exploitation se fait tant bien que mal par des organisations paysannes faiblement structurées, appuyées techniquement par l’ANODE. L’irrigation à maîtrise partielle de Peau couvre 25 000 ha.