Nom : EN NIS Prénom : Walid Niveau . Master 1 EMOI – Fiche de lecture – Titre : Freakonomics Auteur : Steven David Levitt et Stephan J. Dubner Edition : Denoël Collection : Folio Actuel ISBN : 978-2-07-034179-5 Traduit de l’anglais par : Anatole Muchnik Partil : Présentation « Freakonomics » est absurde, bizarre, orig les sciences économi orf Sni* to • z. reak » qui veut dire ui veut dire bien sûr Cet ouvrage est un best-seller vendu 5 million d’exemplaires dans le monde et qui a su étendre l’analyse économique (micro économique spécialement) à des sujets de cultures populaires, de izarreries sociologiques mélangées à des véracités statistiques. Ce livre dépasse les sujets ordinaires de l’économie et s’intéresse à des champs d’études originaux oubliés par les économistes orthodoxes.
Co-écrit par un économiste américain Steven David Levitt et le journaliste Stephan J. Dubner, qui est lui aussi américain. Ces deux hommes ont longtemps occupé mensuellement une rubrique dans le New York Time Magazine. Steven David Levitt est un économiste américain, professeur ? l’Université de Chicago. Né le 29 mai 1967 à La Nouvelle-Orléans. Il a été récompensé par la Médaille John Bates Clark en 2003 attribuée au meilleur économiste de
Ceci lui donne la articularité d’être un livre économique passionnant, accessible au grand publique. partie 2 : Synthèse de l’ouvrage : « Freakonomics » est constitué de 6 chapitres réalisé en blocs indépendants qui permettent de mettre à nue le fonctionnement de la vie moderne, qu’on a l’habitude de considérer complexe et difficile à analyser, et nous donner une vision très particulière du monde. Chaque chapitre va reposer sur des idées fondamentales.
A l’aide de questions profondes et d’autres légères mais surtout inattendues, l’œuvre donnera des réponses qui paraitront étranges. Mais après une réflexion basée sur des analyses économco-sociales voir des études psychologiques, elles vont finalement paraitre évidentes. Le premier chapitre va s’intéresser aux stimulations et l’importance de leurs compréhensions pour déficeler les phénomènes les plus inexpliqués.
Pour cela l’œuvre s’ouvre à une expérience dans des garderies d’enfants et au phénomène de la triche. Le deuxième chapitre va s’intéresser à un phénomène économique classique qui est l’asymétrie de l’information ou l’exploitation de cette dernière permet aux spécialistes et experts e cultiver les informations qu’ils détiennent pour maximiser leur propre profit Le troisième chapitre quant informations qu’ils détiennent pour maximiser leur propre profit.
Le troisième chapitre quant à lui, en reprenant Fétude du sociologue Venkatesh, s’attaque au phénomène de l’organisation des gangs vendeurs de crack dans les Etats-Unis. Et grâce ? des livres de compte d’un gang récupéré par ce sociologue, il a pu illustrer précisément la répartition des gains à travers les différents niveaux hiérarchiques de l’organisation. Le quatrième chapitre va lui décortiquer un sujet polémique celui de la diminution du taux de crimes aux Etats-unis à la fin du 20eme siècle alors que les prédictions annonçaient le contraire.
L’auteur va alors critiquer les principaux arguments avancés par les spécialistes et diffusés par les médias pour en déterminer, avec une démarche méthodologique de corrélation et de causalité, les causes les plus susceptible d’inciter à cette décroissance. Mais le plus surprenant est qu’il va proposer une explication très subtile à ce phénomène en liaison avec la légalisation de l’avortement. Le cinquième chapitre traite à lui seul la relation parent-enfant et l’influence que peuvent avoir les parents sur la réussite scolaire de leurs enfants.
Incités à vouloir protéger leurs enfants et les voir réussir, les parents vont souvent faire des choix irrationnels confrontant leurs enfants à des dangers en sous-estlmant certains risques tout en surestimant d’autres. L’auteur va ensuite s’étaler sur l’analyse de la réussite des élèves et des corrélations qui peuvent apparaitre entre celle-ci et d’autres caractéristiques liées au niveau intellectuel des parents, leur milieu social… Pour onclure que si les parents ont une influence sur les enfants ce n’est social…
Pour conclure que si les parents ont une influence sur les enfants ce n’est pas par ce qu’ils font mais par ce qu’ils sont. Dans le dernier chapitre l’écrivain s’intéresse au rapport présent entre le prénom et la réusslte sociale. En effet il a pu montrer qu’il subsiste une réelle discrimination à l’embauche liée au prénom une discrimination qui n’est pas forcément liée au prénom en soi mais peut-être au niveau d’étude de l’individu auquel il renvoie.
Par la suite ce chapitre va prendre une autre ampleur celle d’une ertaine sociologie des prénoms qui montre qu’il existe un lien étroit entre choix des prénoms et milieu social Partie 3 : opinion personnel Freakonomcs est un livre qui mérite son succès, il a su analyser plusieurs phénomènes en étudiant les incitations qui les provoquent, Levitt l’a dit lui-même : « féconomie est fétude des incitations ».
Il a donc tout ramené à une question d’incitation mais ne l’empêchant pas de faire appel à des études et des enquêtes sociologiques et psychologiques déjà établies. Levitt va alors déduire des affirmations à partir des données, ans idées préétablies et démontrer que la sagesse populaire se trompe souvent que les experts sont là pour nous dévoiler qu’une portlon de la partie caché de l’iceberg.
La diversité des approches adoptées et sa capacité à vulgariser les analyses économiques et les thématiques populaires auxquelles il s’intéresse ont rendu cet œuvre fascinante aux yeux du grand public, bien qu’elle porte l’étiquette « d’œuvre d’économie » souvent significatif d’ennui. Mon chapitre préféré a été sans doute le chapitre 3, non pas pour l’audacieux travail d’enquête qu’a fait le sociologue Venkatesh PAGF