FRANGIPANIER Célestine Hitiura Vaite est une romancière tahitienne, née ? Papeete en 1966. Fille d’une mère tahitienne et d’un père français, elle a grandit à Faa’a sur l’île de Tahiti. Durant sa jeunesse, elle a grandit et immergée dans la culture tahitienne. Bien que sa langue soit le français, Célestine choisit d’écrire en anglais et est devenue ainsi, un phénomène international en littérature. Elle a choisit de quitter Tahiti pour suivre son mari en Australie. Elle y vit actuellement avec ses quatres enfants.
Son premier texte, publié dans une revue littéraire australienne, lui a valu d’être contactée ar une grande maison d’édition : ‘Random House ». Célestine écrit et prépare ses textes et dialogues en français pour les traduire ensuite en a en anglais. Pour Céle ne, or 10 analyser le rythme q Ile anglais lui permet un créative. Ses trois pr ul vient directement permet de mieux histoire. Ecrire en plus grande liberté rilogie : L’arbre ? pain, Frangipanier et Tiare. Ces romans d crivent la vie à Tahiti contemporaine à travers des anecdotes et souvent avec beaucoup d’humour.
Elle apporte ainsi l’attention sur une région du mande que la littérature occidentale a relégué aux guides de voyage ou Swipe to View next
Nous pouvons remarquer cet amour que Materena porte au membre de sa famille: aussi bien pour ses enfants, son mari, ses cousines, es cousins, ses tantes, sa mère, sa belle-mère Effectivement, nous pouvons voir à quel point la famille, les liens famillaux sont trés important pour Materena. De plus, ce livre nous permet de partager quelque reflet de la culture tahitienne, tels que sa culture, ses paysages mais aussi ses fléaux. I La famille a) Les personnages Ce livre à la particularité d’être enrichie en personnage. Nous avons tout d’abord Materena qui est le personnage principal du livre.
Materena est la maman qui est le pivot du récit et qui gère sa vie et sa famille avec toute l’insouciance et l’humour de Tahiti algré les difficultés de la vie et de ses petits et grands malheurs. Cest une femme polynésienne ordinaire, elle a la plus grande part de responsabilité. Elle est mariée à Pito. Ils ont trois enfants: Tamatoa, Moana et Lei 10 grande part de responsabilité. Elle est mariée à Pita. Ils ont trois enfants: Tamatoa, Moana et Leilani. Elle recherche un travail ? longue durée donc elle va répondre à une offre d’emplois en écrivant une lettre de motivation.
C’est un travail de femme de ménage sur deux ans. La plupart du temps, elle reste à la maison pour s’occuper des taches ménagères, préparer le repas. Elle habite dans une maison modeste avec sa famille. Sa vie paraît simple, mais pas pour autant car l’argent pose parfois un gros problème. Dans l’oeuvre, Materena apparait comme une femme déterminée. Elle a une relation très forte avec sa fille Leilani et est très protectrice. Elle sait ce qui est bon pour ses enfants et ne se lasse pas de le répéter. Au terme de l’oeuvre, ses enfants(Tamatoa et Leilani) vont aller à l’étranger pour faire ce qu’ils souhaitent faire.
Materena arrêtera de travailler comme femme de ménage et se consacrera donc à l’animation de la radio . Elle travaillera comme animatrice de radio chez radio Tefana. Mais aussi Pito qui est le conjoint de Materena. Cest un homme qui boit et râle énormément. Cependant, c’est aussi un homme qui a su prendre ses responsabilité lorsqu’il apprit qu’il allait devenir papa. Dans se livre, nous ne pouvons pas réellement qualifier Pito comme un mari attentif, tendre et à l’écoute de sa femme. Il lui arrive par moment d’être compréhensif. Tout les deux ont eu trois enfant. Tout d’abord Tamatoa, p arrive par moment d’être compréhensif.
Tout les deux ont eu trois enfant. Tout d’abord Tamatoa, puis viens Leilani et enfin Moana. Tamatoa est un garçon qui s’est vite rapproché de son père. Il lul arrive souvent de laisser sa mère seule pour suivre son père. Cest un garçon qui aime prendre soin de son apparence, il aime sortir et boire comme son père. Leilani, elle, est une fille trés studieuse. Elle aime lire ses encyclopédie, savoir le bon fonctionnement des choses de la vie. Mais elle peut paraître parfois insolante car lorsque quelque chose lui semble injuste ou même fausse, elle s’empresse de le dire.
Moana, le petit dernier est le plus calme. Il est passioné par la cuisine et espère devenir n grand chef cuisinier et d’avoir son propre restaurant. b) Enumération et importance de la famille Nous pouvons voir à quel point les liens familiaux sont fort dans ce livre. Lorsqu’un membre de la famille à un problème ou a besoin d’aide, tout le mande est là pour le soutenir ou pour l’aider. Prenons l’exemple au chapitre 18 qui se nomme « On s’inquiete et on espere ». Les cousines proches se rendent chez leurs cousines Tepua pour prier et la consoler.
Celle-ci sait que, sa fille qu’elle a fait adopté par un couple de français, est malade ou ne va pas bien à cause de son arbre car orsqu’un enfant née, on plante un arbre fruitier avec le cordon ombilical de l’enfant. Cet arbre grandit en même temps que l’enfant. Lorsque cel 0 fruitier avec le cordon ombilical de l’enfant. Cet arbre grandit en même temps que l’enfant. Lorsque celui-ci est fané, l’enfant aussi va mal. Cest pourquoi les cousines et tantes de Tepua sont réunlt chez elle. Cet extrait du Ilvre est un moment fort et remplit de sensibilité.
On peut également remarquer dans ce livre que les membres de la famille de Materena nous ai présenté tout au long du livre. D’ailleurs, si nous oublions qui était tel ou tel cousin, ousine, l’auteur prenez soin de le rappelez à chaque fois. c) Reflet de la société tahitienne Dans ce livre, certains éléments nous permettent d’identifier que l’histoire se passe bel et bien à Tahiti. Nous avons tout d’abord quelque nom de lieu comme Faa’a où l’on y trouve l’aéroport, Papeete qui est la capital de Tahiti et Taupuna qui est un endroit trés fréquenté par les surfeurs pour ses grosses vague mais le récif y est dangereux.
Nous retrouvons également la boîte de nuit le Zizou Bar qui est trés connue des militaires français. Nous retrouvons également quelques élément de la culture tahitienne el que les mape qui est un fruit que l’on déguste après cuisson, le tamure qui est la danse tahitienne, les tiare tahiti qui sont des fleurs reconnue pour leurs ordeurs unique (celle de Tahiti est différentes de celles que l’on pourait trouvé en Nouvelle- Calédonie ou a Wallis et Futuna par exemple).
Pour finir, nous pouvons noter quelque fléau qu’il y a à Ta PAGF s 0 et Futuna par exemple). Pour finir, nous pouvons noter quelque fléau qu’il y a à Tahiti tel que l’alcool. L’alcool est vraiment un énorme fléau en polynésie française. C’est trés trés jeune, que les personnes commencent à boire, d’où l’expression qui dit que orsqu’un tahitien naît, il a une rame dans la main (représentant le va’a) ou parfois le ukulele (représentant la musique) et la hinano de l’autre.
Nous pouvons également remarquer le manque d’argent à chaque fin de mois, qui est souvent du parce que l’époux l’utilise pour boire dans des bars avec les copains (et qui dit bar, dit tourné général), mais aussi par un manque de diplôme. Beaucoup de tahitienne arrête l’école parce qu’elles sont enceinte. 11_ Une relation mère/ fille à travers le temps a) Durant l’enfance de Leilani Nous pouvons voir que l’histoire du livre est surtout centré sur la elation entre Materena et Leilani.
Lorsque Leilani n’était encore dans le ventre de Materena, il y avait déjà un lien un fort entre elle. Materena lui faisait découvrir par le son de sa voix, des fleurs avec ses odeurs, ses couleurs… mais aussi de Tahiti même, d’elle même, de toute sa famille… Materena tenait à partager à son bébé tout ce qu’elle voit, entend, ressent lorsque Leilanl grandit, on peut voir que c’est une fille trés curieuse de la vie, elle veut tout savoir. Elle pose beaucoup de question à sa mère comme par exemple : « Qui a inventé le balai ? Une femme. 6 0
