Dissertation Francais L etranger

Dissertation Francais L etranger

udovic Laurent IS02 L’étranger, de Albert Camus. (1942) Dissertation : passage du meurtre de l’Arabe. Au XXe siècle, l’homme cherche a exprimer sa révolte face au monde. Dans cet extrait nommé  » Le Meurtre « , issue du roman L’étranger de Albert Camus écrit en 1942, le personnage principal, Meursault, tue un homme, l’Arabe, de cinq balles a cause de la présence du soleil. N en examinant le rôle xpliquez ce meurtre ésent lors de ce lui-ci et a la chaleur passage. Ainsi nous v 0:- S. vip next page sur le narrateur.

Dès les premières lignes de l’extrait, on peut constaté que le oleil est très présent sur le lieu de cette scène. Le soleil est ici plus que gênant pour le narrateur, il est insupportable. Pour se protéger de lui, le narrateur ne peut se retenir de se déplacer de quelques pas a plusieurs reprise, car celui-ci l’écrase et l’étouffe. A cause de cette brûlure que je ne pouvais plus supporter » . (1. 17) En effet, la chaleur dégagée par le soleil brûle non seulement pas ses yeux, Sv. ‘ipe to yeux, son visage et son front, mais joue sur ses sens.

Ainsi il sent ses nerfs sous tension comme si c’était

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un fil de fer prêt a se ompre à la moindre attaque. L’auteur nous plonge dans l’histoire grâce a sa description détaillée, de manière à soutenir l’attention du lecteur dans l’évolution du personnage. Mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel.  » (1-24). Ce soleil et cette ambiance lui rappelle le jour ou il était a l’enterrement de sa mère.  » C’était le même soleil que le jour où j’avais enterré maman.  » (1. 15). Ici, nous pouvons dire que le narrateur est doublement agressé, a la fois par le soleil et a la fois par l’Arabe.

Comme si le soleil et l’Arabe formais un binôme qui était contre Meursault. Le soleil éblouit le narrateur par sa lumière, et l’Arabe lui, éblouit par son couteau sur le narrateur. Le soleil reflète sur la lame et se projette sur son front déjà brûlant et l’aveuglement dû a la sueur avive la colère et la violence de Meursault. ‘ Et cette fois, sans se soulever, l’Arabe a tiré son couteau qu’il m’a présenté dans le soleil. La lumière a giclé sur l’acier et c’était comme une longue lame étincelante qui m’atteignait 2