Francais : commemorations et memoires collectives introduction Numero 1 nora a redige un ouvrage « les lieux de memoire » dans lequel il nous invite a considerer les lieux de memoires comme tout ce qui nous permet d’entretenir les souvenirs d’une histoire qu’il ne faut pas collectivement oublie. Mais c ecilia Gabizon dans un article plublie dans le figaro du 31 mai 2009 souligne l’ambiguite de ces lieux qui sont notemment a la croise d’enjeux touristique important.
Ce paradoxe est evoque par le corpus documentaire, en effet, la necessite de considerer le devoir de memoire comme un imperatif est souligne par PRIMO LEVY dans son ouvrage intitule « le serpent a plume » par un article de l’encyclopedie » UNIVERSALIS » et dans une certaine mesure par un texte publie dans la revue le debat redige par P. RAYNAUD. Toutefois ce dernier s’interoge, comme en temoigne le titre de son propos « la commemoration : illussion ou artifice ? »
De surcroit deux articles publies dans le journal le Monde (28/29 aout 1994)s’interesse au jeu ambigu de la memoire et a l’utilite de l’entreprise commemorative par l’intermediare de Thomas forenzi et michel guerin , un tel desacord nous impose donc d’evoquer cette question a partir de ces deux perspectives. Numero 2 La necessite
Mais la necessite de transmette le passe ne se heurte-t-elle aps a des diffultes voire ambiguite ? c’est ce qu’il importera d’etudier Numero 3 P RAYNAUD a travers son article dans la revue le debat intitule la commemoration : illusion ou artifice ? semble mettre en ? l’entreprise commemorative sur cetain poin il est rejoin par T Forenzi qui dans un article du journal la Monde evoque les jeux ambigue de la memoire et par M Guerrin qui dans le meme journal deplore le fait que certaines commemorations sont vides de sens.
A contrario un article de l’encyclopedien universalis est l’ouvrage un serpent a plume de P Levy nous invite a considerer la necessite pour les societes actuelles de commemorer leur passe. Ainsi etudier et etablir ce postulat ne peut etre suffisant q’il ne s’accompagne pas de l’etude des ambiguites qui accompagne ce devoir de memoire. Numero 4 « La commemoration de la liberation de paris a mele le mythe et l’histoire. » par ces propos T Forenzi dans un article du journal le Monde souligne le caractere particulier et decevant de l’entreprise commemorative. Nous nous demanderons donc si il est necessaire de transmettre ces souvenirs du passe.
Certe un article de l’encyclopedien Universalis et l’ouvrage de P Levy (un serpent a plume) ne laisse aucun doute sur cette necessite. C’est egelement le cas de P RAYNAUD dans un article redige poiur la revue le debat mais celui-ci s’interoge fortement sur la possibilite de le faire de facon satisfaisante. Quelque mois plus tard m Guerin evoque a son tour le cote spectaculaire et vain de certaines commemorations(le monde 28/29 aout 1994). Alors bien que necessaire le devoir de memoire peut-il echapper a certains probleme, certaines derives ? C’est ce qu’il nous faudra decouvrir a partir de l’anaylse de ces deux axes de reflexion.
