Malgré l’interdiction de représentation de cette ?ouvre, elle n’ fait qu’accentuer la renommée de molaire. Elle est finalement parue en public cinq ans après. Résumé rognon a recueilli chez lui tartufe un « égaux » faisant profession d’une austère piété. La famille d’rognon se divise à cause de ce monsieur fort encombrant. rognon désire pourtant donner sa fille marine en mariage à tartufe. Pour empêcher cette union, plusieurs thèmes, le plus important étant l’hypocrisie autour duquel rayonne la religion. C’est une comédie en cinq actes comportant respectivement et 7 scènes.
Quelques citations . « Vous êtes un sot en trois lettres mon fils » (actuel, scène 1, vers « Couvrez ce sein que je ne saurai voir » (actuelle, scènes, va) « Je l’ai vu, dis?je, vu, de mes propres yeux vu, ce que l’on appelle vu » (acte, scènes, V 1676) Avis personnel Le théâtre n’est pas mon domaine de prédilection, ce n’est pas un genre que j’apprécie lire et étudier, mais l’histoire et le contexte m’ont plus, j’ai néanmoins eu certains moments d’incompréhension à cause du vocabulaire soutenu. J’ai donc un avis mitigé sur cette ?ouvre.
Nom de Fauteur : volontaire Titre de l’?ouvre : microcosme Date de
Il laisse une ?ouvre éclectique coma rendant tragédies, essais, actionnaire, contes poils harpies historiques ou correspondances. On retiendra surtout son Traité sur l’intolérance, sa participation à ‘Encyclopédie, son dictionnaire philosophique ainsi que plusieurs contes philosophiques comme Candide ou l’optimiste et sait ou la Destinée. microcosme est un géant de trente-neuf kilomètres de haut environ, jeune savant doté d’environ mille sens et habitant une gigantesque planète de l’étoile nommée sursis.
Il est contraint l’exil, il décide alors de voyager dans l’univers « pour achever de se former l’esprit et le c?Ur ». Il s’aperçoit « qu’un être pensant eut fort bien n’être pas ridicule pour n’avoir que six mille pieds de haut » et se lie d’amitié avec le secrétaire de l’Académie de saturée, un « nain » aux yeux du séries et il se montrera bon compagnon de voyage pour suivre le séries dans sa quête philosophique. Ensemble les deux philosophes parcourent l’univers et débarquent alors sur la Terre. microcosme casse son collier de diamants.
Le saturaient se rend alors compte que ces diamants font office de microscope ; ainsi le séries et le « nain » découvrent une baleine puis un bateau qui revient d’une exploration du cercle polaire. microcosme saisit le bateau dans sa main l’équipage prend peur, son agitation chatouille la main du géant. microcosme découvre alors les hommes. Les voyageurs entreprennent de communiquer avec l’équipage : des savants qui apparaissent comme autant d’insectes intelligents ce qui semblait improbable pour le saturaient.
S’ils parlent fort bien de sciences ou de métaphysique, ces m semblait improbable pour le saturaient. S’ils parlent fort bien de sciences ou de métaphysique, ces microbes hélas, dégoûtent les voyageurs lorsqu’ évoquent des massacres et un prétendu pouvoir infini qu’un dieu leur octroya un jour. Après une longue discussion avec ces petits hommes, les deux géants, fâchés, reprennent leur route interstellaire en laissant tout de même à la Terre un livre, qui apparaît finalement vierge aux Terriens.
Dans ce compte, volontaire critique l’Homme, qui se croit supérieur à tout, doté de l’intelligence et de la science infuse, alors qu’en comparaison à l’univers, l’Homme n’est rien qu’un point dans le vide, et que notre espèce à encore tout à apprendre et tout découvrir des secrets de l’univers. Pour cela, volontaire utilise des contrastes, comme par exemple la différence entres les deux égorgeurs et les hommes, les faisant apparaître comme de simples grains de poussière, et donc pour montrer leur impact sur l’univers, qui est nul.
J’ai plutôt aimé ce conte, même si à mon goût les notes étaient trop présentes et assez perturbant. Ce que j’ai principalement aimé est le message qu’ voulu faire passer volontaire, qui est très subtil, et surtout, de mon point de vue tout à fait véridique. Je trouve dommage que ‘histoire soit si courte, même si je doute que l’auteur pouvait s’attarder plus que ce qu’il ne la fait sur certains détails, et sur vexatoire en elle même.