La tunisiens peine en revanche à restaurer la confiance des investisseurs et n’enregistre que 1,09 midi $: un peu moins qu’en 2011, accusant une baisse de 43% par rapport 2012. Bonne nouvelle, la libre attire 702 millions de dollars, après eux années d’absence des investisseurs étrangers. Côté Moyen-Orient, la tendance est mitigée. Serais, la turque et la jardine enregistrent des hausses des IDÉE par rapport à 2012, avec des totaux respectifs de 11,8 milliards de dollars, 12,8 milliards de dollars et 1,7 milliards de dollars, en 2013.
En revanche, le albain et la pâlissaient connaissent une baisse du flux d’IDÉE (2,8 milliards et 170 millions de dollars respectivement). La situation en série paralyse l’économie et prive à nouveau le pays d’investissements étrangers en 2013. Nous remarquons également une nette différence des IDÉE dans e pays Arabe et les autres pays qui sont la turque et l’serais. Les IDÉE de la turque et serais sont 2 pays Arabe et les autres pays qui sont la turque et l’serais. Les IDÉE de la turque et Serais sont largement supérieur au autres pays Arabe sauf l’égyptien est qui se démarque du lot.
Analyse : Origine des IDÉE dans la méditerranéen Dans cette partie
Nous pouvons également remarquer que les entreprises européennes sont à porcine de la moitié du nombre d’annonces d’IDÉE en méditerranéen depuis. C’est encore vrai en 2012, mais deux éléments indiquent que ce leadership est aujourd’hui sérieusement menacé : le nombre d’annonces d’IDÉE européens est à son plus bas niveau depuis 2005 (graphique 1), et les montants énoncés par l’européen sont pour la première fois dépassés par ceux des « autres pays qua- incluent notamment les BRIC (9,8 et 10,8 milliards d’héros respectivement en 2012, voir graphique 2).
Ce recul est sans doute conjoncturel, les entreprises européennes étant probablement influencées par la tétanie et l’attentisme qui a saisi les gouvernements européens et leurs administrations face 3 leader l’attentisme qui a salis les gouvernements européens et leurs administrations face aux nouveaux leaders politiques au sud de la méditerranéen.
Mais dans cette période où les pays partenaires méditerranéens sont en airain de revoir leurs modèles de développement et de gouvernante, en les fondant sur de nouvelles valeurs démocratiques, cette timidité des Européens est à la fois un mauvais calcul stratégique et une mauvaise interprétation des attentes des pays du sud vis-à-vis de leur partenaire historique. Dans le même temps, les pays du Golfe semblent au contraire montrer une volonté de renforcer les liens économiques et politiques en affaire du Nord.
Après avoir abandonné le terrain entre 2007 et 2011 leurs investissements sont en 2012 au même niveau que les européens, et retrouvent des niveaux plus conformes à ce que les pays MET auvent attendre de leurs voisins arabes. Ce bon cru 2012 marque aussi probablement la fin de crise financière pour les monarchies du Golfe. Le recul occidental vaut également pour l’marquée du Nord : alors que les annonces de projets des investisseurs américains et canadiens n’avaient pas diminué en 2011, l’année 2012 est celle d’un retour à une plus grande réserve.
Le nombre de projets annoncés par les États-Unis diminue dans tous les pays de la région, et tout particulièrement dans les pays du amasser Propositions Suggérons plus de concentration sur le quatuor traditionnel énergie/ banque/ délectes/ BUT attire toujours une part record des IDÉE (65 % des montants annoncés en 201 2), mais 4 attire en 201 2), mais plusieurs secteurs industriels gagnent en attractive et deviennent moins marginaux par rapport aux investissements « de rente » ? une excellente nouvelle pour les pays MET.
Le nombre d’annonces d’IDÉE dans le logiciel, l’automobile et les médicaments suit ainsi une progression lente mais constante, tandis que pronostiquée et l’industrie mécanique enregistrent une forte hausse en 2012. L’agro-alimentaire, la distribution et les services aux entreprises, qui avaient tiré un nombre record de projets en 2011, sont en revanche moins prisés par les investisseurs en 2012, en raison du recul des IDÉE européens et américains.
Ces secteurs en croissance sont doublement stratégiques pour la région : ils contribuent à la structuration du tissu industriel des pays MET d’une part, et sont surtout plus efficaces en termes de création d’emploi. En effet, le job efficience ratio des investissements étrangers, développé par ANIMA et la Banque mondiale en 2011 montre que le palmarès sectoriel de l’investissement étranger en méditerranéen est dominé par des secteurs relativement peu créateurs d’emplois ( ‘exception du secteur bancaire).
Cette situation constitue l’un des facteurs d’explication du faible effet d’entraînement actuel de l’investissement étranger sur la croissance et le développement inclusif des pays MET. Plus que jamais, le défi de la région est en effet celui de la création d’emplois. C’est vrai au sud de la méditerranéen, où le problème d S effet celui de la création d’emplois. Ces vrai au sud de la méditerranéen, où le problème du chômage, et du manque d’emplois de qualité en particulier, est au coureur des préoccupations des populations qui ont réclamé des transitions politiques.
Cela l’est également en européen, où la croissance peine à redémarrer et encore plus à créer des emplois. Face à ce défi, l’européen ne peut plus ignorer les enjeux qui bloquent le dynamisme économique de toute cette région euro-méditerranéenne : la mobilité des biens et des personnes qui font l’économie d’aujourd’hui et de demain, l’éducation des personnes au Sud, la reconnaissance et la promotion de chaînes de valeurs sectorielles euro- méditerranéennes, le partage de la valeur, la déraillait des investissements domestiques et étrangers.
C’est sur la base de l’aménagement d’un espace industriel à l’échelle euro-méditerranéenne qu’un appartenait renouvelé, équilibré, et porté politiquement, doit s’établir entre l’européen et le sud de la méditerranéen.
