Texte de Montesquieu : l’esclavage des negres. a) 1) Les colons europeens sont arrives en Amerique et ont extermine les indigenes, Montesquieu ironise donc en disant que puisque les esclavagistes ont extermine un peuple ils sont bien obliges d’en maltraite un autre. 2) Ici Montesquieu se moque de esclavagistes en disant que si ils faisaient travailler les plantes a sucre par des gens qui ne sont pas esclaves, cela serais trop cher. 3) Montesquieu decrit les esclaves en disant que parce qu’ils ont le nez ecrase et la peau noir, il est presque impossible de les plaindre. )Montesquieu fait mine de penser que l’apparence des esclaves ne peux pas leur permettre d’avoir ni une ame bonne ni un bon fond, car dieux n’aurait pas pu creer des etres doues de bontes avec une telle apparence. 5) Montesquieu fait une comparaison entre les esclavagistes et le peuple asiatique en disant qu’il est tres naturel de penser que la couleur de la peau est importante puisque les asiatiques le font, et de maniere plus prononces encore que les europeens. ) Montesquieu compare de nouveau les esclavagistes, cette fois ci aux egyptiens (meilleurs philosophe du monde) en disant que si eux ont tuer des
Cette technique est tres efficace puisqu’elle permet de ridiculiser l’adversaire en prenant ses idees et demontrant qu’elle ne sont pas recevables. c) Tout d’abord une partie expliquant le jeu d’antiphrase de l’auteur, qui decide d’inverser les signes. Ensuite une partie demontrant l’irrecevabilite des propos tenus par les esclavagistes, et une derniere partie expliquant le reel point de vue de l’auteur a travers les antiphrases ainsi que l’efficacite de son stratagemes. Texte de Voltaire : de l’horrible danger de la lecture ) Tout d’abord le texte est decoupe en une serie de plusieurs paragraphes courts et numerotes, en plus de l’introduction et de la conclusion. Dans l’introduction, on voit les titres de l’auteur comme par exemple « mouphti du Saint-empire ottoman ». On remarque aussi plusieurs formules de politesse orientalescomme « lumieres des lumieres ». De plus un indice montrant le cote administratif du texte est le contexte : les circonstances de l’interdiction de l’imprimerie, c’est a dire le retour d’un ambassadeur detenant cette invention dangereuse.
Enfin l’enumeration des raisons de l’interdiction dans les paragraphes numerotes au conditionnel, qui rappel des articles de lois, est l’element le plus frappant, et qui imite un decret, un texte administratif. b) Le choix de l’orient comme cadre a plusieurs raison. Tout d’abord, localiser le recit dans un pays lointain permet a Voltaire de se degager de la censure et d’exploiter toute la gamme de l’ironie. De plus si le lecteur ne lit pas avec assez d’attention et qu’il voit les choses au premier degre, il ne se sentira nullement vise et ne verra qu’une moquerie envers le regime oriental.
Mais certains indices servent a avertir le lecteur : « sottise et benediction », « notre palais de la stupidite » pour qu’il puisse comprendre que le cadre a ete choisi pour se moquer. La fiction orientale permet egalement de mettre l’accent sur le fait que la decision est guidee par la superstition. En effet Voltaire parle de fakirs ainsi que de superstition et donne ainsi un visage pueril aux condamnation faites contre l’imprimerie. ) Les « risques » entraines par l’introduction de l’imprimerie et de la lecture sont diverses : cela dissiperait l’ignorance, ameliorerait l’agriculture et l’industrie (progression sociale et morale), diffuserait l’Histoire objective pouvant faire reflechir les hommes, repandrait la philosophie des Lumieres : « eclairer les hommes » et mettant en jeu des vertus morales, remplacerait la superstition par la vraie religion, et enfin entrainerait des progres dans la medecine. d) Les mesures prises sont carrement l’opposee des droits de l’homme. Elles consisteraient a interdire aux gens de parler et meme de penser.
Ils seraient donc obliges de faire des phrases courtes pour etre certain de ne pas vehiculer d’idee et de rester dans l’ignorance. Il serait evidement interdit de lire car ils se mettraient a penser, et il est donc interdit d’apprendre a lire. Cela contraint en fait a l’ignorance et a la stupidite la plus totale, et oblige a n’etre que des coques vides, qui ne pense ni parle. Cela reviendrais d’apres moi, a enlever tout sens a la vie. e) Grace a ces procedes Voltaire fait une critique general de tous les pays autoritaires qui contraignent leur peuple a l’ignorance.
Tout d’abord la satire principale est une critique moqueuse de l’ignorance elle-meme provoque par l’absence d’enseignement, de liberte d’expressions et de libre pense. Puis, en faisant semblant de critiquer l’imprimerie et en exposant ses risques, Voltaire se moque en fait de ceux qui pensent vraiment comme il le fait dans le texte , et met en fait en avant les avantages d’une tel invention. En effet pour un Etat qui « pronent » l’ignorance, l’imprimerie est une invention pernicieuse, alors que pour Voltaire la connaissance est indispensable pour lutter contre la stupidite.
Elle favorise le progres, le confort et fait avancer les m? urs. L’ignorance de la lecture et de l’histoire maintient le peuple dans le mensonge et le merveilleux, alors que sa connaissance permet la reflexion : source de raison. f) Premierement une partie expliquant la structure du texte et les etapes de l’argumentation, deuxiemement une partie demontrant l’efficacite du stratageme employe par Voltaire, et enfin une troisieme partie mettant en avant ce que denonce reellement l’auteur.