Plan détaillé : – Les limites de la pp La politique budgétaire gouvernement pour p g et en ?ouvre un as en utilisant son pouvoir de fixer les recettes de l’état et les priorités dans la préparation des dépenses publiques. A) Financement de la politique budgétaire Pour financer une politique budgétaire de relance l’état peut avoir recours à deux solutions : l’emprunt ou la hausse des impôts. ) L’emprunt Les emprunts sont exclusivement destinés à financer des investissements, qu’il s’agisse d’un équipement spécifique, d’un ensemble de travaux relatifs à cet équipement ou encore d’acquisitions de biens durables considérés comme des immobilisations. 2) L’impôt l’État peut financer ses dépenses publiques entièrement par les recettes fiscales en augmentant les impôts. Cependant, ce choix de soutenable des finances publiques.
Lorsque la dette publique s’accroît cela pose deux problèmes : Les marges de man?ouvre budgétaires se réduisent cette peut se retrouver dans une situation d’insolvabilité (ex : la grec) C) Les limites de l’efficacité budgétaire Les anticipations des agents économiques sont très importantes pour la réussite d’une politique économique. Des anticipations optimistes peuvent jouer comme un amplificateur pour une politique de relance. Les anticipations peuvent aussi limiter fortement l’efficacité d’une politique budgétaire.
Dans le
La crédibilité de la politique monétaire permet de modérer à la baisse les anticipations d’inflation et les revendications salariales des a nets économiques. La transparence de la polit -ré permet aux agents 2 unitaire permet aux agents économiques de disposer des informations nécessaires pour formuler des anticipations justes par rapport à l’inflation C) Les difficultés Dans une zone monétaire, la même politique doit aller à tout le monde (par exemple la zone euro).
Or, de nombreux écarts persistent entre les économies de la zone en matière d’inflation, de croissance et de déficit public. Il est donc très difficile pour la BEC de mener une politique adaptée à l’ensemble des pays. L’internationalisation des capitaux, conséquence de la monopolisation, pèse fortement sur l’autonomie des politiques notaires. En effet, le niveau des taux directeurs fixés par les banques centrales influence fortement les mouvements de capitaux, qui circulent librement sur les différents marchés financiers à la recherche du meilleur rendement.
Ces mouvements impatient fortement sur le niveau du taux de change, qui a lui-même un effet sur le commerce extérieur, et donc sur la croissance. Il- La difficulté de coordination des politiques conjoncturelles I apparaît nécessaire de coordonner les politiques économiques au sein de la zone euro afin d’exploiter l’interdépendance économique des pays tout en limitant les effets néfastes sur l’économie de la zone (inflation, taux d’intérêt) des politiques économiques menées de manière isolée.
Cela Implique une coordination à deux niveaux la coordination des politiques budgétaires nationales pour éviter les comportements de passager clandestin (frère rider) et les effets néfastes d’une politique budgétaire isolée sur l’économie de la zone (hausse de panification et des taux d’intérêt) la coordination des politiques budgétaires avec la politique monétaire pour renforcer l’efficacité de ces politiques.