La littérature permet avant tout de découvrir le monde, de nouvelles cultures, de nouveaux peuples. L’ethnographe, Jean de Léry, raconte sa première rencontre avec les Brésiliens, dans son récit de voyage. Voltaire, dans son conte philosophique, raconte l’histoire d’un Huron, appelé L’Ingénu, qui est accueilli par une famille bretonne de Kerkabon. Et enfin, Jean-Christophe Rufin, dans son roman Rouge Brésil, raconte la rencontre entre des soldats de l’escouade française de Villegagnon et des Indiens. En effet, ces trois textes établissent une relation entre la connaissance de la langue et la connaissance de l’autre.
Savoir parler plusieurs langues permet de découvrir des Swipe to page peuples étrangers, d que grâce à la connai ce que les Tououpina baou marapé-dereré, c’est nom » (1. 1 à 2). Cette res. Léry montre Ilienne, il comprend t « Marapé-dereré, om, comment as-tu de traduire leurs paroles et donc de discuter avec eux, d’échanger, d’établir un dialogue. De plus, cela lui permet d’apprendre que son surnom a une signification particulière chez eux. « mon surnom Léry, signifie un une huître en leur langage » (l. 15). Donc, celui-ci en joue.
Il s’attribue un autre surnom, plus proche de leur langue, ? je leur dis que je m’appelais Léry-oussou