Économie Chapitre 8 : Les facteurs de croissance Facteur travail : main d’œuvre disponible dans un pays (chômeurs et travailleurs) Dans 20 ans, des métiers nous sont encore inconnus. USA ; 4% de chômage et 4% de croissance Progrès technique : (PGF) la part de la croissance qui ne résulte pas de la seule augm provient de l’efficacit v ors Sni* to View La croissance extensi l’augmentation des q œuvre (plus de machines, etc) production, mais ers sont utilisés. t de roduction mis en La croissance intensive : est le résultat de l’amélioration de l’efficacité des facteurs de production , elle se traduit ar l’augmentation de la valeur ajoutée par salarié ou par l’accroissement des performances des machines, du fait du progrès technique. Elle s’appuie donc sur des gains de productivité. Pour Schumpeter, la croissance repose, en plus d’autres facteurs, sur le chef d’entreprise, ce « héros » qui entreprend et prend le risque d’innover. Pour Solow : c’est l’investissement qui explique la croissance.
Mais la croissance touche ici sa limite lorsque l’investissement devient inutile. Alors, il a réfléchi et ajouté le progrès technique comme le issues de l’expérience ou de la recherche. II permet soit de produire utrement, soit des produits
La croissance peut s’expliquer par l’augmentation des quantités de facteurs de production travail et capital utilisés dans le processus de production. On parle alors de croissance extensive. Cependant, eulement une partie de la croissance pouvait s’expliquer ? partir de ces facteurs. L’autre partie, ou « résidu est attribuée au progrès technique. On parle alors de croissance intensive, car la hausse de la production est à mettre au compte d’une augmentation de la productivité des facteurs de production, qu est une conséquence du progrès technique.
Le graphique présenté dans le document 1 illustre bien ce phénomène. Dans les faits, la croissance est rarement exclusivement extensive ou exclusivement intensive. Dans le cas de la Corée du Sud, elle est principalement, et de plus en plus, intensive qu’extensive. Question 2 p82 Le document 4 fait référence à la Formation Brute de Capital Fixe qui correspond à la notion d’in dans les systèmes de la mondiale, montre la très forte croissance en 52 ans de l’investissement sud-coréen.
Cette forte augmentation de l’investissement correspond à une accumulation de facteur capital, en corrélation avec la croissance sud-coréenne repérée dans le document 1 (même si le rythme de cette croissance ralentit, il s’agit bien malgré tout d’une augmentation du PIB. On peut toutefois noter deux baisses de l’investissement : l’une en 1998, suite à la crise financière qui a touché les économies asiatiques et l’autre n 2009, sulte aux répercussions de la crise économique touchant les États-Unis et l’Europe.
Question 3 P82 Les pouvoirs publics sud-coréens ont réalisé des investissements publics importants dans le secteur des NTIC. Ce secteur a transformé la vie économque et sociale du pays. Par ailleurs, depuis 2009, ils soutiennent les PME en se portant garants lors de leurs demandes de financement auprès des institutions financières ou des banques afin de favoriser l’entrepreneuriat et la recherche. En 2011, le soutien public total aux PME s’élève à plus de 8 milliards de dollars. De plus, la Corée du Sud a opté, en 2010, pour une fiscalité peu contraignante, à la fois sur le travail et sur les bénéfices.
Par exemple, la Corée du Sud a baissé son taux d’imposition des bénéfices des sociétés de 30,8 % en 2000 à 24,2 % en 2010, taux bien inférieur à la moyenne de l’OCDE. Cette baisse a pour objectif d’inciter less elle a misé avec succes sur Péducation : 71 % des jeunes vont ? l’université contre 56 % dans les autres pays de l’OCDE, en 2013. Les pouvoirs publics coréens ont donc bien exercé une influence sur la croissance du pays. Chapitre 9 : Les firmes multinationales dans l’économie mondiale
Firme multinationale : entreprise ayant une nationalité et d’autres filiales dans plusieurs pays autre que son siège social. IDE : désignent les investissements par lesquels des entités résidentes d’une économie acquièrent ou ont acquis un intérêt durable dans une entité résidente d’une économie étrangère. C’est sur le long terme. Les investissements « en portefeuille » se distinguent des investissements « directs » car ils obéissent à une simple motivation de placement, sans intention d’intervenir dans la gestion de l’entreprise. Ils répondent à une logique financière et non à une logique productive PAGF