Introduction Accroche Plusieurs crises se sont produit dans le monde économique, les plus connus sont les crises de paiement des années 1997 et 1998 survenues dans les pays dits » émergents « , en Asie du sud-est, en Russie et en Amérique Latine, ces crises étaient préoccupantes pour les pays concernés, et aussi par leurs effets sur les pays développe. e monde a temoigner a fragilité de léconomie mondiale et de l’incapacité des grands Etats industriels à préserver la planète contre de tels bouleversements, Ces crises ont necessité plusieurs réformes a OF institutions spécialisé le p g mondiale, des règle e développement, I ernationnale par les rnational, la banque banques régionales pays les » G 7, G 10, les défaillances de certains intervenants sur les marchés financiers, en particulier la faillite du fonds spéculatifs (hedge fund) i’ long term credit management ‘i (LTCM) et de nombreux fonds d’investissement étant établis dans des paradis bancaires et fiscaux qui attirent les transactions les plus contestables.
Ces défaillances posent la question des risques économiques engendrés par les marchés financiers, en particulier ceux de produits dérives, et conduisent à l’intéresser à la prévention es risques systémiques. A cette question est liée toute la problématique de la surveillance
Son étendue sectorielle, temporelle et géographique peut aller d’un seul secteur d’une seule région pour une brève période à l’ensemble de l’économie mondiale pendant plusieurs années ; on parlera alors de ralentissement économique ou, plus grave, de récession économique. Une telle crise comporte souvent (mais pas systématiquement) des répercussions sur le niveau des salaires t la valeur du capital (valeurs boursières), provoque des faillites et du chômage, accroît les tensions sociales et politiques, et peut même avoir des répercussions sanitaires. La crise, pour certains comme Gottfried Haberler, est le moment de retournement d’un cycle économiquel. Dans la théorie marxiste, si la c 20F 14 Haberler, est le moment de retournement d’un cycle économiquel .
Dans la théorie marxiste, si la crise est entendue comme entraînant la chute du capitalisme, les crises sont interprétées comme le moyen par lequel le capitalisme se réorganise2. Usuellement, en langue anglaise, le terme crise ?conomique est compris au sens marxiste et est peu utilisé[réf. nécessaire]. Il lui est préféré les termes plus économiques de dépression (économie) ou de récession. C’est ainsi que la crise de 1929 s’appelle Grande Dépression ou que la crise économique de 2008-2010 est appelée Great Recession. En français, usuellement, le terme crise comporte l’idée, proche du marxisme, qu’une page se tourne et qu’il convient que le capitalisme soit réformé.
Dans cette optique, la crise économique est parfois vue comme un phénomène qui ne se termine qu’avec l’adoption d’une nouvelle structure économique. Problématique : Pour certains, l’intervention régulatrice des pouvoirs publics ne doit pas nuire au libre jeu des forces du marché et doit favoriser le fonctionnement de la main invisible (Adam SMITH, La richesse des nations). En revanche, pour d’autres, la régulation doit modifier le fonctionnement de certains marchés en fonction d’objectif d’intérêt général. La régulation vise dans ce cas ? Inciter les acteurs à orienter leurs comportements tout en les laissant libres d’agir dans ce cadre.
Les marchés financiers ont pour objectif de faire se rencontrer les besoins des acteurs, par xemple ceux qui cherchent des capitaux et ceux qui souhaitent placer les capitaux dont ils disposent. Les actifs qui s’échangent sur ces marchés sont des actions, des obligations, des crédits ? court terme, des devises, des matières pr 30F 14 marchés sont des actions, des obligations, des crédits à court terme, des devises, des matières premières, etc. Ces actifs peuvent être échangés sous différentes formes : transaction au comptant (spot), à terme (forward), option d’achat ou de vente ou produits dérivés complexes (Rémi BACHELET [1]).
L’interrelation ntre les intermédiaires financiers entraîne le risque de faillite d’une institution financière qui génère à son tour un effet en chaîne déstabilisant le système financier et l’économie réelle (risque systémique). En parallèle, les marchés financiers se caractérisent intrinsèquement par l’instabilité et non pas par un processus menant vers l’équilibre entre l’offre et la demande. Autant de raisons qui justifient Vintervention des régulateurs afin de garantir l’organisation du fonctionnement des marchés, l’information et la transparence des acteurs et la protection des épargnants. Quel avenir pour l’autorégulation après la crise financière ? Dans quel mesure la régulation de la finance internationale peut prévenir les crises économique ? Quelles évolutions dans la régulation des activités financières ?
Presentation du plan : on va dans un premier lieu on va définir l’aurorégulation selon l’analyse libérale et montrer les failles de l’autorégulation, puis dans un second lieu on va voir le rôle des institutions financières dans la régulation de la finance internationale et enfin les limites de cette régulation. Autorégulation et crises économique : une rélaité ou une fiction ? Le principe d’auto-régulation des marchés est fortement critiqué aujourd’hui. En fait, il l’a toujours été. Mais, la crise financière et économique est un prétexte de plus pour le faire. Alors, l’autor 4 4 été. Mais, la crise financière et économique est un prétexte de plus pour le faire. Alors, l’autorégulation est-elle un mythe, la fameuse main invisible de Smith l’est-elle parce qu’elle n’existe pas? ) L’autorégulation de la finance et la prevention des crises: Au XVIIIe siècle, l’économiste Adam SMITH estimait que la concurrence agit comme une « main invisible » pour assurer que es quantités offertes soient égales aux quantités demandées(une « main invisible » conduit l’individu cherchant son intérêt particulier à oeuvrer dans le sens de l’intérêt général). Au XIXe siècle, l’économiste WALRAS a cherché à montrer que dans les conditions de CPP, l’équilibre des marchés interdépendants se réalise simultanément par des ajustements de prix : c’est la théorie de l’équilibre général. Selon ces théories, le marché s’autorégule à condition que l’Etat intervienne uniquement lorsque l’initiative privée est défaillante.
Le mécanisme d’autorégulation du marché jouera si es décisions des uns peuvent s’adapter aux décisions des autres sans entrave. L’autorégulation du marché repose sur le modèle de comportement de l’homme : sa rationalité. Une petite précision sur les mécanismes de l’autorégulation s’impose. L’autorégulation ne signifie pas qu’il n’y a pas de crise, elle ne signifie pas une croissance continue et sans heurts. Le marché est comme un lieu virtuel, où sont proposés des produits, des financement, des innovations. Ily a des réussites, des ratés. L’économie de marché est une économie d’expérimentation. On expérimente, et on garde ce qui marche. On procède par tâtonnement.
Ily a donc des crises. C’est un processus d’apprentissange. On apprend des succès et des échecs. 4 crises. Par ailleurs, les économistes ont également mis en évidence des cycles. Cycles longs, cycles courts. Céconomie n’est pas un long fleuve tranquille. Cest une leçon du libéralisme que de savoir se préparer aux temps plus difficiles, leçon que n’intègrent pas les politiciens. La crise actuelle est-elle une crise « normale » de l’autorégulation? Non, car elle provient de l’action du gouvernement américain et de la Federal Reserve (la Fed) en aveur du crédit. C’est une crise provoqué par la manipulation du crédit (cf Les essentiels sur la crise).
Cependant, un des reproches fait à la Réserve Fédérale, la banque centrale américaine, c’est justement d’avoir trop soutenu les banques et les marchés financiers. A chaque crise, à chaque anticipation de crise, la Fed a baissé ses taux, ce qui abaissé le coût de refinancement des banques, ce qui soutenait les marchés financiers. Sans compter que la Fed a aussi protéger le système financier de la faillite du fonds LTCM, puis de celle de Bear Stearn. Puis, un our, il a fallu admettre la réalité de la crise, et laisser la banque Lehman Brothers faire faillite. Si on avait laissé faire le principe d’apprentissage, peut- être que les banquiers et le système financier auraient été plus prudents. L’autorégulation des marchés ne signifie donc pas absence de crise ou de soubresauts.
Face aux simplifications extrêmes de la théorie de l’économie de marché, il est bon de le rappeler. Et c’est aussi pour cela qu’il faut, pour les gouvernements, un budget équilibré en période de croissance: car il y aura forcément un jour une période moin 6 4 n budget équilibré en période de croissance: car il y aura forcément un jour une période moins faste. 2) les faille de l’autorégulation Toutes les initiatives de l’économie pour le respect des droits humains et la protection de l’environnement ne sont jusqu’ici pas contraignantes. La mise en œuvre de principes bien intentionnés dépend de la bonne volonté des entreprises qui les ont adoptés.
Les codes de conduite sont souvent élaborés par les firmes elles- mêmes, sans participation d’autres parties prenantes (syndicats, ONG, etc. ). Leurs contenus sont fréquemment formulés d’une anière générale, donc peu précise, et sans référence explicite aux traités internationaux existants (conventions de l’ONU et de l’OIT): Ils sont souvent lacunaires : les normes ne se réfèrent souvent qu’à quelques droits humains spécifiques et pour des situations particulières. Leur champ d’application est par là-même réduit. De plus, les standards ne sont pas vraiment ancrés dans les structures et processus de l’entreprise dans son ensemble.
Ils ne font pas l’objet d’une information / formation suffisante du personnel concerné et des partenaires d’affaires (fournisseurs). Partant, la mise en œuvre est déficiente. Enfin, les entreprises qui n’assument pas leur responsabilité – ou seulement de manière insuffisante – et qui ignorent les droits humains ainsi que les standards environnementaux, ne doivent guère s’expliquer ou rendre des comptes. Les mécanismes de contrôle prévus dans les concepts de RSE sont lacunaires et ne répondent pas aux critères d’indépendance. Les pays qui dépendent fortement des investissements étrangers n’ont souvent pas l’autorité et le pouvoir nécessaires pour imposer leurs lois aux mult