KARL POIRIER L’être humain 340-102-MQ, gr. 00012 LA CONSCIENCE Sartre & Freud Travail présenté ? M. JEAN LARIVIÈRE Département de Philosophie hea Cégep Limoilou Le 16 mai 2014 La conscience Depuis nombre ann hypothèses aussi cel dirigées par les reche leur époque et les pr ces philosophes, des or 5 Snipe to View uccèdent et leurs s sont souvent ui les précédaient, cette époque. Parmi ont observables entre les conclusions de ces ditt rents penseurs. Deux philosophes qui illustrent bien ce phénomène sont Freud et Sartre.
Sigmund Freud (1856-1939) a mis au point la psychanalyse. Il utilise alors les personnes atteintes de maladies mentales : névrose et hystéries, afin de réaliser sa thèse. Quant ? lui Jean-Paul Sartre (1905-1980), suite à son emprisonnement en mai 1940, se fixe un devoir dans la communaute, il n’est alors plus l’individualiste des années 1930. La guerre marque alors une génération d’intellectuelle : réaction d’un sentiment d’absurdité face à la barbarie. Ces alors sur leurs divergences d’opinion sur le sujet de la conscience, que la présente dissertation portera.
D’une part, il sera question de l’anthropologie freudienne suivie de ‘anthropologie sartrienne. D’autre part il sera question d’une comparaison des idées que chacun a apportées et ensuite d’une conception
Tout d’abord, la ie inconsciente est alors guidée par le principe de plaisir et de déplaisir c’est-à-dire la jouissance (vie consciente) doit prendre en compte les exigences de la réalité soit le principe de réalité (moi). Ensuite, le temps n’existe pas, principe de compulsion répétitive. Finalement, les représentations Inconscientes sont imperméables tandis que la pensée consciente st soumis au doute. Freud va alors dégager certaines instances psychiques. Le moi, le surmoi et le ça. Le moi, dirige et contrôle il est un intermédiaire entre le surmoi et le ça(principe de réalité).
Le surmoi, image morale idéale (principe de perfection). Quant à lui, le ça est l’ensemble des pulsions et des désirs refoulés (principe de plaisir) De plus, selon Freud, le rêve est indispensable à la connaissance de l’être humain. C’est alors l’accomplissement d’un déslr refoulé résultant d’un compromis entre deux forces. Soit d’un désir qui cherche satisfaction et d’une conscience morale qui refuse ce désir. C’est alors que l’inconscient doit déformer le désir pour ne pas alerter le «moi». Le rêve est donc composé d’un contenu manifeste c’est-à-dire ce que our ne pas alerter le «moi».
Le rêve est donc composé d’un contenu manifeste c’est-à-dire ce que l’on retient et d’un contenue latent soit le sens caché, le sens inconscient soit le fruit du travail il est accessible grâce au travail d’analyse. Le travail du rêve est celui des mécanismes psychiques soit : la dramatisation, la condensation, le déplacement et la figuration. Bref, selon Freud la conscience est déterminée par l’inconscient. Chaque acte ou idée ont un antécédent qui s’explique par l’inconscient. un acte qui semble être une erreur n’est selon Freud pas dû au hasard.
Deuxièmement, quant à lui J. p Sartre, croit que la conscience est synonyme de liberté. Sartre a fortement contribué au mouvement existentialiste. L’existence est sans fondement. C’est donc pourquoi Sartre propose alors que ‘homme n’est pas un être, mais un projet d’être. Il croit aussi en la contingence et en l’authenticité. Pour Sartre, la contingence, soit qu’une chose soit de manière non nécessaire, autrement dit que cette chose existe alors qu’elle aurait pu ne pas exister est un élément important de la pensée de Sartre. L’homme et sa conscience sont alors contingents.
Il existe gratuitement sans raison sans justification et sans fondement. Selon la contingence il aurait deux modalités de l’être soit l’en soi et le pour-soi. L’en soi n’a pas le choix il a déjà une idée de ce qu’il sera et a quoi il servira c’est en quelque sorte un objet. Le pour- soi en ce qui le concerne c’est la conscience il a le choix et il est non nécessaire. L Le pour-soi en ce qui le concerne c’est la conscience il a le choix et il est non nécessaire. L’homme n’est clairement pas un objet il n’est donc rien il est inachevé.
De plus, pour Sartre, le fait d’assumer sa liberté soit l’authenticité est une exigence du moral de la philosophie de Sartre. Authenticité s’exprime dans l’angoisse. ‘angoisse n’est pas la peur, mais plutôt la liberté de toutes les possibilités qui s’offrent à nous. On a peur de quelque chose, des êtres et du monde, mais on s’angoisse devant soi comme le montre l’expérience du vertige. Lorsque la conscience est incapable d’assumer la responsabilité et pour fuir l’angoisse de la liberté l’être humain a aussl la possibilité d’une «non-véracité» envers lui-même.
C’est alors que l’inauthenticité fait son apparition c’est ce que Sartre nomme mauvaise Foi. La mauvaise foi est en quelque sorte l’inconscient selon Sartre. Il distingue 3 types de mauvaise foi : refuser de choisir, refuser d’être responsable de ses actes et refuser de se montrer telle que l’on est. Bref , selon Sartre, la conscience est la liberté soit la multitude de possibilités qui s’offrent à nous. Il estime que chaque personne est responsable de ses choix donc de la situation ou ces choix l’on mené. Il croit que c’est la conscience qui détermine.
Il croit qu’il ‘a ni dieu ni destin et n’y force qui contrôlerait les choix de l’être humain. Ces deux philosophes proposent alors une réflexion commune sur la conscience. Les deux philosophes reconnaissent une dualité de l’esprit humain entr PAGF commune sur la conscience. Les deux philosophes reconnaissent une dualité de l’esprit humain entre le conscient et Finconscient. Cependant cette inconscience n’a pas la même place dans les deux théories. La différence majeure est au niveau de la censure de cette inconsciente.
Pour Sartre l’inconscient fait partie du conscient. Tandis que pour Freud le fait qu’une pensée inconsciente ne devienne pas consciente est le travail de plusieurs mécanismes de défense Selon moi, l’homme n’est pas prédéfini. La conscience est un phénomène difficilement explicable. C’est en quelque sorte la réalisation d’événements intérieurs ou extérieurs. Cette conscience est libre. Cependant, l’inconscient joue un rôle aussl, soit lui d’une idée pour justifier l’irresponsabilité de certaines personnes. Je ne crois pas que l’inconscient dirige le conscient.
Selon moi l’inconscient est refoulé par des mécanismes de éfense dont nous sommes conscients. En somme, ces deux philosophes nous proposent deux théories intéressantes sur la conscience. Freud s’affirme par le déterminisme c’est-à-dire que le sujet n’est pas maitre dans sa propre demeure tandis que Sartre s’affirme par la liberté et par le fait que ‘être humain a de multitude possibilité et qu’il est maitre de sa demeure. En ce sens, il a belle et bien quelle que chose qul distingue l’homme et tout autre être vivant, cette chose est telle réellement la conscience ou alors l’inconscience ?