Elle était assise, l’air pensive, elle tenait entre ses mains usées et crispées une lettre. La lettre semblait usée, mais incroyablement bien conservée. Les bords de l’enveloppe avaient légèrement Jauni avec le temps. Elle fixait la lettre, la scruta dans les moindres détails. Ses minces sourcils qui avaient disparu avec le temps rendaient son visage plus doux. Ses joues tombante lui marquaient ses traits, des rides cernaient son front, ses yeux, sa fine bouche. Ses yeux noisettes creaient, un contraste avec son tein blanchatre.
Visiblement sa peau n’avait pas vue le soleil depuis bien longtemps. Sur sa peau fripée était, parsemée de taches brune qu’avait laissé temps tel le petit poucet pour marquer son passage. De longs cheveux argentés soigneusement noués au dessus de vêtue d’une robe dé illuminat son visage. remontaient sur ses résignée. Elle sortit la Les mots lui é ors Swipe to Wew next page isage. Elle était arpe blanche blanches e femme semblait la déplia étaient familiers cependant celà ne lui empechait pas de redécouvrir le sens de chaque phrases comme au premier jour.
On aurait dit qu’elle buvait les mots comme si elle buvait la vie. Son regard semblait retrouver son éclat d’autre fois où elle était belle
Pendant un instant le temps s’arreta… Cest alors qu’elle se rendit compte du silence qui régnait dans la piece qui était maintenant de venue sombre. Elle promena son regard sur toute la piece. Il y avait au fond de la piece un secrétaire ainsi que quelques étagères en bois. Tous étaient habillés de décorations, de photos, de souvenirs… Au centre il y avait une table rallongeable cependant celà faisait longtemps qu’elle n’avait plus acceuilli de monde. Les murs de la piece étaient habillés de papiers peints fleuris. avait plus acceuilli de monde. Les murs de la piece étaient habillés de papiers peints fleuris. On pouvait sentir que la piece avait été décorée avec amour et patience, elle reflétait le passé de toute une vie. Enfin son regard revint vers la lettre, elle huma l’odeur ? la recherche d’odeurs familière. Après avoir fais le plein de souvenirs elle approcha la lettre près de son coeur. Fixait son regard au loin puis soudain comme rappelés à la réalité ses yeux perdirent la flemme et le sens.
Ils se remirent à adopter le eme regard vague et inexpressif comme si le temps lui passait à travers. Chaque seconde semblait être un défit avec le temps comme si elle le redoutait… Elle avait acquéri une vue privilégiée sur le monde, accordée seule par le nombre d’années. Alors le conditionnel cèdait à la place à un futur trop immédiat et certain. Sa main tomba lourdement sur ses jambes. Ses yeux se perdirent dans le néant, dans le vaste monde… Le temps d’un instant une colombe passa, la feuille se détacha de son arbre , une seconde s’écoula puis… le temps s’en alla..