Déjà la nuit en son parc…. 1ère STMG oral de français Comment un cliché trouve t’il ici une expression originale ? (Introduction) Joachim Du Bellay né en 1522 et mort en 1560, est un grand poèt e du XVI ème siècle. En 1550, il publie le recueil l’Olive , composé de 105 son pour susciter de l’é femme aimée, idéal beauté qu’en vertu. mme idéale. t Swip next page rique, écrite odèle de la tion à l’aube d’une fe Comment le cliché trouve t ‘il, ici, une expression originale ?
LE CTURE Dans un premier temps, nous allons étudier la mise en scène de » l’apparition », puis nous errons que le poète nous présente cette apparition sous forme d ‘un tableau. le décor) le poète est originaire de la région d’ Anjou, on retrouve ici des références à sa terre natale ? laquelle il est très attaché : vers 8 « les prés », vers 10 « verte rive », vers 11 « fleuve mien » qu évoque la Loire, finalement vers 14 « l’angevin ». Ce poème reflète une expérience personnelle JDB crée un cadre naturel parfait pour une apparition parfaite. (la femme) Il a choisi de ne pas la nommer et de la décrire très peu.
Elle n’apparaît qu’au premier
tercet, es deux premiers quatrains ont permis de placer le décor et le moment de cette apparition. Il compare cette femme à une étoile vive vers 9, à une Nymphe vers 11 et à une Aurore vers 12. Le choix de ces comparaisons nous fait comprendre qu’il s’agit d’une femme merveilleuse, pas du tout réelle. (l’apparition) Le poète assiste à cette apparition , vers 10 « je vis ». La femme apparaît à l’occident donc sur un fond sombre parce qu’il fait encore nuit et semble encore plus lumineuse. Devant la beauté de cette apparition le jour lui même est honteux. e poète utilise une personnification , e jour est rouge de honte, honte du jour qui ne peut pas rivaliser avec la beauté de cette femme étoile. Cette apparition semble invraisemblable dans un univers qui mélange le réalisme, le merveilleux, la divinité et le surnaturel. (le tableau) On peut dire, que le début du poème se passe dans l’obscurité, vers 1 « nuit », vers 3 « caverne profonde », vers 4 « noirs chevaux » que l’apparition de la femme va contraster. le poète utilise une palette étendue de couleurs : le jaune vers 6 « les tresses blondes », le noir vers 4 « les noirs chevaux », le rou e vers 2