«En ce monde rien n’est certain, à part la mort et les Impôts. », a dit Benjamin Franklin. La mort, le dénominateur commun de tout être vivant, voilà le vaste sujet que Ray Bradbury a traité dans sa nouvelle, La Faux. Elle vous sera résumée, interprété et ensuite recommandée. La Faux est une puissante métaphore sur la mort, un sujet pourtant maintes et maintes fois travaillé. Elle raconte l’histoire d’un homme, Drew, et de sa famille, vers le milieu du 20e siècle n route pour la Californie car ils ont perdues leur ferme.
Par chance, ils héritent inopinément d’une ferme. Faisant partie de cet héritage, une faux avec l’inscription : «Qui me branle-ébranle le monde! ». La famill quoi se nourrir. Aprè se rend vite compte qu’il ne connait pas. Il pourrit quelques heu Swape nextp g ‘ voir un toit et de e remet au travail. Il ue c’est une variété n uniformément, il é et il pousse seul, sans aide extérieur et malgré la pauvreté de la terre sur laquelle il se trouve. ur Drew, impossible non plus de ne pas couper le blé mûr, une envie irrépressible lui ordonne de se mettre à la tâche tous les jours. Un
Cette nouvelle est intéressante car elle permet une multitude ‘interprétation. Premièrement, il faut savoir qu’elle a écrite en 1943, soit en pleine Deuxième Guerre mondiale. Elle a subit quelques retouches avant d’être publié en 1955. La première interprétation qu’il est possible de faire concerne la ruée vers l’or, le rêve américain, la Grande Dépression, le Dust Bowl et la famine. La Faux nous fait suivre l’histoire d’une famille typique de fermiers américain, mais sans ferme. Pourquoi?
Puisque l’histoire se déroule dans la première moitié du 20e siècle, on eut penser à la crise de 1929 et au Dust Bowl, deux évènements catastrophiques pour les fermiers de cette époque. Cela nous conduit à parler de famine. Ce qui poussera la famille à chercher un autre endroit pour vivre. La Californie dans ce cas. Peut-être un clin d’œil à la conquête de l’ouest et à la ruée vers l’or du siècle précédent. Ce qui peut faire penser au rêve américain, une idée selon laquelle n’importe qui peut faire fortune en allant au 2