Definition du circuit economique. Depuis le debut des 80’s vague de decouverte qui modifie le contexte technologie au niveau de la production et des services. L’effet du progres technique sur la production de biens a ete plutot negatif en termes d’emplois. Dans les services, l’effet est inverse. En termes de production, a court terme. (Plus on augmente le travail plus il y a de production). Impact du progres technique. Lorsqu’on a une quantite de travail, on a une production.
Il permet de produire plus avec la meme quantite de travail, deforme la courbe de production. Pour obtenir le meme niveau de production, besoin de moins de travail. ? quantite identique de production avec moins de travail Permet d’augmenter la productivite moyenne des facteurs de production. Cela s’est passe dans l’industrie de 1974 jusqu’a 95, baisse de la quantite de travail du au progres technique. ? entraine la recherche pour faire fonctionner les machines ; les emplois sont crees grace au progres technique ; ce sont des emplois plus qualifies.
On detruit beaucoup d’emploi dans l’industrie a cause du progres technique. D’autre part des emplois se developpent independamment du progres technique (emploi de service de proximite). ? le progres technique n’a pas que des consequences negatives
Evolution des differentes variables du carre magique ; Sur les fleches des effets « feedback », effet de retour. Ex : sur le commerce exterieure, le prix peut influencer. Dans le DMS, a peu pres 250 variables, soit 600 equations. Le fait de faire varier les variables, toutes les variables bougent plus ou moins : on a des moyens de plus en plus sophistiquees et des previsions de plus en moins fiable. Ex : l’an prochain, 0. 75% ou 1% de croissance peut etre explique par la croissance chinoise. Croissance qui provient d’un pays emergent.
De la meme facon on ne sait pas la variation de la croissance americaine qui aura des repercussions sur l’economie europeenne (70% du commerce internationales se fait entre les PED) ? les economies se de plus en plus interdependantes. Finalement, la tache des responsables politique economique est de plus en plus difficile car cette politique economique est soumise a des contraintes techniques qui fait que de plus en plus l’espace de la politique economique se reduit. En bref, dans les 60’s on avait de multiples instruments pour repondre a un incident economique.
Dans les 70’s egalement a partir des 80’s l’ouverture des frontieres fait que les marches sont de plus en plus interdependants. Ainsi on arrive sur un marche mondialise. Les politiques internes voient leurs instruments se reduisent. Ensuite, une diminution de l’efficacite de ces instruments : on a bien une reduction des possibilites, on ne peut que faire une politique economique internationale. – soit il existe une convergence entre le PS et l’UMP : ils n’ont plus le chois ils doivent faire la meme politique car contraint par un marche mondialise.
Il est aujourd’hui plus facile de faire un gouvernement liberale => impasse du parti socialiste, etant de gauche et devant faire une politique liberale car trop avance vers la liberalisation des marches. B) Les contraintes et la selection des instruments des objectifs Les responsables de la politique economique sont de plus en plus soumis a des contraintes techniques qui en fonction des choix collectifs ou etatiques les conduisent a selectionner les instruments et les objectifs. ? Les contraintes techniques ou objectives. On peut identifier un certains nombres de contraintes : . Contrainte de definitions : les indicateurs necessaires a la prise de decision peuvent ne pas etre disponible ou se reveler d’une fiabilite douteuse. Si le chomage augmente c’est a cause d’une population pas assez qualifiee. Il faut ameliorer le niveau de formation ; une etude montre qu’a travers les ecrits des etudiants de 2e annee rejoignent ceux du certificat d’etudes de 1910 2. L’impossibilite d’utiliser certains instruments pour des raisons legales ou politique. 3. Les instruments sont plus ou moins efficaces selon les objectifs (taux d’interet ou masse monetaire).
Jusqu’aux 80’s l’instrument le plus efficace etait la masse monetaire. Il y avait de moins de credit donc moins de tensions inflationnistes. Avec les ouvertures des marches le taux d’interet devient plus efficace. Generalement un gouvernement a interet a utiliser l’instrument le plus efficace. C’est la loi de MUNDELL. 4. Conditions aux limites ; l’instrument peut etre utilise entre des valeurs minimales et maximales. Pour relancer la consommation on diminue le taux d’interet, probleme jusqu’ou ? y a-t-il une valeur minimale ? > 0 (c’est l’exemple du batiment, on peut emprunter a un taux 0, egalement les etudiants) un secteur d’activite ou groupe d’individu qui peut recevoir des prets a taux 0. Le maximal : si l’etat applique un taux tres eleve il annule toute demande de credit a la consommation. 5. La preference des agents : preference qui correspond a des choix ideologiques ou des gouts individuels, ou a l’interet pour le groupe social auquel on appartient ou soi-meme. Ces preferences sont soumises a de multiples tensions. (exemple des agriculteurs qui sont contre l’Europe).
La prise en compte des ces contraintes introduit davantage de realisme dans l’analyse theorique, mais reduit les nombres d’instruments effectivement utilisable. Neanmoins si on considere que ces contraintes ne sont pas trop fortes, le responsable de la politique economique doit disposer d’un nombre d’instruments au moins egal aux nombres d’objectifs qu’il se fixe) => idee developpee par l’economiste TINBERGEN ; pour qu’une politique economique soit efficace il faut autant d’instrument que d’objectif ; c’est la regle de Tinbergen §2/ Les choix politiques et la selection des politiques
En fonction de la modification des choix effectuee par les responsables de la politique economique, les variables considerees jusqu’alors comme objectives, perdent ce statut et deviennent, des variables d’ajustement sur lesquelles on ne souhaite pas intervenir. C’est par exemple le cas lorsqu’il y a elevation du taux de chomage. Ce taux a ete longtemps considere comme une variable objective (aujourd’hui on fait tout pour qu’il ne depasse 9%, on se fixe un niveau a ne pas depasser parce que ce taux de chomage est un indicateur de la degradation economique).
Autre objectif : la lutte contre l’inflation. Le taux de chomage devient une variable residuel car la variable objective c’est l’inflation. C’est le cas en 1982 en France, le taux de chomage est abandonnee comme variable objective, l’inflation devient variable prioritaire. Les variables objectives peuvent meme se transformer en instrument, ainsi la baisse du taux d’interet peut en fonction des circonstances et des choix, etre ou l’objectif ou l’instrument. L’Etat rarefie les emissions de titre d’Etat (les emprunts par exemple). Si l’Etat diminue ses emprunts il capte moins de capitaux sur les marches.
Il rentre moins en concurrence avec les investisseurs prives, les taux d’interets baissent. En termes d’instrument la banque centrale decide baisser les taux d’interet pour relancer la croissance economique, par la relance de la demande. Mais risque d’inflation. §3/ Diversite des options possibles et absences de lois universelles. Changement qui interviennent dans la mise en ? uvre des politiques economiques d’un pays donne, indiquent qu’il existe differentes options possibles. L’affirmation selon laquelle une seule politique est possible correspond generalement a un refus d’envisager les autres choix.
Le fait que des regimes politiques se maintiennent malgre les resultats macroeconomiques mediocres s’expliquent davantage par le soutient que leur apporte une partie voire la majorite de la population que par l’impossibilite technique d’adopter une autre politique economique. L’accroissement des echanges et des interactions entre les economies nationales peut donner l’impression que la marge de man? uvre des politiques devient plus limitee. Cependant sur le plan theorique, la contrainte exterieure a le meme statut que les autres contraintes techniques.
Les choix dependent donc des circonstances plutot que de lois universelles comme en temoignent des positions plutot inattendues de la part d’economistes ou politique consideres comme liberaux. (lorsque les banques ont fait faillite on laisse aller ; aux USA Bush a transfere des milliards de dollars aux banques, il y a intervention du gouvernement dit ultra-liberal dans un systeme bancaire. Position d’Etat plus liberale. Cas du japon en 90’s, recession importante decide de faire accroitre l’ensemble des salaires de facon a faire relancer la consommation. exemples ou contradiction entre l’ideologie du gouvernent et l’action du gouvernement. C) Le recours a l’optimisation D’un point de vue theorique, les responsables de la politique economique cherchent a maximiser une fonction d’utilite sociale. ( revenu recouvre les depenses, on ne peut depenser plus que ce l’on a) Le consommateur cherche a maximiser sa situation ; on consomme car c’est utile. §1/ Le principe d’optimisation. Lorsque le nom d’objectif est le meme que celui des instruments, les responsables de politiques economiques ont le choix entre ces 2 options : 1. Se fixer un objectif de moins que d’instruments.
On aura n instruments et n-1 objectif. Renoncer a un objectif implique que l’on accepte n’importe quelle valeur a cette variable 2. Effectuer un arbitrage ; realiser une optimisation. Cela implique d’identifier l’ensemble des possibilites en tenant compte des preferences des agents et de choisir la solution optimale, celle ou l’utilite sociale est maximisee par rapport au domaine de possibilite §2/ La representation de l’optimisation. On ne retiendra que 2 instruments et 2 objectifs. On peut d’abord supposer que ces instruments sont limites soit par des valeurs minimales ( 0) et par une valeur maximale cf Schema Les 2 objectifs sont notes X et Y, on peut definir une valeur maximale pour X, de la meme facon une valeur maximale pour Y. De la, ne un domaine de possibilite de l’intervention etatique ne (cF schema). En dehors on ne peut pas y aller car cela aurait trop d’effets negatifs sur l’economie. Peut-on atteindre U3, domaine d’utilite sociale eleve ? Non, car on sort du domaine de possibilite. La solution optimale est le point de tangence entre la courbe d’utilite et le domaine de possibilite, puisque l’on a un point d’equilibre on a la combinaison entre les 2 variables.
C’est l’exemple de la courbe de PHILLIPS : relation entre le chomage et l’inflation. Si on veut combattre l’inflation il faut accepter beaucoup de chomage. Parfois on a des pays qui choisissent une solution intermediaire Section 2 : Les difficultes pour la mise en ? uvre de l’optimisation. Les difficultes dans la mise en ? uvre de ce programme etatique, d’optimisation du bien etre social, tiennent a de nombreux elements 1. Aux difficultes pour identifier la fonction de preference etatique 2. A la preference de presentation de la fonction de bien etre social. 3. A la necessite eventuelle d’adopter un optimum de second rang. . A l’existence de seuils et de delais. A) La determination de la fonction de preference etatique. 1. Les differences des differents types d’agents. 2 questions se posent si l’on souhaite identifier la fonction de preference etatique. – Quelles sont les objectifs des agents prenant les decisions de politique economique et comment combinent-ils les objectifs economiques ? – Que font les responsables de la politique de la politique economique lorsque l’optimisation conduit a un choix difficile a appliquer ? Pour repondre a ces deux questions, il faut distinguer plusieurs solutions possibles La preference etatique reflete la volonte de la majorite : dans ce cas le gouvernement assume les situations meme les plus difficiles. ? Si la preference des gouvernants doit refleter, la preference de la totalite de la population. Dans ce cas le gouvernement cherche une combinaison mediane. Il satisfait l’electeur median qui coupe en 2 la population. Dans ce cas est-ce que la politique economique sera efficace ? Non. C’est donc en fonction des institutions et des traditions democratique du pays, que la fonction de preference des gouvernants se definie. . Histoire economique et anticipation Pour connaitre les objectifs des agents prenant des decisions de politique economique il faut observer le passe et les objectifs ayant ete selectionnes dans les memes circonstances par les memes hommes. Cependant on peut deduire la preference des gouvernants par comparaison avec des pays voisins prochent d’un point de vue institutionnel et egalement d’un point de vue economique. Exemple : dans les 70’s la France et l’Allemagne avaient un taux d’inflation different, superieur en France.
Dans les 70’s on voulait une Europe economique, il fallait un marche unique pour des transactions, donc il faut a peu pres la meme evolution des prix dans les deux pays. La fonction de preference etatique en France pouvait etre assimilee a la fonction de preference etatique en Allemagne. Donc des choix de politique economique developpe en Allemagne durant es 80’s. Il fallait passer a la monnaie unique en 99. Les fonctions de preferences devenaient identique donc convergence dans le carre magique entre la France et l’Allemagne. B) Les representations de la fonction de bien-etre social.
Le bien etre social peut faire l’objet de differentes representations correspondants a differentes approches theoriques et ideologiques. 1. Agregation des preferences en preferences sociales. Maximiser une situation individuelle. Etant donne que nous sommes tous rationnel, il suffit d’’agreger notre notion de satisfaction et on trouvera l’utilite collective. Pour trouver la fonction de preference sociale, collective, il suffit de sommer nos fonctions de preferences inviduels. Dans ce cas, c’est la fonction BENTHAM, base de l’economie liberale: « le bien etre collectif est egale a la somme des biens etres individuels. . Approche alternative Elles remettent en cause la fonction de Bentham pour dire que le bien etre social n’est qu’un concept economique ce qui contraint les responsables de la politique economique a realiser des arbitrages delicats entre les individus ou les groupes sociaux dont les interets peuvent diverger. Exemple : cas des agriculteurs et des consommateurs. En tant que consommateurs on cherche a maximiser sa satisfaction ; le prix du pain le consommateur veut qu’il soit bas : objectif qui conduit a minimiser le prix. Le gouvernement donne raison aux consommateurs.
Probleme : les producteurs peuvent pas produire a moins cher. Les etats ouvrent les frontieres et le lait est a un prix defier en toute concurrence a l’etranger. Ainsi les producteurs de lait, ne reagissent pas, c’est la faillite ou il reagissent et bloquent le marche. ? le pouvoir doit faire un arbitrage entre les deux groupes. L’Etat va davantage satisfaire le consommateur car c’est le groupe le plus nombreux, les pressions sont plus faciles a porter sur un groupe plus restreint. ? opposition entre les groupes sociaux, ce qui multiplie les possibilites d’arbitrage pour l’Etat. C) Les difficultes pour renforcer l’optimum