Nul acteur ne peut être obligé par un autre d’aliéner ses droits de propriété. L’état par contre a le pouvoir de contraindre les acteurs économiques qui sont sous sa souveraineté. L’intervention de I état pouvait être indispensable au simple fait qu’un marché fonctionne, par exemple, en édictant des normes de qualité ou des règles juridiques l’existence de monopoles requiert son intervention en vue d’augmenter le surplus social En quoi peut-on dire que l’intervention de l’état est essentielle pour la détermination du revenu national ?
Dans un premier temps nous allons présenter la nature, les objectifs et la légitimité de l’intervention de retâter sur les anémiques économiques Ces interventions peuvent être classées en trois grandes parties Corriger les imperfections des marchés Assurer l’existence et le fonctionnement des marchés Les fonctions de l’état dans l’économie A) Imperfections de marché et information imparfaite le plan théorique, on peut montrer que tant l’existence de biens publics que celle de monopoles naturel engendrent des exterminaient – produire un bien public c’est engendrer des exterminaient positives chez tous ceux qui le consomment sans l’avoir payé ( et on ne peut les en empêcher, par définition. ) un monopole naturel non réguler fait payer trop cher les
C’est ce qu’illustre le cas évoqué ci dessus d’une usine polluant une ville : en information parfaite et si les droits de propriété sur l’air sont bien définis, usine et habitants négocieront et arriveront à un échange de droits qui les satisferont : il n’ a pas d’imperfection de marché et l’état n’ aucune raison d’intervenir, sinon pour attribuer les droits initiaux de propriété. Par conséquent, les imperfections de marchés sont dues au fait que : l’information n’est pas parfaite et qu’elle est coûteuse acquérir, certains droits de propriété ne sont pas définis. La discussion des meilleurs moyens pour l’état de corriger c Il propriété ne sont pas définis. La discussion des meilleurs moyens pour l’état de corriger ces imperfections doit aussi prendre comme cadre d’analyse un monde d’information imparfaite et coûteuse. L’état en particulier n’est pas parfaitement informé sur les acteurs dont il veut modifier les comportements. ) Les imperfections de marchés dans les théories kinesthésie On peut définir l’essence de la « synthèse née-kinesthésie », élaborée après la guerre à partir de la pensée de censés et qui a inspire les politiques économiques des années 50 à 70, comme une extension de la notion d’imperfection aux marchés du travail et des titres, justifiant de nouvelles formes d’interventions des états sur les marchés. Il est clair que la crise des années 30 manifestait de considérables « imperfections de marché » les marchés ne fonctionnaient tout simplement pas correctement , au sens qu’ils n’équilibraient pas l’offre et la demande. On avait en effet simultanément un chômage massif et des équipements inutilisés et le fonctionnement « libre » des marchés ne parvenait as à remettre les chômeurs au travail sur les équipements.
censés, dans la « Théorie Générale », du moins dans ce qu’on en retient après-guerre, analyse les causes de ces imperfections à la fois comme des rigidités du marché du travail (le salaire n’est pas un prix comme les autres qui serait flexible et permettrait d’équilibrer en permanence offre et demande de travail), et comme une « myopie » de certains acteurs sur le marché des titres (tous les investissements potentiellement rente « myopie » de certains acteurs sur le marché des titres (tous les investissements potentiellement rentables au taux étendirent ne ont pas faits). En termes plus modernes, on analyserait cette imperfection du marché des titres comme une information imparfaite tant des entrepreneurs, ainsi soumis à des « esprits animaux » économiquement irrationnels, que des ménages qui, face à l’incertitude quant à l’avenir, manifestent une excessive préférence pour la liquidité L’état peut remédier à ces imperfections très générales par certaines politiques monétaires et budgétaires.
La fonction de régulation de l’État consiste à agir sur l’évolution économique de façon à en améliorer les principaux indicateurs croissance, emploi, équilibre extérieur et stabilité des prix) à Long terme (L T), en orientant l’économie par la régulation structurelle, et à Cour et moyen Terme, par la régulation conjoncturelle. La politique structurelle : ensemble des interventions de l’État susceptibles de modifier l’évolution à LIT (long terme) de l’économie C’est le cas notamment de la politique industrielle de l’État, c’est à-dire de l’ensemble des actions entreprises par l’État afin d’améliorer les performances et la compétitivité de l’appareil productif.
Ces actions portent sur la structure (degré de concentration es entreprises, économies d’échelle la modernisation (investissements), et l’envi tonal (coûts salariaux, 4 FO l’environnement national (coûts salariaux, fiscaux, taux d’intérêt… ) et international (accords de libre-échange, protectionnisme, taux de change… ). Contravention de l’État dans le domaine industriel est aujourd’hui contestée par la pensée libérale. Cette remise en cause porte notamment sur les nationalisations et l’étendue du secteur public. La politique conjoncturelle : ensemble des interventions de l’État susceptibles de modifier l’évolution à CT (court terme) de censés a introduit une véritable révolution dans la pensée économique de son temps, jusque-là dominée par le libéralisme.
Alors que les libéraux croient en la capacité de l’économie de marché à « s’autoroutes », c’est-à-dire à sortir d’une récession ou d’une crise sans Intervention quelconque de l’État, CENSÉS a démontré que l’économie de marché peut connaître des déséquilibres et une crise durables. Il a mis en évidence la nécessité d’une intervention régulatrice de l’État sur la conjoncture en vue d’atteindre un taux de croissance et un niveau d’emploi maximaux, compatibles avec le maintien es grands équilibres : croissance élevée du PUB, stabilité des prix, équilibre du commerce extérieur, plein emploi. Ces objectifs ont été mis en valeur par le « carré magique » de CALMAR, dont les sommets figurent ces quatre objectifs. Mais, dans la réalité, il est très difficile d’atteindre simultanément les quatre sommets du carré magique.
C’est pourquoi la politique conjoncturelle oscille entre deux pôles – a politique de relance, qui a pour objectif de sortir d’une récession et de réduire le relance, qui a pour objectif de sortir d’une récession et de réduire le chômage la politique des grands équilibres, dite de stabilisation, dite de rigueur, qui vise à réduire plantation et le déficit extérieur. A) Quel cadre institutionnel pour faire respecter la concurrence ? 1) Le paradoxe de la concurrence Ce paradoxe s’énonce simplement : la concurrence conduit à la disparition de la concurrence. Un régime de concurrence conduit en effet à la disparition des entreprises les moins rentables jusqu’ ce qu’il n’en reste qu’une (ou quelques-unes) et que le marché devienne un monopole (ou un ligotée).
Le problème est que la situation de monopole est peu enviable pour les moussantes : le prix pratiqué est plus élevé qu’en présence de concurrents et le choix est restreint. 2) L’encadrement de la concurrence C’est routerait de la concurrence qui a en charge la régulation de la concurrence en France, en appliquant les législations nationale et communautaire. Au niveau européen, c’est la Commission européenne qua surveille les ententes entre entreprises (sur les prix ou sur la répartition des marchés), les abus de position dominante et les prix abusivement bas (qui visent à faire disparaître la concurrence). B) Comment instaurer la confiance sur les marchés ? Assurer la stabilité de la monnaie La monnaie substitue deux étapes à l’unique étape du troc traditionnel : au lieu d’échanger un bien A contre un bien B, les individus échangent le bien A contre de la monnaie, puis la monnaie contre le bien B. Troc, l’échange du bien A 6 1 monnaie, puis la monnaie contre le bien B. Mais, dans le troc, l’échange du bien A contre le bien B est immédiat, alors qu’avec la monnaie, il peut s’opérer une rupture dans le temps : l’échange de monnaie contre le bien B peut survenir plus tard. Les individus conservent alors de la monnaie pendant un certain temps avant e l’échanger à nouveau contre le bien B. Il faut donc que cette monnaie conserve son pouvoir d’achat, ce qui conduit les autorités monétaires à afficher un objectif de lutte contre l’inflation.
En cas dépolitisation, il devient même préférable de revenir au troc qui réduit considérablement les possibilités d’échange. 2. Sécuriser les transactions La sécurisation des transactions agit aussi sur la confiance des intervenant sur les marchés. C’est le cas des transactions en ligne (problème d’information sur les produits vendus, inquiétude relative au paiement par carte bancaire), qui font l’objet d’une réveillant accrue de la DIGÉRA( papal). Par ailleurs, l’État garantit les montants que les ménages détiennent sur leurs comptes auprès des banques : il s’agit de l’essentiel de la monnaie détenue par les ménages sous forme scripturale et qui sert aux transactions économiques.
L’État pallie les défaillances des marchés 1 Comment résoudre le problème des exterminaient ? Ai) Le problème des exterminaient une exterminait se définit comme l’effet, positif ou négatif, de l’action d’un agent économique sur le bien-être d’autres agents économiques, sans qu’il y ait pour autant une compensation monétaire. Dans le cas d’une exterminait négative (exemple : pollution autant une compensation monétaire. Dans le cas d’une exterminait négative (exemple : pollution par une usine), le coût privé, supporté par l’agent qui en est à l’origine (exemple : l’entreprise propriétaire de l’usine), est inférieur au coût social, supporté par l’ensemble des agents économiques (exemple : les riverains de l’usine). ) La solution de l’écoutée pour que le coût privé d’une exterminait négative soit à la hauteur du coût social, la première solution consiste à taxer les responsables (exemple : taxe égale au coût engendré par la lotion). C’est le cas de l’écoutée, qui fonctionne selon le principe du « pollueur payeur Il est cependant très difficile de mesurer le coût d’une exterminait, donc de fixer le montant de la taxe. Cc) La solution du marché des droits à polluer une deuxième solution consiste à créer le marché manquant, sur l’exemple du marché des droits à polluer. Chaque entreprise doit, pour être autorisée à polluer, détenir des « droits à polluer » qu’elle se procure, au cas où les droits octroyés par les pouvoirs publics sont insuffisants, sur un marché où se confrontent une offre et une demande de droits à polluer.
Les entreprises qui n’utilisent pas tous leurs droits les offrent sur le marché ; les entreprises qui ne disposent pas de suffisamment de droits pour produire en demandent. La quantité de droits est définie par l’Administration (la Commission de l’environnement au niveau européen), ce qui permet d’atteindre des objectifs quantitatifs en matière de diminution de la pollution. 2. Comment résoudre le problème des biens publics ? De diminution de la pollution. Ai) Le problème des biens publics Un bien public est un bien indivisible, c’est-à-dire que plusieurs résonne peuvent le consommer en même temps et qu’aucune ne peut être exclue de sa consommation.
Le problème du bien public réside dans le fait que, puisque personne ne peut être exclu de sa consommation, les individus ont tendance à ne pas révéler leur préférence cachée pour ce type de bien (c’est-à- dire le prix qu’ils seraient prêts à payer pour l’obtenir), espérant ainsi ne pas avoir à payer pour le consommer (comportement de passager clandestin). Si tous les individus procèdent de la sorte, aucune demande ne sera exprimée et le bien public ne sera pas produit alors que chacun souhaiterait qu’il le soit. La poursuite des intérêts individuels ne conduit donc pas toujours à l’intérêt collectif. Bu) La prise en charge par l’État Si aucun agent économique n’ intérêt à révéler sa disposition payer le bien public (son prix de réserve), l’État peut prendre en charge la production du bien public et imposer une taxe pour la financer.
Il choisit le montant de la taxe en fonction de la quantité de bien public qu’il juge souhaitable pour la collectivité. Il peut choisir de faire payer différemment les individus en fonction de critères économiques et/ou sociaux. Le bien public n’est pas accessoirement produit par l’État lui-même. Cette production peut faire l’objet d’une délégation de service public ou d’un partenaires public-privé : l’État charge une entreprise privée, voire une association, de produire un une association, de produire un bien public pour son compte pour une durée déterminée. Es fonctions de l’état dans l’économie A) L’allocation des ressources ou «affectation».
Dans ce cas les pouvoirs publics interviennent pour prendre en charge les biens collectifs; bien (ou service) pouvant être consommé par plusieurs personnes à la fois (une bonne route, un seau téléphonique qui fonctionne bien), réguler la concurrence et nationaliser les exterminaient c’est-à-dire par exemple dans le cas des émissions de CH., les instances publiques vont créer un marché des droits à polluer ou créer une taxe carbone de sorte que les acteurs économiques tiennent compte des conséquences de leurs actes sur l’environnement. Donner un exemple de loi appliquée en France B) La redistribution ou «répartition», Qui a pour but de réduire les inégalités.