Conséquences géopolitique Introduction Depuis 2001 et la chute du régime des talismans, la culture du pavot en feignant bat tous ses records malgré l’action antidopage menée par la communauté internationale et le gouvernement caria. 1 )La consommation de drogue en provenance d’feignant Avant toute chose, précisons que, le trafic de drogue étant interdit, les organismes qui achètent leur opium aux vagins constituent logiquement des organisations dites souterraines : les nixe page maffias. OUF Il est donc impossible e précis d’acheteurs.
C and que, pour 28 millions ions un million de t far toi exacts ou des noms e même affirmer feignant au s sont ainsi les premières victimes de leurs agissements ; ils trouvent en effet dans l’opium et l’héroïne un remède aux soucis que leur cause la pauvreté. Bien sûr on admet communément que le monde occidental est gangrené par a drogue ; mais préciser le rôle joué par les pays dans ce trafic, savoir si certains états tolèrent, protègent ou même financent le commerce de l’opium, relève de pompiste car se risquer à avancer des hypothèses (si vraisemblables soient elles) c’est violer le politiquement correct.
Il faut donc se borner à insinuer que la facilité avec la laquelle
Mais avec l’imposition d’midi caria par les Américains aux plus hautes responsabilités, les talismans ont décidé de favoriser cette culture dont le profit leur permet d’acheter des armes à Al-céda pour lutter contre le pouvoir en place. De plus, le pactisant, par l’entremise de son président perdez musardera, jouait avant 2001 un rôle important dans la guerre civile afféager : en échange de la drogue que leur fournissaient le gouvernement, ce pays va?sein leur offrait un solide armement.
Mais désormais, l’alliance pactisant-américaine a changé la donne : musardera lutte contre ses anciens « alliés » les talismans, t participe avec les forces de la police aérienne aux rafles et à la destruction d’une petite partie des ballots d’opium qui traversent la frontière. Enfin, les Américains, qui ferment les yeux sur la culture du pavot dont ils ne profitent pas officiellement, se heur 2 qui ferment les yeux sur la culture du pavot dont ils ne profitent pas officiellement, se heurtent à l’exaspération du peuple fagot qui supporte de moins en moins bien l’occupation de leur pays.
Pourtant, au début, ces occupants avaient été reçus comme des sauveurs, mais leurs erreurs successives (méthodes inadaptées la psychologie locale, notamment avec l’instauration d’une république qui ne tient aucun compte du prestige de l’ancienne royauté personnalisée par le vieux roi zéro Shah, mort désormais) leur ont aliéné leurs anciens partisans. 3) une lutte difficile contre la drogue Devant l’extraordinaire extension de la culture du pavot en feignant, plusieurs organismes ont décidé de s’investir dans l’rééducation du système.
La première solution qui vint à pèserait du CRI (Centre de Recherches pour le Développement International) fut la suppression pure et simple des plants par la pulvérisation de produits chimiques. Malheureusement la tâche est Impossible : comme il a été dit plus haut, la survie du peuple fagot est intimement liée à l’existence de cette culture. Attaquer le pavot sans solution de rechange, c’est attaquer les vagins. La deuxième solution, apparemment plus sage, consiste légaliser la production d’opium en le vendant sous la forme de médicaments analgésiques.
Cependant cela ne ferait que minimiser l’impact de la drogue car des fuites sont inévitables. De 3 analgésiques. Cependant cela ne ferait que minimiser l’impact de la drogue car des fuites sont inévitables. De plus, en tant que renier exportateur mondial d’opium illicite, l’feignant a plus intérêt à continuer son trafic très lucratif plutôt qu’ opter pour une pratique beaucoup moins fructueuse dont l’Inde, la France et la turque (entre autres) possèdent déjà le monopole.
La troisième solution serait de substituer au pavot une autre culture. Seulement, l’aspect lucratif une nouvelle fois et les conditions de remplacement qui risquent d’être mauvaises dissuadent fortement le gouvernement. L’ÔTANT lui aussi s’est penché sur la question, et de nombreux pays ont envoyé une aide financière significative. Malgré ces forts, la hutte contre la drogue reste très difficile. Conclusion La culture du pavot en feignant représente un défi à échelle mondiale.
Son rôle Vital dans la vie politique et économique du pays empêche une stratégie clairement définie d’imposer des solutions viables, visant à éradiquer un système qui gangrène l’état lui-même et les états contaminés par les méfaits de la drogue. Cependant il faut reconnaître que la lutte est très difficile, la situation politique actuelle permettant à une vraie organisation méfiées de continuer à contrôler et à développer le marché.