Concurrence imparfaite et défaillance des marchés

Concurrence imparfaite et défaillance des marchés

CHAPITRE 4: Concurrence imparfaite et défaillance des marchés 1) La concurrence imparfaite 1 . 1 les types d’imperfections de la concurrence 1. 2 la réglementation publique de la concurrence 2) La déffailance des marchés 2. 1 les biens collectifs et externalités 2. 2 les asymétries d’information Intro: Dans la réalité, les marchés ne sont pas des marchés de concurrence pure/pa ors quelles conséquence ela par des entreprises p ées e une solution optimal 1 .

La concurrence imparfaite la première partie ar eurs, la production ‘est pas toujours ième partie. Dans la réalité, les structures des marchés s’éloignent de l’hypothèse d’atomnicité, car il y a souvent concentration des entreprises (le nombre d’entreprises sur les marchés se réduit et leur taille augmente). Par ailleurs, il y a également rarement homogénéité des prix dans la mesure où les entreprises cherchent à différencier leurs produits de ceux des concurrents. )Structure de marché imparfaite et concentration des entreprises: On parle de monopole quand une seule entreprise detient l’intégralité du chiffre d’affaire du marché. Un monopole peut e ressources). Un monopole peut être local, càd que l’étroitesse du marché ne permet pas la concurrence (magasin d’un village par exemple). Un monopole temporaire peut provenir d’une innovation

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et peut devenir un monopole légale quand il est protégé par un brevet (ex: médicaments). DOC. 2 p. 10 Les monopoles ont un pouvoir de marché, càd qu’ils sont Price- maker, càd qu’ils contrôlent le prix du marché. Ils ne contrôlent pas la demande qui est la même que celle d’une situation de concurrence, mais ils peuvent se placer n’importe où sur la ourbe de demande et on peut montrer que leur optimum (sltuation de profit maximal) engendre unprix plus élevé et des quantités échangés plus basses qu’en situation de concurrence. Certains marchés sont des monopsones, càd qu’il n’y a qu’un seul achteur.

Cest le cas notamment pour des produits stragétiquement sensibles dont l’État contrôle les achats. On parle d’oligopole quand quelques entreprises réalisent la quasi totalité du chiffre d’affaire du marché. C’est une situation très fréquente dans de nombreux secteurs au niveau national, européen ou mondial. doc. 1 p. 112 Une part de marché représente la proportion des ventes d’un marché que détient une entreprise. On peut constater qu’en 2007, les 10 plus gros fabriquant d’automobile dans le monde obtenait environ du marché mondial doc. 4 p. 13 Dans l’industrie agro-alimentaire (IAA), les oligopoles sont nombreux mais il s’agit d’oligopoles contrariés par un oligopsone (la grande distribution, càd les chaînes de supermarché sont les principa contrariés par un oligopsone (la grande distribution, càd les chaines de supermarché sont les principaux acheteurs des produits fabriqués par l’IAA). n oligopole peut être en situation de concurrence et pratiquer une guerre des prix. Il peut aussi arriver que les différentes entreprises alignent leurs prix sur le prix de l’entreprise dominante. oc. l p. 114 Il peut aussi arriver que les producteurs d’un oligopole s’entendent pour former un cartel et réalisent un surprofit qu’elles se partagent (un profit-joint); mais de telles pratiques sont illégales. doc. 2 p. 112 La commission européenne à Bruxelle a le pouvoir de condamner à des ammandes les entreprises au qui pratiqueraient des ententes illégales afin de faire montrer les prix du marché. Ces ententes sont très difficiles à prouver et dure parfois pendant des années. )La différentiation des produits: Dans beaucoup de secteurs, les entreprises cherchent à faire croire que leur produit est unique que ce sort artificiellement par le marketing et l’image de marque ou plus réellement par l’innovation technique Les producteurs aujourd’hui, sont souvent considérés comme étant dans une situation de concurrence monopolistique, càd qu’il existe des produits substituables à leur produit, mais ils cherchent à faire croire que leur produit est unique et qu’ils sont en monopole. oc. p. 115 On peut d’ailleurs constater ue certaines grandes firmes au niveau mondial sur des m listiques dépensent PAGF3rlFS dépensent cependant beaucoup pour la R (recherche & développement) et pour la publicité ce qui laisse penser qu’il y a réellement de la concurrence sur les marchés concernés. Sur beaucoup de marchés, les entreprises peuvent réaliser des économies d’échelle, càd qu’elles ont un coût de production plus bas lorsque leur taille augmente.

Il en résulte potentiellement que la plus grande entreprise peut avoir les coûrs et les prix les plus bas et peut finalement onopoliser le marché. La politique publique de concurrence ? pour objectif de maintenir la concurrence sur les marchés. Elle est face à und dilemme: on ne peut pasinterdire à une entreprise de devenir dominante, mais il faut éviter que cela élimine la concurrence. p. 117 En Europe, la commission de Bruxelle peut décider d’interdire la fusion d’entreprises. Si celle-ci réduirait trop la concurrence.

Elle peut faire payer des ammandes pour entente ou abus de position Il a cependant souvent été nécessaire de laisser des entreprises fusionner pou qu’elle soient compétitives au niveau mondial ace au groupe américains notamment et/ou pour éviter que de grands groupes européens soient rachetés par de grands évantuellement démantelés. 2. Les défaillances des marchés 2. 1 biens collectifs et externalités Un bien collectif (cela peut n bien ou un service) est excludabilité (ou non excluabilité) et la non rivalité (ou indivisibilité).

Il y a non excludabilité quand il est techniquement complexe voir impossible de faire payer directement les utlisateurs du bien (ex: pharte, rues dune ville, feux de circulation… )- Dans ce cas le financement doit être collectif par l’impôt. Il y a non rivalité lorsqu’un grand nombre de consommateurs peuvent profiter du même produit sans se gêner (ex:les rues d’une ville, un pont, la radio, la télévision… ). Dans ce cas, on ne peut pas vraiment calculer un coût par consommateur.

L’entreprise la plus grande aura toujours le coût le plus bas par client et la détermination d’un prix pose problème. p. 122 doc. 2 Il y a peu de biens collectifs pures mais on considère en général que les fonctions régaliennes de l’État en font parti, càd l’armée, la police, la justice et la diplomation. Néanmoins, les tendances es plus libérales dans les doctrines économiques proposent éventuellement de privatiser en partie certaines de ses fonctions moyennant qu’elles restent organisé par l’État.

Dans la majorité des cas de non excluabilité, on juge cependant logique de financer la production par l’impôt pour éviter les passager clandestins. Les externalités sont les conséquences de l’acticité d’un agent économique qui peuvent être positives ou négatives sur d’autres agents éco. mais qui ne sont pas pris en compte dans les coûts des produits de l’agent qui en est à l’origine