es portraits des textes C et D inspirent de lapitiéet de lacompassionau lecteur. 2Texte A : la Grande Nanon est décrite comme une « pauvre fille » et une « fille rebutée »,c’est-à-dire victime de rejets liés à son physique. DTexte C : le lecteur a pitié de Mangeclous car il est malade. Son apparence physique estsymptomatlque de sa maladie, la Tubercolose : « magre « osseux », « toux vibrante ». Llanecdote expliquant son surnom vise également à susciter la compassion du lecteur : il s’appelleainsi ar, enfant, torturé par la faim, il a dû manger des clous. ?Texte D : le texte est écrit de façon à ce que le lecteur s’identifie au personnage (usage de lapremière personne du singulier). Le lecteur découvre en même temps que le personnage lesravages de la guerre sur le ph pitié mais aussi de la choquantes telles qu Swape nextp g projectile lui a soufflé Le texte B et certains Sv. ‘ipe to rouve alorsde la tians crues et ouencore « le t C prêtent àrire ou à sourire. Le texte B aborde le thème de la défiguration de façon positive.
Le personnage s’en sert auquotidien pour vivre puisqu’il est bateleur. La description
Le ton devient de plus en plus léger et le texte s’achève sur la joie du personnage. DDe même, dans le texte C, certaines images prêtent à sourire. Ex : « une toux si vibrantequ’elle avait fait tomber un soir le lampadaire de la synagogue On relève ici un oxymorevisant à engendrer une plaisanterie. Conclusion : Les portraits de héros au physique peu commun permettent de faire ressentir dessentiments diversifiés et nuancés au lecteur 2