CM Relation Internationales

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CM Semestre 2 CM Relations Internationales Chapitre : présentation Le droit international est théorisé par Jeremy Bentham en 1801. Pour parler de Relations Internationales, il faut être en présence de relation horizontales et régulières entre des entités politiques basées territorialement et délimitées politiquement. école réaliste : l’acte est l’État, qui a des in les réalistes, les États et violentes car le sys d’autorité). Sni* to View ternationales d’être État.

Pour s, rationnelles narchique (pas École libérale : l’acteur central des Relations Internationales sont es individus, mais l’individu ne peut pas agir en tant que tel sur la scène internationale, il agit a travers l’État qui le représente. Les libéraux considèrent que la société politique est issue d’un contrat social mais l’État de nature n’est pas un état de guerre permanente. pour les libéraux, l’anarchie ne mène pas forcement à un État de guerre. Les débats sur les RI depuis les années 20 : 1) Débat sur la meilleure façon de comprendre le système international.

Cette discussion oppose les libéraux et les réalistes. La vision réaliste s’impose et domine après la seconde GM ? behaviouralism » qui se manifestent dans des domaines telle que la psycho, sociologie, ils considèrent que pour prêter une rigueur

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scientifiques aux sciences sociales, il faut que l’on pratique les même méthodes que pour les sciences naturelles. Les comportementalismes vont réussir a rendre l’utilisation des méthodes quantitatives comme spécificité 3) l’unité des relations internationales, qui est la barrière de l’indépendance des politiques internationales, quels acteurs majeurs : L’état.

L’approche trans-nationaliste suggère que les individus soit des acteurs qui conditionnent la poursuite des elations internationales. Selon la posture Marxiste, la variable indépendante est les intérêts de classes, qui sont fondamentaux pour comprendre l’ordre économique mondial. (débat dans les années 70) 4) Débat à propos de la capacité des Relations internationales ? établir un récit de vérité, un récit scientifique. Posture dominante > réponse affirmative, l’étude des Relations Internationales peut établir une connaissance sur la scène internationale.

La démarche positiviste considère que l’on peut mesurer notre entourage ( sciences de la nature). -> on ne peut pas savoir, on ne peut u’interpréter Chapitre 2 : les représentations du monde cartographie comme instrument de contrôle cartographie. sciences-po. fr/en/cartotheque réflexion de géopolitique. discussion sur les enjeux de la géopolitique définition de a géopolitique selon Moreau Defarges : Méthode d’approche entre l’espace et la politique.

Chapitre 3 : L’État dans les relations internationales internationales « les états sont des entités politiques égales en droit, avec des structures semblables relevant toutes du drolt international » On considère souvent que l’État est un phénomène historique écent comme en Europe occidentale au 17 eme siècle. La forme de l’État s’est rependue dans le monde. Phénomène qui répond à un problème universel, celui de l’exercice de l’administration du pouvoir. On considère aujourd’hui que le système international est composé d’États souveralns.

Ce prlncipe de souveraineté s’articule autour de la frontière. es auteurs distinguent entre la souverainete interne et externe. La souveraine interne revient a l’exercice de l’autorité au sein de l’État, comme les fonctions régaliennes. La souveraineté externe implique qu’aucun autre ?tat ne peut pas commettre de l’ingérence dans les affaires internes de L’État. Cet état de fait commence en 1648 avec la signature de paix de Westphalie (fin de la guerre de 30 ans) . Ce traité de paix implique . La reconnaissance des frontières des états-nation.

Les frontières sont considérées comme inviolables. Le traité implique aussi le triomphe de l’État comme forme privilégiée d’organisation. Renforce les principes de souveraineté externe et interne. D’abord réservé au roi, la souveraineté est progressivement étendue au parlement, au peuple et à la nation. ? partir du XVII eme siècle, e modèle étatique se propage. On peut mesurer cette augmentation par la progression d’État membres des nations unies. l) Les éléments constitutifs PAGF3CF6 fois sur un territoire délimité par des frontières, une population et a une organisation souveraine. ) le territoire de l’État la portion d’espace sur laquelle l’État exerce sa souveraineté délimité par des frontières terrestres, maritimes et aériennes espace terrestre composé de sol, sous sol et eaux intérieures. Leurs limites sont fixées par l’histoire ainsi que les accidents géographiques ‘espace maritime selon la convention de Montego Bay(1994) uniformise les limites de l’espace maritime des États ZEE espace aérien : espace surjacent a l’espace aérien et marltime.

Le droit international définit quelques principes protecteurs des frontières inviolabilité intangibilité il a donc des Tensions entre l’intégrité des frontières et droit des peuple a disposer d’eux même Des espaces ou les États n’exercent pas leur pouvoir : extraterritorialité des ambassades ( l’État ne peut pas intervenir dans le territoire ou se situe l’ambassade) b) La population d’un état Ensemble de personnes vivant sur un territoire national et soumis à l’autorité de l’État. L’autorité de l’État ne s’applique pas de la même façon aux nationaux et aux étrangers.

Nationalité : lien juridique entre les États et la population. Les différentes façons d’obtenir la nationalité sont : La naturalisation par lieu de naissance, ou par filiation. La nationalité est associee à la protection diplomatiq dernière n’est pas existe la possibilité de ne pas avoir de nationalité (apatrides) c) Un appareil politique souverain. L’autorité de l’appareil politique d’un État se manifeste par la étention de la souveraineté Le pouvoir politique est nécessairement organisé et indépendant, il doit se fixer ses règles, ses objectifs qui ne peuvent pas être influencées par l’économie ou par un autre état.

Cappareil de l’État doit être exclusif et effectif. La souveraineté pourtant peut être illusoire, en effet, la souveraineté n’est pas toujours complète : perte involontaire de sa souveraineté par perte fonctionnelle par « calcul rationnel » (perte de souveraineté par intégration) Il) la reconnaissance internationale de l’État L’acte de reconnaissance est essentiellement déclaratif et il n’a e valeur qu’à l’égard de son auteur, L’acte peut être explicite ou tacite.

La reconnaissance rend possible la pleine particpation d’un État aux relations internationales. Le DIP établit une distinction entre la reconnaissance d’État et la reconnaissance de gouvernement. Les regroupements d’Etats III) Les regroupement d’État Une fois reconnu, l’État entre en relation avec des homologues au sein de la société internationale en fonction d’affinité Les regroupements d’État peuvent de façon informelles pas de statut de norme institutionnailisées : définition de convergence de position s politi ue/economiques etc