Cas Danone Intégration dans la séquence : Cas de découverte Niveau : 2ème année BTS SIO Place dans le programme Thèmes Sens et portée de Pétude Notions Thème D3 — L’environnement juridique de la production et de la fourniture de servive 3. 3. Le commerce en lign OF p g le commerce électronique B to B Les contrats entre professionnels peuvent prendre la forme de contrat d’échange de données informatisé (Electronic Data interchange – EDI).
Le transfert entre systèmes d’information, de données structurées et directement traitées par des applications nformatiques selon des procédures normalisées, est régi par un contrat qui comprend une partie technique et une partie juridique assurant notamment la valeur probante des messages échangés. Les échanges entre professionnels peuvent s’effectuer sur des places de marché (e-marketplace), espaces virtuels de commerce 3 to B souvent dédiés à un secteur d’activité économique.
Elles doivent offrir des garanties en termes de sécurité des transactions et de concurrence. La législation relative aux clauses abusives ne s’applique pas aux contrats conclus entre Chaine de valeur Thème EM4 – Le système d’information (SI) et les processus de l’organisation (décisionnel, opérationnel) Analyser les processus de l’organisation 43.
Les modèles de décisions e processus de décision est un processus structuré
Mme Emilie Delorme, Chef de marché B to B, DANONE France est votre responsable de stage de fin d’étude. A ce titre elle vous confie deux dossiers. Travail à faire 1. Décrivez le fonctionnement du SRM grâce au schéma de l’annexe 1. 2. Traduisez l’expression « Gestion des contrats » en précisant de quel type de commerce en ligne il s’agit (BtoB ? BtoC ? ou CtoC ? ) (Annexe 1). 3. Définissez le commerce en ligne 4. Rappelez ce qu’est une chaîne de la valeur (Annexe 2). 5. Présentez le projet IT stratégique mise en place par Danone (Annexe 2). 6. Expliquez les avantages de la démarche adoptée par Danone Annexe 2 et 3). . Mme Delorme vous consulte pour vos qualités de juriste spécialiste des nouvelles technologies et vous demande de lui prodiguer des conseils afin de bien négocier à l’avenir les clauses d’un contrat BtoB (Annexe 5). ANNEXE 1 Le SRM associe l’e-procurement à des outils de sourcing et d’analyse http://www. cxp. fr/domaine-expertise achats. srm. htm ANNEXE 2 Les projets d’intégration BtoB com tent désormais parmi les projets IT stratégiques des 3 4 Bourne conduite en avril/mai en France, Angleterre et Allemagne et à paraître prochainement – confirme cette tendance. ur 51% des personnes interrogées en France, les investissements réalisés sur l’intégration BtoB au cours des 12 mois passés avaient des visées stratégiques (mise en place d’une solution d’intégration BtoB pour répondre à des enjeux métier globaux). Les budgets sont de surcroît aussi importants (44%), sinon en augmentation (48%) – la tendance étant encore plus marquée dans la distribution et l’industrie où ce sont plus de des répondants qui parlent d’augmentation de leurs investissements. Le livre blanc intitulé « Il est temps de repenser votre stratégie
Bt03 Y, récemment publié par IDC*, donne quelques éléments d’explication sur ces évolutions. 4 facteurs jouent en faveur de la dimension stratégique de l’intégration BtoB : la volonté des entreprises de pouvoir réagir en temps réel par rapport au marché ; la bascule d’un modèle d’intégration point à point en EDI à un modèle d’intégration par les processus ; la primauté du recours aux standards et à la mise en place de hubs ; et la nécessité permanente de rendre ses processus plus efficaces tout en capitalisant sur les investissements informatiques déj? pérés pour maîtriser ses coûts.
Dans les faits, ces objectifs se traduisent par des changements d’approche dans la conduite des projets : les projets d’infrastructures BtoB ne sont plus séparés des projets applicatifs d’automatisation des processus métier. Et ils visent des objectifs de standardisation du BtoB à réchelle de toute l’entreprise.
Les entreprises s’orientent vers la mise en place de plates-formes SOA, multi protocoles et multi formats de données, 4 4 vers la mse en place de plates-formes SOA multi protocoles et multi formats de données, qu’elles utilisent comme hub pour aciliter la diffusion, la réutilisation et le partage des processus, aussi bien entre leurs différentes directions fonctionnelles qu’avec leurs clients et partenaires externes. Ces plates-formes, outre la capacité d’interagir avec un environnement qui s’est complexifié, contribuent à fiabiliser les échanges de données.
L’automatisation de certaines tâches résout en effet les problèmes de qualité de données, à la fois en évitant les erreurs de saisie et en gérant tout type de données. Pour le déploiement de ces plates-formes, un nombre croissant ‘entreprises privilégie des modèles hybrides afin de tirer le meilleur parti des nouveaux modèles cloud. Elles combinent l’installation de solutions logicielles au niveau du système d’information avec la souscription à des services d’échanges BtoB hébergés dans le cloud, type gestion de flux EDI.
Dans l’étude Vanson Bourne précédemment citée, ce sont des Français interrogés qui ont investi dans des solutions cloud au cours des 12 derniers mois, 24% qui ont opté pour des licences logicielles et 29% pour un modèle hybride. C’est notamment ce qu’a fait Danone : le groupe agroalimentaire déployé l’offre Sterling Commerce Network pour bâtir un réseau BtoB sécurisé en mode cloud qui supporte l’ensemble de son processus order-to-cash – prise de commandes, facturation, livraison et logistique.
La solution hébergée intègre les échanges EDI traditionnels avec les très nombreux formats de données utilisés par les partenaires de Danone. Elle offre une visibilité temps réel sur les processus métier impliquant les partenaires et 4 Danone. Elle offre une visibilité temps réel sur les processus métier impliquant les partenaires et clients. Elle confère la lexibilité nécessaire pour répondre aux besoins des clients et la capacité d’intégrer très vite de nouvelles entités du groupe comme de nouveaux partenaires.
Le projet d’intégration BtoB ainsi envisagé devient un levier pour optimiser ses opérations métier, comme la gestion de commandes cross canal. Ce processus mobilise plusieurs équipes (marketing, ventes, logistique, approvisionnements, service client), et requiert l’utilisation d’autant de systèmes IT différents. Pour optimiser l’exécution de ce processus tout en assurant la satisfaction du client, l’entreprise va devoir ? a fois automatiser les opérations récurrentes (par exemple : intégration des nouveaux partenaires, mise a jour des profiles existants, déploiement de nouveaux flux… , gérer la complexité de l’environnement (multi-canaux, multi-sites, multi-références… ), assurer la cohérence des informations circulant entre les canaux, fournir une visibilité temps réel sur l’ensemble des informations et flux d’information, etc. Le succès de ces projets dépendra toutefois de l’accompagnement des équipes au changement, depuis les collaborateurs de la DS’ jusqu’à ceux des directions onctionnelles.
Mener un ré-ingeniéring des infrastructures BtoB induit en effet de penser différemment la chaine de valeur métier. Les collaborateurs devront acquérir des compétences nouvelles pour être à même de la décomposer en autant de processus pouvant être appliqués à d’autres domaines, de les expérimenter et de les superviser dans une logique collaborative transverse aux départements de l’entreprise. Le tout en priv 6 4 dans une logique collaborative transverse aux départements de l’entreprise.
Le tout en privilégiant la continuité à la rupture. * A propos de Sterling Commerce Sterling Commerce, an IBM Company, accroît l’agilité des entreprises au sein de réseaux collaboratifs extrêmement dynamiques, partout dans le monde : elle propose des solutions innovantes pour vendre et exécuter les commandes, et pour assurer une intégration fluide et sécurisée entre clients, fournisseurs et partenaires. Yves Grandmontagne, 3 juin 2011, http://experts-it. r ANNEXE 3 Un leader mondial dans la mise en œuvre de solutions et de services basés sur les technologies de Pinformation Un des leaders mondiaux de l’agroalimentaire, spécialisé dans les aux, les produits laitiers et les biscuits, Danone commercialise ses produits dans plus de 120 pays dans le monde. pour cela, l’entreprise possède une structure spécifiquement dédiée à l’export, Danone International Brands (DIB), qui travaille localement avec près de 400 distributeurs Importateurs. our répondre au mieux à ces clients quel que soit leur pays d’origine, et donc leur fuseau horaire, DIB a envisagé l’ouverture d’un site web B2B sur lequel ils pourraient consulter les catalogues, passer et suivre leurs commandes et bénéficier d’offres commerciales. e choix de mvsAP CRM aranties de pérennité qu’offraient SAP, cette option présentait l’avantage de la cohérence avec le choix de mySAP comme outil de gestion intégré pour l’ensemble du groupe Danone, en particulier dans la perspective d’une intégration du site au back- office de l’entreprise.
CSC était quant à lui est retenu pour assurer l’intégration, en particulier du fait de sa bonne connaissance de la DIB acquise lors d’une précédente mission An 2000 et de sa réactivité pour répondre à l’appel d’offres. Le paramétrage pouvait ainsi commencer en juin 2000. Dès la fin juillet les premiers tests ?taient réalisés avec le Japon, et en septembre le site rentrait en production avec cinq clients pilotes. ne grande richesse fonctionnelle Malgré ces délais de développement très courts, la forte implication de SAP, la qualité des relations entre CSC et l’éditeur et l’expertise e-business de l’équipe projet ont perms de mettre en place un site qui était bien plus qu’un système de bon de commande électronique. es clients bénéficient en effet d’une page d’accueil personnalisée, où ils retrouvent les messages que leur adressent, dans leur langue, les commerciaux de la DIB.
Ils peuvent ensuite accéder à un catalogue adapté à leur activité et recevoir des promotions ciblées, notamment sur les nouveaux produits. Les commandes s’effectuent alors via des paniers préparamétrés en fonction de leur profil et, éventuellement, de leurs achats précédents. Des fonctions avancées d’optimisation du taux de remplissage des conteneurs ou de suivi d’avancement des commandes complètent les services disponibles. Enfin, les importateurs ont accès à tout le matériel marketing nécessaire ? l’animation de leur réseau de distribution B4