« s’approprie » l’Algérie. Par la suite, il tente, e pièces mêleraient his le PCA préfère des pi des administrations f théâtre à sa manière. Camus Et Lalgerie Doc Premium By MapTa 06, 2015 4 pages Il. Camus et ses prises de positions vis-à-vis de l’Algérie 1) Camus et le colonialisme français Les prises de positions de Camus à l’encontre de l’Algérie Française prennent un point de départ : son adhésion au parti Communiste Algérien en 1935. En effet, celui-ci, profondément anticolonialiste, permet à Camus de rencontrer des gens portant les mêmes convictions que lui.
Ce parti défend les opprimes algériens et tend à critiquer les « roumis » qui ‘exploitent » et to page OF4 Swipe n tre du Travail » ou les olitique. Cependant ctement les abus onc de créer ce en 1937. Il adhère au Parti Communiste Français en 1937 et y reste 2 ans avant de quitter celui-ci. Il entre au quotidien Alger Républicain, « journal des classes modestes » en octobre 1938, organe du Front Populaire qui était pour l’indépendance des Algériens. Il y rédige des articles parlant de la misère algérienne.
En 1942, il publie « l’Étrangeff ou à travers notamment les passages du télégramme u des condoléances maladroites montre une administration française absurde, la scène
Il n’ira que très rarement en France. Au lendemain de l’armistice du 8 mai 1945, il y est envoyé en vue d’un reportage par son journal Combat. À peine a-t’il- atteint la métropole que des émeutes éclatent dans le département de Constantine au Nord-Est de l’Algérie. La série d’articles qu’il publie à cette occasion énonce des vérités d’évidence propres. 2) Les idées de Camus sur l’Algérie Camus défend trois grandes lignes : Les trois départements créés en Algérie par la France n’ont de réalité qu’administrative. Le peuple arabe existe, et ses vertus, sont parmi les premières.
Atteinte par une crise économique et politique qu’elle a toujours connue, mais qui la plonge désormais dans la famine, l’Algérie est à conquérir une seconde fois, non par les armes, mais par une œuvre de justice. Camus défend une seconde Algérie, plus sociale. Cependant Camus propose une Algérie sous protectorat française mais qui aurait ses propres instituions politiques et serait en quelque sorte semi-indépendante. Ainsi, il conseille à la France d’être plus juste envers les Algériens en matière sociale, judiciaire si celle-ci veu 2