» Au café » J’étais là, assis devant cette table, à repenser à ma vie, aux choses que j’avais perdues et gagnées, à demain et à hier. Je ne savais ni comment, ni exactement pourquoi j’étais là mais j’attendais. Tout ce qui m’arrivait et qui m’était arrivé durant ces derniers temps semblait tellement lointain, bien trop loin pour que je puisse l’intégrer ou me l’approprier. Dans ma vie, il n’y avait plus aucun plaisir, plus aucune envie, et je ne vivais plus que d’une multitudes d’automatismes pré ire, les événement c or 4 m’atteignaient plus d’intérêt, et le pire c’est que j’étais si pet avais presque lâché prise.
Alors, j’étais assis dans ce petit botiques. À vrai ucune emprise ou tte immensité que j’ café et j’attendais. Qu’est ce que j’attendais? Même cela, je ne su vraiment y répondre, mais j’es pérais. Je pianotais sur ma tablette en essayant de distraire mon cerveau de ce que mon coeur hurlait, d’oublier pendant ne seraitce qu’un bref instant ce tourment permanent au plus profond de moi. Mais malgré cela, cette pensée grandissait, comme un feu qui brûlait au fond de moi, dévastateur et emportant tout s ur son chemin.
Lors d’un haussement de tête pa
Je reconnaissais en cet homme l’amour qui m’animait. Cet amour si fort, puissant, même écrasant. Lorsqu’il prenalt les mains de sa femme; son sourire e n l’écoutant parler; la douceur de son regard quand il posait les yeux sur elle. Je le vis, et ça me crevais les yeux. Et encore une fois, ce sentiment démesurément fort et puissant s’empara de moi, de mon coeur, et de mon être out entier.
Cette envie qui brûlait en moi de me battre de toutes mes forces, de donner tout ce que j’avais pour ce qui avait encore de l’importance. Mals très vite, un goût d’amertume me Vlnt en bouche. une odeur de culpabilité et de tristesse, si profonde et déchirante. Je savais bien qu’il était trop t ard, que c’était impossible, peut importe la volonté que j’avais ? me surpasser. Et cette pensée la me glaçait l’esprit. J’avais peur, j’angoissais, un poing se fermait a PAG » OF d