Jardin conviais, intime. Jardin pas grandiose, « étroite porte’ . « Pelletant », « humide étincelle ». AI fait ressortir la flore et beauté du cadre « lys », « rose » Bruit des plantes et du jet d’eau. Es allitérations en « p » du premier quatrain suggèrent les bruits de pas de la promenade. – Permanence des choses : » rien n’ changé ‘ » fait toujours » cela est accentué par les répétitions » comme avant » -Personnification du décor Monde en mouvement, caractère merveilleux du jardin. Cela donne une impression de vivant, la nature est comme l’homme.
Compare les objet, la nature à l’homme : verbe attribué à des mouvement humain : « chancelle », « palpitant » -> Verbes attribués à des mouvements humains. Cela rend le jardin plus présent, plus vivant, plus proche. Verbes d’action palpite, balance, promenait » retranscrivent le mouvement du vent. Il Une promenade déception – rupture du dernier tercet. -> Pause rythmique après « même », et utilisation du tiret v 14 » grêle » -> rythme plus heurté, comme assistant -> formalisation du poème qui s’inscrit dans son sens général.
Beaucoup d’allusions négatives » plâtre s’écaille » » bout de l’avenue » » grêle » l’ l’odeur fade » la a une grande différence par rapport au début
Cette notation surprend car rien dans ce jardin ne semblait fade, c’est à dire sans saveur, neutre, et, partant, sans intérêt, ennuyeux. Au contraire, le jardin semblait respirer la gaieté et la via 3 et, partant, sans intérêt, ennuyeux. Au contraire, le jardin semblait respirer la gaieté et la vivacité, réjouissant les sens. L’adjectival « fade » est d’autant plus inattendu qua il est impropre pour réactualiser le réséda, plante très odoriférante. Ces comme si la vue, de la statue abîmée avait brutalement ramené le poète à la réalité: le jardin n’était peut-être, pas aussi gai qu’il la cru.
Peut- être a-t-il déformé la réalité du jardin en substituant à ce qu’il voyait les souvenirs heureux gravés dans sa mémoire -D’autres éléments du poème ont également une coloration mélancolique: le mauvais état de la porte, le fait que le jardin doit « étroit ‘ : étouffant/ la « plainte sempiternelle » du « vieux » tremble (noter de plus homophonie avec le verbe trembler la troisième personne); la banalité du décor; la solitude du poète dans ce jardin, puisque les chaises sont inoccupées.
On peut supposer qu’il s’ est naguère assis en compagnie d’êtres chers ou de proches, qui ne sont plus à ses côtés désormais. La mélancolie s’est comme peu à peu emparée du poète au fur et mesure de son évocation. L’insistance avec laquelle il affirme que « rien n’ changé » dans ce jardin nous permet de comprendre que sa mélancolie naît de l’impossibilité pour lui de se détacher du jardin du passé et d’accepter la perte des heures heureuses vécues en ce lieu.