Après trois ans de Verlaine

Après trois ans de Verlaine

Jardin conviais, intime. Jardin pas grandiose, « étroite porte’ . « Pelletant », « humide étincelle ». AI fait ressortir la flore et beauté du cadre « lys », « rose » Bruit des plantes et du jet d’eau. Es allitérations en « p » du premier quatrain suggèrent les bruits de pas de la promenade. – Permanence des choses :  » rien n’ changé ‘  » fait toujours  » cela est accentué par les répétitions  » comme avant  » -Personnification du décor Monde en mouvement, caractère merveilleux du jardin. Cela donne une impression de vivant, la nature est comme l’homme.

Compare les objet, la nature à l’homme : verbe attribué à des mouvement humain : « chancelle », « palpitant » -> Verbes attribués à des mouvements humains. Cela rend le jardin plus présent, plus vivant, plus proche. Verbes d’action palpite, balance, promenait  » retranscrivent le mouvement du vent. Il Une promenade déception – rupture du dernier tercet. -> Pause rythmique après « même », et utilisation du tiret v 14  » grêle » -> rythme plus heurté, comme assistant -> formalisation du poème qui s’inscrit dans son sens général.

Beaucoup d’allusions négatives  » plâtre s’écaille »  » bout de l’avenue  »  » grêle  » l’ l’odeur fade  » la a une grande différence par rapport au début

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où l’ont pouvait voir beauté. La fin apparaît comme une chute. La statue ‘éveillé » porte une majuscule : importance. > Les ??uvres humaines : fragile et fugaces. Lorsque l’homme ne s’en occupe plus, détérioration. Lecture rétrospective eu strophe = phrase brève 2 eu strophe = phrase brève au rôle de présentation, vas  » rien n’ changé  » mise en évidence par une reprise  » j’ai tout revu ‘ introduisant une énumération terminée à la éveillé. Le récit est rétrospectif  » j’ai retrouvé  » : emploi du passé composé. Va : césure, qui montre un arrêt et donc une remémoration. « le vieux tremble sa plainte sempiternelle.  » le Vieux communique ses plaintes non par la parole mais par son corps  » première vocation d’un humain première évocation triste et la tristesse est sens fin on peut ce dire que cette homme le ramène a lui et que ce qui décrit n’est que son propre ressenti :il souffre ? Ce qui lui rappelle le passé est joyeux et ce vieux dans le présent est triste . Offre-t- il alors d’une perte ? Il Une esthétique du flou -Flou entre la beauté des fleurs et l’au delà symbolisé par  » la éveillé  » Le sentiment du temps qui a passé, responsable de l’altération de la statue, surgit soudain dans cette évocation où tout semblait pourtant dire que justement le temps n’avait pas eu de prise sur e jardin et n’ avait pas exercé son action destructrice. De plus, l’adjectival « grêle » révèle la fragilité de cette statue + rejet qui marque l’insistance.

Cette notation surprend car rien dans ce jardin ne semblait fade, c’est à dire sans saveur, neutre, et, partant, sans intérêt, ennuyeux. Au contraire, le jardin semblait respirer la gaieté et la via 3 et, partant, sans intérêt, ennuyeux. Au contraire, le jardin semblait respirer la gaieté et la vivacité, réjouissant les sens. L’adjectival « fade » est d’autant plus inattendu qua il est impropre pour réactualiser le réséda, plante très odoriférante. Ces comme si la vue, de la statue abîmée avait brutalement ramené le poète à la réalité: le jardin n’était peut-être, pas aussi gai qu’il la cru.

Peut- être a-t-il déformé la réalité du jardin en substituant à ce qu’il voyait les souvenirs heureux gravés dans sa mémoire -D’autres éléments du poème ont également une coloration mélancolique: le mauvais état de la porte, le fait que le jardin doit « étroit ‘ : étouffant/ la « plainte sempiternelle » du « vieux » tremble (noter de plus homophonie avec le verbe trembler la troisième personne); la banalité du décor; la solitude du poète dans ce jardin, puisque les chaises sont inoccupées.

On peut supposer qu’il s’ est naguère assis en compagnie d’êtres chers ou de proches, qui ne sont plus à ses côtés désormais. La mélancolie s’est comme peu à peu emparée du poète au fur et mesure de son évocation. L’insistance avec laquelle il affirme que « rien n’ changé » dans ce jardin nous permet de comprendre que sa mélancolie naît de l’impossibilité pour lui de se détacher du jardin du passé et d’accepter la perte des heures heureuses vécues en ce lieu.