Je suis actuellement en stage dans un service de médecine spécialisé dans la cardiologie et les pathologies vasculaires. Lundi 19 Janvier 201 5 je suis avec l’infirmière, au tour de 14h nous allons prendre les constantes d’une patiente entrée deux jours plus tôt. C’est une patiente que je ne connais pas encore car je n’étais pas là le week-end de son arrivée. Mme J a 79 ans et est entrée dans le service suite à un AVC hémorragique massif, son score de Glasgow est à 3. Elle est dans un coma de stade 4.
A son entrée le 1 7/01 Mme J parlait et était cohérente, mais depuis le 8/01 elle est totalement aréactive. L’infirmière toque à la porte de la chambre puis entre en disant « Bonjour Mme J nous venons prendre vos constantes ! La chambre est Vide, nébulisateur est plac nécessaire à la réalis mais il n’y a rien d’au côté du lit. Elle anno pour mettr or 3 Snipe to View Swipe to Wew next page rsonnelle. Un le matériel e est sur la table llons chacune d’un ais prendre son bras mettre le brassard à tension et que ça va serrer.
Je mets le brassard, relève les constantes
Je pense que j’ai fuis cette sltuation en évitant de me confronter ? la patiente et au fait que si je lui parlais elle n’aurait pas la moindre réaction. J’ai préféré éviter la présence de Mme J, j’ai en quelque sorte fait comme si elle n’était pas là. J’ai « oublié » sa présence pour me protéger de cette situation que je ne savais pas comment gérer. En prenant du recul sur cette situation je pense avoir réagi de cette manière car j’étais démunie face à cette personne et ? angoissante de la chambre. Ce type de comportement fait partie des mécanismes de défense. Ici c’est l’évit
