Article 1 : L’ÉTUDE DE MARCHÉ L’étude de marché doit aborder quatre grands thèmes : le marché, les clients, la concurrence et l’environnement. Ces informations vous permettront de valider ou peut-être de réajuster votre offre et votre positionnement. Bien sûr, les conseils que nous vous donnons ici devront sans doute être adaptés aux spécificités de votre projet. Et les nombreuses ressources que vous pourrez trouver sur Internet, par exemple sur la base de données Prisme gagneront toujours ? être complétées par une enquête sur le terrain.
Définissez votre mar or 12 première étape, o View votre marché. Ce ma est sa taille ? Est-ce u formations sur , en déclin ? Quelle international ? Combien d’entreprises se partagent-elles actuellement ce marché, quelle est leur taille, quels sont leur profil, leur chiffre d’affaires moyen ? II s’agit ici non seulement de recueillir des chiffres, mais aussi de les analyser dans la perspective de votre projet. Apprenez à connaitre vos clients Vous devez évidemment cibler au mieux les clients à qui vous allez vendre votre produit ou service. Qui a besoin de cette nouvelle offre ?
S’agit-il de professionnels, de particuliers, de ollectivités ? Combien de clients pouvez-vous espérer ? Où se trouvent-ils ? Quelles
Leur offre est-elle un succès ? Pourquoi ? Où sont-ils implantés ? Toutes ces informations vous aideront à vous différencier d’eux, ? construire votre « avantage concurrentiel » et donc une offre commercialement attractive pour vos clients. Explorez l’environnement de votre marché Y a-t-il des innovations technologiques qui peuvent changer la donne à court terme ? Le cadre réglementaire ou législatif de votre future activité est-il susceptible de changer ? Existe-t-il des aides spécifiques à cette activité ?
Qui sont les acteurs qui contribuent a l’organisation de ce marché : les fournisseurs, les organismes et associations professionnelles, les sous-traitants, les grossistes… ? Il s’agit ici d’identifier les opportunités et les enaces qui peuvent impacter votre 12 s’agit ici d’identifier les opportunités et les menaces qui peuvent impacter votre futur marché. Identifiez la meilleure zone d’implantation • Choisir le meilleur territoire Les CCI de France mettent à disposition une application à la fois expérimentale et inédite.
Elle rassemble des jeux de données relatives à la vie des territoires – qu’il s’agisse, notamment, du taux de création d’entreprise ou de la densité des infrastructures, du nombre d’écoles ou de pôles de compétitivité — pour vous aider à choisir le plus adapté à votre projet ?? Définir sur votre territoire la meilleure zone de chalandise Si vous souhaitez exercer une activité de commerce comme la restauration rapide, qui exige de trouver une vitrine attractive dans un lieu de fort passage, la précision du choix de votre implantation sera capitale pour la réussite de votre projet.
Pour les projets commerciaux, au cours de votre étude de marché, vous devrez donc évaluer le potentiel de votre future zone de chalandise. L’Insee met gratuitement à votre disposition un outil d’étude d’implantation : ODIL (outil daide au diagnostic d’implantation locale). ODIL vous permet de collecter des informations économiques, démographiques et sociologiques concernant la zone de chalandise sur laquelle vous envisagez de vous implanter. La première étape de l’utilisation d’ODlL consiste à sélectionner une ou plusieurs activités ainsi que des produits associés.
Par exemple, si vous souhaitez ouvrir un commerce de détail de meubles de cuisine, vous choisirez l’activité « Commerce de détail de meubles » et le produit « Mobilier de cu 19 de cuisine, vous choisirez ractivité « Commerce de détail de meubles » et le produit « Mobilier de cuisine et de salle de bains ». Il est possible d’obtenir des données sur la France métropolitaine ainsi que sur les départements d’outre-mer (Guadeloupe, Martinique, Guyane, Réunion). Après avoir sélectionné votre activité et votre produit, vous accédez à la sélection géographique.
ODIL permet de collecter des statistiques sur trois niveaux géographiques : – la commune d’implantation, – le cœur de cible, – la zone d’influence. Résumé de l’article 1 artlcle 2 : la création d’entreprise Qu’avez-vous envie de faire ? pour savoir si votre idée peut devenir un projet d’entreprise réalisable, vous devez faire le point n vous posant les bonnes questions. Connaissez-vous bien le marché dans lequel vous souhaitez vous implanter ? Bien connaître le métier ou le secteur dans lequel vous pensez exercer est un facteur de réussite.
Mais attention, il y a beaucoup d’autres éléments indispensables à la création et au développement d’une entreprise ! Être un expert dans un domaine ne fait pas forcément de vous un bon vendeur ou un gestionnaire rigoureux. Et même la connaissance d’un marché n’est pas un acquis : tous les secteurs peuvent connaître des évolutions commerciales, technologiques ou législatives qui hangent les règles du jeu. N’hésitez pas à consulter nos fiches d’informations sectorielles. Souhaitez-vous travailler seul ou en équipe ? De quelles compétences avez-vous besoin ?
Avez-vous besoin de vous associer ? Si vous optez pour l’association, prenez le temps de bien choisir vat 2 Avez-vous besoin de vous associer ? Si vous optez pou l’association, prenez le temps de bien choisir votre partenaire et de définir ce que vous attendez l’un de l’autre. un simple apport financier ? une compétence complémentaire des vôtres ? un réseau de contacts professionnels indispensable au lancement de votre activité ? Pour plus d’information, reportez-vous à la rubrique Devez-vous vous associer ? Votre idée de création est-elle innovante ? En êtes-vous sûr ?
Si vos recherches le confirment, pensez dès maintenant à protéger votre idée. La propriété intellectuelle de votre idée sera alors vitale pour votre entreprise, et il est indispensable de lancer dès maintenant vos démarches pour préserver cette innovation et éviter tout risque de plagiat. Par ailleurs, vous devez également prendre en compte le fait que les produits ou services les plus innovants sont susceptibles de dérouter les consommateurs. L’étude de marché permet de mieux connaître vos clients potentiels : leurs besoins, leurs habitudes, leurs modes d’achat ou de consommation…
Tous ces éléments vous aideront à concrétiser votre projet d’entreprise. Quels points de différenciation votre projet propose-t-il ? Sachez que le marché est très concurrentiel, pensez à tout ce qui peut faire la différence : le produit/service, son prix, son mode de distribution… Là aussi, réaliser votre étude de marché vous aidera à faire la part des choses. De quel type d’activité s’agit-il ? Souhaitez-vous exercer une activité artisanale ? Dans ce cas, soyez très attentif à la réglementation propre à votre futur métier.
No PAGF s 9 Dans ce cas, soyez très attentif à la réglementation propre ? votre futur métier. Nos fiches d’informations sur les métiers de l’artisanat vous aideront à connaître précisément l’environnement de votre future activité. Si vous êtes tenté par le choix de la franchise, nous avons listé les points clés pour monter un projet de franchise. Nos questions- réponses juridiques sur la franchise vous aideront également à y voir clair. Enfin, si vous envisagez une petite activité professionnelle ndépendante, le statut d’auto-entrepreneur est peut-être le plus adapté à votre projet.
Mais si ce régime est ultrasimplifié, il a néanmoins ses spécificités, qu’il vous faut connaître avant d’opter pour ce statut. Nous avons rassemblé les informations qul vous permettront de tout savoir sur l’auto-entrepreneur. résumé de l’article 2 PAGF 19 la définition de l’entrepreneuriat : en effet, de tout temps il n’y a jamais eu de consensus sur la définition de ce concept. La seconde partie de l’article débute avec le postulat suivant • « toute bonne science commence avec de bonnes définitions.
L’article démontre ensuite que, malgré le fait que certains empiristes pensent qu’ils peuvent fonctionner sans définition précise, chaque concept a besoin d’une définition. Comment ces personnes savent sur quel phénomène elles travaillent si elles ne sont pas capable de définir ce qu’elles observent ? Les définitions sont donc une partie nécéssaire de la recherche. Cependant, les chercheurs et étudiants en entrepreneuriat sont pris dans un débat sans fin sur la définition exacte de l’entrepreneurlat.
L’article dit ensuite que ce qui pourrait être utile afin de débloquer le débat, est de se baser sur les changements dans le anagement de la stratégie et des affaires. Contrairement à la définition d’entrepreneur, il ny a aucune contestation à propos de la définition d’un « general manager » ou « gérant général En effet, la focalisation sur cette définition est passée des « roles et fonctions d’un manager général » aux « processus stratégiques d’une organisation Ce changement peut paraitre moindre, mais c’est un changement radical dans la tournure que prennent les recherches sur la définition d’entrepreneur.
L’article propose ensuite des pistes de définition, citées ci dessous : -Un évenement entrepreneurial implique la création d’une rganisation pour saisir une opportunité -Le processus entrepreneurial implique toutes 7 2 d’une organisation pour saisir une opportunité -Le processus entrepreneurial implique toutes les fonctions, activités et actions associées avec la perception des opportunités et les moyens mis en œuvre pour les saisir. -Un entrepreneur est quelqu’un qui perçoit une opportunité et qui met des moyens en œuvre pour la saisir. iche de vocabulaire de l’article 3 Inquiry : enquête Faze : démonter Foolhardy : imprudent Imply : impliquer Infer : déduire Embroiled : impliqué Thereabouts : environ, à peu près Sea-change : changement radical rticle 4 : How to Sink a Startup Noam Wasserman, author of the recently released book ‘The Founder’s Dilemmas: Anticipating and Avoiding the Pitfalls That Can Sink a Startup, » discusses ill-advised entrepreneurial behavior. From the HBS Alumni Bulletin. y Garry Emmons When Noam Wasserman (HBS MBA 1999) spent his MBA summer internship working for a VC firm, he observed important universalities in the decisions that founders faced. He also saw that the « fundamental im ose decisions were PAGF Sink a Startup, draws on data gleaned from nearly 4,000 high- potential startups and 10,000 founders, while incorporating ase studies and anecdotes about the follies and triumphs of prominent entrepreneurs such as Tim Westergren of Pandora and Evan Williams of Twitter. YouTube cofounder and former CEO Chad Hurley has called the book l’an invaluable alternative to real- world trial and error. A past recipient of the HBS student-voted award for teaching excellence, Wasserman developed and teaches the popular MBA elective Founders’ Dilemmas. ln 2011, the course was named one of the top entrepreneurship courses in the United States by Inc. magazine. Garry Emmons: What’s a common instance of ill-advlsed behavlor by entrepreneurs? Noam Wasserman: Splitting equity With your cofounders is a prime example. My data, drawn mostly from high-tech and life- science startups, show that 73 percent of teams decide on terms in the venture’s first month, and the majority finalizes the split at that point.
But there’s a real danger in splitting equity toa soon and setting it in stone. It is inevitable that change will come to the venture and the founding team, putting that early split into dlsarray and imperiling the team. Spllttlng equity early can be valuable in maintaining team stability when a venture is just launching, but devising a static split doesnit properly reflect the luid nature of startups. Article 5 : Managing the Family Business: Are Optimists or Pessimists Better Leaders? ln general, optimists are best suited to lead family-run entrepreneurial organizations.
At least until disaster optimists are best suited to lead family-run entrepreneurial organizations. At least until disaster strikes. John A. Davis explains Why both perspectives are so valuable. by John A. Davis Optimism and pessimism are strong, stable traits that reflect our coping strategies. We live in an uncertain world. To cope With uncertainty, most people basically assume that things will either urn out well (the optimists) or turn out badly (the pessimists). So here’s a question to ponder: Is it better to have an optimist or a pessimist leading your family organization?
As l’Il show below, both have their own unique traits that can benefit a business. But they Will do it in different ways, With different goals. Which are you? Here’s a quick test. I plunk down two magazines in front of You. One, Time, has Warren Buffet on the cover, under the headline « The Optimist. » The other publication is Thepessimist. com, whose tagline is « Expecting the worst. Never disappainted. » Which da you pick up first? It’s probably a good thing for us that so-called rationalists (tagline: « Why so emotional? ) are in the minority, because studies show that without optimism or pessimism people don’t accomplish as much. These natural traits motivate people to take action- different actions, but at least action. ARE YOU A PESSIMIST? If you’re a pessimist, you tend to focus on safety and security. Pessimism drives you to seek and find safe havens, establish clear advantages, and protect resources. When pessimistic about needed economic recovery, for instance, families save money and companies build war chests. When t