Je suis en stage dans une clinique psychiatrique dans un secteur ouvert. AI est 1 oh et accompagnée de l’infirmière, nous effectuons l’entretien d’entrée de Monsieur p, ans, hospitalisé pour sevrage OH. L’entretient de Monsieur P se déroule dans sa chambre.
Vers la fin de l’entretien, au moment où le médecin rentre dans la chambre, de violent cris et pleurs se font entendre dans le couloir et le médecin nous dit alors qu’une patiente est en train de faire une « crise J’ai décidé de sortir de la chambre de Monsieur P et de prendre en charge la patiente en « crise », hissant ainsi l’infirmière finir l’entretien de Monsieur P La patiente, Madame C, ans, est hospitalisée depuis plusieurs suivie annexée g Sui # toi page semaines pour sevra et crie dans le couloir ce qui se passe.
mat e ? discourt était incompris Sa chambre n’étant p pressés. Elle pleur elle et lui demande expliquer mais son conduit vers celle- ci, d’une part pour lui éviter le regard des autres patients ainsi que des visiteurs présents dans le couloir et d’autre part pour l’installer dans un environnement qui lui est familier afin de l’apaiser. Dés son entrée dans
Après lui avoir servi un verre d’eau et la liais laisser reprendre sa respiration, Madame C commence m’expliquer le pourquoi de sa « crise Une violente conversation téléphonique avec son père, lui reprochant leur dépendance mutuelle (son père est un ancien alcoolique, sobre depuis plus de AI ans), la non implication de sa fille dans son sevrage, ses écarts e conduites. Lors de cet entretien, je laisse Madame C parler, vider son sac et ne parle que très rarement, j’écoute.
Sur la fin, la patiente semble beaucoup plus détendue, elle s’est redressée en position assise sur son lit et son visage semble plus apaisé. Elle est également plus explique dans son discourt. Je suis demande alors si elle se sent mieux, si le fait d’avoir parlé la aidé. Je m’assure qu’elle n’est besoin de rien et lui dit que si elle ne se ressent pas bien qu’elle n’hésite pas soit à sonner soit à aller directement à l’infirmerie fin de pouvoir en parler. Je salue Madame C et sort de sa chambre.
Aurais-je dû quitter la chambre de Monsieur P avant la fin de sont entretien d’entré ? Aurais-je dû directement amener Madame C à sa chambre ? Aurais-je dû parler d’avantage ? Mon écoute à t-elle était assez active ? Le fait que la patiente me dévoile une partie de sa vie traduit-il sa confiance ? Ai je calmer Madame C ? Les concepts présents dans cette situation : Concept du secret professionnel : Le secret professionnel se définit comme un droit au patient au respect de sa vie privée et u maintien du secret de ses informations.
Comme le stipule la loi coucher du 4 Mars 2002 « Toute pp 2 maintien du secret de ses informations. Comme le stipule la loi coucher du 4 Mars 2002 « Toute personne prise en charge par un professionnel, un établissement, un réseau de santé ou tout autre organisme participant à la prévention et aux soins a droit au respect de sa vie privée et du secret des informations la concernant Cette loi apporte d’importants bouleversements en plaçant le malade au centre de toutes les décisions qui le encreront.
Dans cette situation, j’ai amené Madame C dans sa chambre afin qu’elle soit a faiblir des regards et qu’elle puisse parler en toute sécurité, sans que personne ne puisse entendre ce qu’elle avait à me dire. Concept de pudeur : La pudeur est une retenue morale ou physique à l’égard de ce qui est considéré comme indécent. Dans cette situation, la patiente à une beaucoup de pudeur, mais moi également. Madame C, n’as pas voulu que je révèle certain événement qu’elle a put me raconter par pudeur envers le résonner soignant afin de conserver une image.
Concept de respect : Respecter quelqu’un, c’est avoir de la considération à son égard, c’est le reconnaître vraiment comme porteur de la même dignité que soi. Dans la relation entre l’infirmière et le patient, le respect se manifeste notamment par l’approche de l’infirmière, par son écoute, ainsi que par la façon dont elle répond aux besoins et attentes exprimés par la personne prise en charge. Madame C avait besoin d’être écoutée sans être jugée.
