Monsieur M est adressé par le Médecin des urgences du centre hospitalier l’infirmière pour effectuer les pansements d’une plaie étendue (terminaison) AI cm sur 6 cm, situé suite, à une chute de ans un premier item Ce patient a pour anti lié p g a jambe gauche, toi être pratiqué amicale du patient. Pp 2 traité (admirons), Insuffisance veineuse (bas de convention), ulcère variqueux, phlébite jambe droite en 2011, père-tension artérielle traitée. (témoigne). Ces pathologistes sont un risque potentiel à une cicatrisation difficile.
Au 5 me jour de sa prise en charge, l’infirmière madame A. Me dit : cornée à partir de maintenant si tu veux, réalise le pansement de Monsieur M. J’accepte avec un grand intérêt. Nous décidons que l’infirmière interviendrait au cours de la réalisation u pansement uniquement s’il y avait une difficulté réelle. Activité réalisée erre séquence : tabouret. Il nous dit « je vous attendais, tout le matériel est posé sur la table » « Bonjour monsieur M, ce matin c’est moi qui vais pratiquer vos soins, si vous n’ voyez pas d’inconvénient » lui répond-y-je.
Monsieur M, me donne son approbation en me répondant « mais avec plaisir » Avant de commencer mon soin je
Je dois m’adapter à l’environnement, aux soins à domicile dont le contexte diffère en plusieurs points d’une structure hospitalière : Lieu, installation, hygiène, matériels, Médecin non présent, proximité avec le patient, relation soignant-soigné, juste distance professionnelle (du fait de réaliser un soin dans une intimité qui est propre aux patients avec ses habitudes de vie), dossier de soins, recueil de données, suivi patient. 2 me 2 patients avec ses habitudes de VIe), dossier de soins, recueil de données, suivi patient. Me séquence : Avec des gants non stériles à usage unique, je retire le pansement présent. Mon observation clinique : la jambe est démocratie, rouge en périphérie de la plaie, inflammatoire et douloureuse. La plaie au centre est bien vascularisée, pas de fibre, mais sers-sanglante. Au regard de mon observation des deux premiers jours, la jambe ne présentait pas d’?dôme ni d’inflammation. J’exprime mon observation à l’infirmière près de moi.
Et elle me dit « oui je remarque l’état actuel de la plaie mais je ne peux pas faire de comparaison car c’est la première fois que je vois la plaie e monsieur M » en effet durant quatre jours c’est son associée Madame E qui a effectué le pansement de monsieur M. J’émets l’hypothèse d’une réaction allergique à la crème aïeules (me rappelant une expérience déjà vécue dans un stage antérieur). Je préconise à l’infirmière de ne pas appliquer ce jour la crème aïeules, d’en informer le Médecin et de suivre dans un second temps ses nouvelles directives. Infirmière approuve mon raisonnement. Je termine mon pansement sans y appliquer la crème aïeules. Par précaution je propose au patient de lui prendre sa empereur corporelle (3704) Et de prendre sa (TA 14/8), j’évalue également sa douleur avec l’échelle numérique de O à 10 : AVE 5 Je retranscrits la réalisation du soin ainsi que les constantes et l’évaluation de la douleur sur une feuille volante avec l’autorisation de l’infirmière. L’infirmière téléphone au Médecin qui, demande à revoir la plaie d 3 de Monsieur M en consultation l’après-midi même.
Le lendemain lorsque nous revenons voir monsieur M pour réaliser le pansement un nouveau traitement était mis en place ainsi qu’un nouveau protocole de soin (eau stérile, tulle gras, empresses et dubitatifs) pour maintenir le pansement sans avoir recours au sparadrap autodidactes auquel le patient risque d’être allergique. La crème aïeules était probablement à l’origine de cette réaction inflammatoire. Les jours qui suivent nous notons une amélioration visible de la cicatrisation et une diminution réelle de l’inflammation.
Les pansements sont réalisés à J 9, tous les 2 jours selon le même protocole. Le patient est satisfait de sa prise en charge et se sent rassuré du fait du réajustement du soin. Il visualise lui aussi l’amélioration de sa cicatrisation. Positionnèrent personnel et professionnel : J’ai réalisé ce soin en présence de l’infirmière en respectant malgré un environnement défavorable, les règles d’hygiène et d’asepsie. Le patient était en confiance et pendant la réalisation de ce soin je me SUIS sentie sereine, mes gestes étaient sûrs et efficaces.
J’ai relevé des signes cliniques qui mettaient en évidence une réaction inflammatoire et j’ai émis l’hypothèse d’une éventuelle réaction allergique à la pommade aïeules (ce qui a été confirmé par la régression de l’inflammation et la diminution de l’?dôme vécu l’application du nouveau horticole de soin) ‘infirmière à tenue compte thèse, l’ai pu mettre en protocole de soin) L’infirmière à tenue compte de mon hypothèse, j’ai pu mettre en place pour ce patient une fiche de suivi de soins.
J’ai réalisé que l’infirmière qui effectue les soins à domicile joue un rôle primordial dans la prise en charge du patient dans sa globalité. Elle coordonne les différents intervenant. Elle repère les signes cliniques observables, elle évalue les changements de comportement, en informe le Médecin et collabore avec lui, elle ajuste les traitements et les soins. Si le futur me permet d’exercer dans ce milieu, je m’efforcerai de mettre en place un recueil de donné et un suivi de soin pour chaque patient.
La configuration de cette travaillée devra être pensée pour être efficace, rapide et précise permettant une meilleure prise en charge du patient par l’équipe soignante. (Infirmière et autre). Questionnèrent En tant qu’étudiante infirmière ai-je eu raison d’émettre l’hypothèse concernant la réaction supposée allergique du patient Monsieur M à la pommade loyales ? L’infirmière présente m’ entendu, elle a trouvé ma remarque pertinente et en a informé le Médecin. Ne réajustement du soin a été opéré ce qui a permis une régression de l’inflammation et à orienter la plaie vers une amélioration et à une guérison. Afin d’améliorer la qualité des soins et la prise en charge des patients et d’éviter les dysfonctionnements, les infirmières libérales ne pourraient- elles pas communiquer de façon efficace ? Même si leur organisation et leur rythme de travail ne leur permet pas de se rencontrer. Il n’existe pas de dossier infirmier patient, ni au domicile, ni S as de se rencontrer.
Il n’existe pas de dossier infirmier patient, ri au domicile, ni au cabinet. (Ce qui aurait permis dans cette situation de tracer l’évolution de la cicatrisation de la plaie de monsieur M en fonction du protocole mis en place), les antécédents du patient (que j’ai obtenu de manière précise en questionnant l’intéressé), le partage des avis entre les deux professionnelles et l’homogénéité des pratiques infirmières. Actuellement quelques transmissions sont faites sur un carnet uniquement pour des patients en maintien à domicile ayant une aide-ménagère.