Adaptations cinématographiques de Therese Raquin

Adaptations cinématographiques de Therese Raquin

Thérèse Raquin, roman « mythique » écrit par Emile Zola en 1867, a inspiré au fil des siècles de nombreuses adaptation, filmiques ou encore théâtrales.

Jacques Feyder (1928) film muet « Laurel et Hardy » et ‘L’homme qui rit » Thérèse : Gina Manès co-production France/Allemagne par le studio d’état de RDA , defa (deutsche Film AG, fondé en 1946 après la guerre) -> film perdu, essentiel de la production perdu, juste quelques photos Tu ne tueras point I ; fait référence au meurtre de camille En bas a droite : illus l’a Swip ta View next page Raquin, il tente alors pein eviendra par la suit en haut a droite : épi ans la famille Camille qui crise des epoux. rtre de camille, ballade sur la Seine.

Au premier plan la main de Camille avant de se noyer et a l’arrière plan la barque des 2 amants qui fuit toute la partie gauche : représente Laurent, après son mariage, battant Thérèse. Ces scènes se situent après le meurtre de Camille, elles en sont les conséquences. au centre en bas : Madame Raquin, paralytique. Elle est à moitié incluse dans la précédente case puisqu’elle sera témoin de ces disputes, y compris le suscite des meurtriers. Une autre ypothèse

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est possible, Madame Raquin croit encore a un accident et pleure la la mort de son fils comme toute mere. râce a une lecture chronologie : on arrive a reconstruire le film ou du moins la trame de Ihistoire Marcel carné (1953) « Spartacus » ou « Les vacances de Monsieur Hulot » fidèle au livre a quelques détails près – transposition action dans les années 1950 -ajout d’un personnage, le maitre chanteur (qui menacera les amants durant la seconde partie du film) -mort de Camille : jeté d’un train et non pas noyé -pas de représentations des hallucinations des amants (alors que lace primordiale dans le roman) critiques journeaux « arts » et ‘l’Aurore » -> 1953 Yves Gibeau : critique la « monotonie generale » « l’abscence de rythme » et des scenes impropres de Carné Aurore : critique objective http://www. dailymotion. com/video/xaawyz_thirst-ceci-est mon -sang-bande-anno_shortfilms Festival de Canne en 2009 -> prix du Jury long métrage coréen qui a obtenu l’aide financière du studio hollywoodien « Universal ». Résumé : Une jeune prêtre coréen Sang Hyeon, se porte volontaire comme cobaye n vaccin dans le but 2 peu a peu en vampire. De retour en Corée, il apparaît comme un nouveau saint. Il rencontrera Tae-Ju, second personnage principal du film. Sa vie basculera alors. D’après Damien Taymans, Thirst décrit « la lutte d’un homme d’église en proie à une malédiction sanguine.

Emile Zola indiquait dans la Préface de son livre » qu’il a choisi des personnages souverainement dominés par leurs nerfs et leur sang, dépourvus de libre arbitre, entraînés à chaque acte de leur vie par les fatalités de leur chair « . Park Chan-wook prends ses mots au pied de la lettre et invite la créature fantastique qu’est le vampire dans l’oeuvre du naturaliste out comme Emile Zola, Park chan, par ses scènes burlesques, discussions inappropriées, tente d’analyser les pulsions humaines. Passe d’un extrême a l’autre (de prêtre a vampire), 2 analyses ressemblances livres/fllm -assassinat de Kang-woo par Sang-Hyeon, le protagoniste qui passe pour un accident -personnages evoluent de la meme maniere (maitrise des pulsions, adultere, crime… -figure tragique > nerfs prennent le dessus sur l’homme en lui- même, temperament plus que caractère -triangle amoureux -jeu de majong hebdomadaire (=dominos) différences : -cadre spatio-temporel totalement différents (XIXeme contre XXIeme) -nature de l’œuvre différente : œuvre naturaliste contre film d’horreur. 3 : œuvre naturaliste contre film d’horreur. Dans Thrist, on suit un « héros projeté contre son gré dans une spirale de violence malsaine alors que ses intentions premières ont toujours été nobles contrairement a Laurent qui part d’intentions mauvaises. Sang-Hyeon est au départ une bonne personne. -Trame de l’histoire érotisme dont les limites ont été particulièrement repoussés pour un film de culture locale coréenne. 1 fevrier 2014, Charlie Stratton film dramatique, coproduction americano-hongro-serbe herese : Elizabeth Olsen, actrice americane de 25 ans. Camille : tom felton (malfoy dans haro,’ poter) laurent : Oscar Isaac SON Cet adaptation suscite des avis divergents, comme le confirme le journal américain « Express ». « Charlie Stratton’s film falls short of carrying the weighty passion and emotion of Emile Zola’s book » « Emile Zola’s tale of illicit passion, Thérèse Raquin, becomes a bland film in this disappointing adaptation » D’après eux, l’émotion et la passion ressentis au long du film n’est pas à la hauteur de l’œuvre de l’auteur naturaliste. Une immense déception pour un film pourtant prometteur. 4