Devoir Francais

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Corpus de textes Le XIXe siècle est associé à plusieurs mouvements littéraires. Ce corpus de textes associant Emile Zola dans la « Préface aux Rougon-Macquart », Honoré de Balzac dans « avant-propos à La Comédie humaine », Les frères Goncourt dans « Préface à Germinie Lacerteux » et Guy de Maupassant dans « Le Roman’ préface ? Pierre et Jean cherche à offrir aux lecteurs une nouvelle perspective : Le Réalisme. Quels élements communs peut-on dégager des différentes visions que proposent ces quatres auteurs quant au rôle et aux caractéristiques du roman tel qu’ils le conçoivent ?

Dans un premier temps , nous allons nous pencher sur les points similaires que leur préface . Puis no caractéristiques du r pour commencer n an ors Sni* to View réalistes à travers érents rôles et les que chacun de ces auteurs veut montrer dans son ouvrage la r alité, telle qu’elle est vraiment. En effet, Balzac ne veut rien cacher au public « l’inventaire des vices et des vertus « . D’emblée nous savons que les romans en question se baseront sur le vrai plutôt que sur le beau. On constate que tous ces auteurs ne s’adressent pas qu’ à une seule personne.

Zola s’intéresse plutôt à un groupe de population « une famille » ,

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 » un groupe social « un petit groupe d’êtres » ainsi qu’à leur façon de se comporter en société. Les frères Goncourt eux , s’intéressent au Tiers-Etat « si ce monde sous un monde , le peuple  » tandis que Balzac parle à « La société Francaise » Contrairement à Maupassant qui u Swlpe to vlew next page utilise une vision plus génerale, il évoque tout le monde :  » pour énumérer les multitudes d’incidents insignifiants qui emplissent notre existence ».

Ces romanciers ne visent pas les classes nobles, mais les isérables, les « basses classes  » comme cité dans le texte des frères Goncourt. De plus, ils se soucient de la Société Française, d’un groupe de personne, du peuple , mais de manière nuancée. Ces auteurs ont une toute nouvelle vision du roman. Chacun d’eux souhaite évoquer dans leur oeuvre romanesque la réalité de la vie : Balzac a voulu écrire « l’histoire oubliée par tant d’historiens, celle des moeurs ». Pour cela, il ne se contente pas d’écrire l’histoire, il étudie de plus prêt la sociéte et ces effets sur l’homme afin d’être le plus fidèle possible.

Les frères Goncourt partent du principe qu’à leur époque, inscrite dans un mouvement de démocratie, et qu’avec le roman qui connaît alors un essor littéraire et social, le bas peuple devrait y avoir accès étant donné qu’il en est le principal sujet. D’ailleurs , ils entendent par-là que le roman devient alors une véritable enquête, une étude et une analyse sociale. Quant à Zola, il a une réelle volonté de s’approprier l’histoire « d’un petit groupe d’êtres » afin d’être en mesure d’expliquer quels rôles jouent « les tempéraments et les milieux ».

Il s’accorde à dire ue tous les individus sont liés les uns aux autres, et qu’à la fois seul et ensemble ils forment « un groupe social ». C’est ce groupe social que Zola veut mettre en scène dans son roman en l’ayant rigoureusement analysé. Donc , pour lui , le roman est une façon de mettre en scène les groupes sociaux D’après Guy Maupassant. Pour Maupassant « Faire vrai consiste donc à donner l’illusion complète du vrai, suivant la loglque ordinaire des faits, et non à les transcrire servilement dans le pêlemêle de leur succession. J’en conclus que les Réalistes de talent devraient s’appeler plutôt des Illusionnistes. »