Techno Le Concorde Le Concorde est un avion supersonique (c’est à dire volant à une vitesse supérieur à celle du son) qui a été développé dans les années 1960-1970, et exploité commercialement de 1976 à 2003. Le français Sud-aviations et le britannique Aéroplane Compagny développent respectivement leur supersonique super-caravelle et Bristol 223 dans les année 1960, les deux projets sont déj? bien avancés, mais comme cela coûtais trop chère, les deux Etats amènent à faire collaborer les deux entreprises. Les deux entreprises se partag janvier 1963, le prési ‘avion soit baptisé le or. •- • maquette grandeur n polémique s’ensuit. ppareil. Le 13 Gaule suggère que obre une première résentée. Une L’assemblée du premier prototype Concorde 001 débute ? Toulouse en 1966 et l’avion soft des hangars le 11 Décembre 1967 sous l’immatriculation F-iNTSS signifiant « transport supersonique A cette occasion, le ministre britannique de la technologie Tony Benn met fin à la polémique en annonçant : « Le Concorde britannique s’écrira désormais avec un e car cette lettre slgnifle aussi Excellence, England, Europe, et entente. Il effectue on premier vol le 2 mars 1969 et est mis en service le 21 janvier 1976.
Il est mis hors service le 26 novembre
Vitesse ascensionnelle : 25,41 m/s Partie essentielle et spécifique de cet avion : l’aile adaptée au vol supersonique. Le concept d’aile delta (triangulaire) est modifié afin d’avoir de meilleures performances aux basses vitesses. Cette modification de l’aile du Concorde porte un nom spécifique : l’aile gothique. Car si on regarde le plan de l’aile, on s’aperçoit que la forme en plan est en ogive, d’où le nom gothique. L’aile delta n’est que très peu portante à faible vitesse, ce qui blige l’avion à avoir un angle d’incidence élevé durant les phases de décollage et d’atterrissage.
La visibilité vers l’avant Sen trouve fortement réduite lors du décollage et en phase d’approche. En raison de sa forme élancée nécessaire afin d’avoir de bonnes performances pour le vol supersonique, les pilotes avaient généralement une très mauvaise visibilité vers l’avant. Cela ne causait pas de problème en vol de croisière, mais un peu plus dans les phases de décollage et d’atterrissage. C’est ce qui explique pourquoi les pilotes devaient abaisser le nez du Concorde pour ces phases.
Concorde a le nez baissé de 50 et la visière escamotée pour le roulage, le décollage et les approches intermédiaires. Concorde a le nez haut et la visière relevée quand il est en vol Supersonique. Et il a le nez baissé à 120 et la visière esc PAG » OF d visière relevée quand il est en vol Supersonique. Et il a le nez baissé à 120 et la visière escamotée lors de l’approche finale et l’atterrissage Beaucoup d’améliorations techniques (qui sont maintenant communes dans les avions de ligne actuel) furent utilisés pour la remière fois dans le Concorde.
Le Concorde est par exemple le premier avion civil à disposer de commandes de vol entièrement électronique. Les pièces du Concorde sont usinés à partir d’une ébauche et non d’un assemblage, ce qui réduit beaucoup son poids. un pilote automatique permet une gestion automatique de la puissance (en anglais auto-manette), autorisant un contrôle « mains libres » (hands off) de l’avion de la montée initiale à l’atterrissage. Célectricité à bord est générée par des IDG (Integrated Driving Generator), prédécesseurs et de ême technologie que ceux montés sur les avions actuels (Airbus et Boeing).
Le Concorde est aussi équipé d’un système SPAD (Système Perfectionné Anti Dérapant), de contrôle de glissement. (Si question dessus : C’est à dire l’écart de vitesse entre roue freinées et roues non freinées) Ce système permet de réduire les distances d’arrêt de 15% sur sol sec et d’améliorer la sécurité sur sol mouillé. Certaines de ces nouveautés technologiques avaient 20 ans d’avances. Le Concorde est un quadriréacteur, c’est à dire qu’il a quatre éacteurs.
Ces réacteurs sont disposées deux par deux, les nacelles dans lesquels il sont la és sont en acier et matériaux résistant à de hautes temp PZGF3CFd des protections thermiques installées au plafond, et ainsi que par des détecteurs d’incendie, il est donc bien protégé des surchauffes) La grande difficulté de conception et de mise au point des réacteurs vient du fait que l’avion vole en subsonique et en supersonique alors que la vitesse de l’air à l’intérieur du moteur doit être inférieure à la vitesse du son même en supersonique.
Pour cela, les constructeurs ont partagé le moteur en trois parties : – les entrées d’air ; – le moteur lui-même ; – la tuyère. Ces trois parties disposaient de leurs commandes et contrôles particuliers. Simple flux, double corps (compresseurs basse pression (NI) et haute pression (N2)), chambres de combustion annulaire, turbines haute et basse pression. Un système de postcombustion (ou réchauffe) est ajouté. Une tuyère à section variable (AJ : Area Jet) vient se positionner à Farrière. (Postcombustion .
La postcombustionl ou post-combustion2, ouvent abrégée en « PC » et parfois dénommée « réchauffe est un système utilisé par les avions militaires supersoniques pour augmenter temporairement la poussée fournie par un turboréacteur. ) Le Concorde a eu un accident le 25 juillet, alors qu’il devait se rendre à New York. Après l’accident de Gonesse, le Concorde est remis en service le 7 novembre 2001 mais il connait plusieurs incidents (problèmes de moteur etc.. ) Un Concorde de la British Alrways connait un soucis majeur le 27 novembre 2002 il perd un de ses gouvernes alors qu’il amorce sa descente vers l’aéroport jFK à New York.
