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A. Introduction Sous l’effet des gaz à effet de serre, l’atmosphère terrestre se comporte en partie comme la Vitre d’une serre, laissant entrer une grosse partie du rayonnement solaire, mais retenant le rayonnement infrarouge réémis. Mais dans une serre il y a, en plus, l’absence de convection qui accentue l’échauffement de l’air. La transparence de l’atmosphère (dans l’ordre du spectre visible) permet au rayonnement solaire d’atteindre le sol. L’énergie ainsi apportée s’y transforme en chaleur. Comme tout corps chaud, la surface de la Terre rayonne sa chaleur.

Mais les GES et les nuages sont opaques aux rayons infrarouges émis ar la Terre. En absor l’énergie thermique l’atmosphère basse. (ou d’eau liquide) réfl l’espace et le rayonn or 10 Sni* to View Ils emprisonnent e, où elle réchauffe particules de glace nt solaire vers Les nuages ont un effet sur le climat encore mal connu au d but du XXIe siècle car ils atténuent le rayonnement infrarouge reçu à la surface de la Terre ; mais ils participent à la réflexion vers la Terre du rayonnement infrarouge.

L’effet de serre, principalement dû à la vapeur d’eau (0,3 % en volume, 55 % de l’effet de serre) et aux nuages (17 % de l’effet de

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serre) soit environ 72 % pour H20, es 28 % restant étant pour l’essentiel le fait du C02[1], porte la température moyenne à la surface de la Terre de —18 DC (ce Swipe to View next page (ce qu’elle serait en son absence) à +15 oc. B. Développement l. Qu’est ce que l’effet de serre | 0)- L’effet de serre L’effet de serre est un processus naturel résultant de l’influence de l’atmosphère sur les différents flux thermiques contribuant aux températures au sol d’une planète.

La prise en compte de ce mécanisme est nécessaire pour expliquer les températures observées à la surface de la Terre et de Vénus. Dans le système olaire l’essentiel de l’énergie thermique reçue par une planète provient du rayonnement solaire et, en l’absence d’atmosphère, une planète rayonne idéalement comme un corps noir, l’atmosphère d’une planète absorbe et réfléchit une partie de ces rayonnements modifiant ainsi l’équilibre thermique. Ainsi l’atmosphère isole la Terre du vide spatial comme une serre isole les plantes de l’air extérieur.

L’expression effet de serre résulte d’une analogie entre l’atmosphère et les parois d’une serre. Son usage s’est étendu dans le cadre de la vulgarisation du réchauffement climatique causé par les gaz à effet de serre qui loquent et réfléchissent une partie du rayonnement thermique. Or le bilan thermique d’une serre s’explique essentiellement par une analyse de la convection et non du rayonnement : la chaleur s’accumule à l’intérieur de la serre car les parois bloquent les échanges convectifs entre l’intérieur et l’extérieur.

Aussi, le terme scientifique, utilisé par la communauté des climatologues pour décrire l’influence des gaz à effet de serre, composants de l’atmosphère bloquant le rayonneme 10 décrire rinfluence des gaz à effet de serre, composants de l’atmosphère bloquant le rayonnement infrarouge, sur le bilan hermique de la Terre, est forçage radiatlf. 20)- Les causes de ‘effet de serre L’effet de serre est un évènement naturel chargé d’assurer une bonne température à la surface de la terre mais due aux activités humaines, cet effet s’est amplifié et débouche sur un réchauffement climatique.

Ses causes sont nombreuses et parmi elles nous avons : l’utilisation massive de combustibles fossiles ; les combustibles fossiles sont principalement le Charbon, les prodults pétroliers et le gaz naturel. En quelques dizaines d’années, des quantités importantes de dioxyde de carbone sont rejetées dans ‘atmosphère, provenant du carbone accumulé dans le sous-sol depuis le Paléozoïque.

L’augmentation de la concentration de C02 dans l’atmosphère qui en résulte, peut être un facteur de réchauffement climatique , la déforestation : une forêt mature est un réservoir important de carbone. La disparition de surfaces toujours plus grandes de forêt au profit de cultures ou de pâturages (emmagasinant une quantité moindre de matière organique), a pour effet d’augmenter les rejets de C02 dans l’atmosphère, surtout quand la déforestation se fait par brûlis.

En effet, la pousse de jeunes rbres ne peut plus absorber autant de carbone qu’en génère la dégradation des arbres morts ou brûlés remplacés par des cultures industrielles ou des pâturages ; l’utilisation des chlorofluorocarbones (CFC), puis des hydrochlorofluorocarbures (HCFC), pâturages ; hydrochlorofluorocarbures (HCFC), dans les systèmes de réfrigération et de climatisation (réglementée par le protocole de Montréal) conduit aussi à des rejets préoccupants.

Par exemple, le HCFC le plus communément utilisé, le monochlorodifluorométhane ou HCFC-22 a un PRG (potentiel de réchauffement global) 1800 fois plus élevé que le C02. es émissions de protoxyde d’azote : en augmentation constante, elles sont en grande partie issues de l’agriculture industrielle et des moteurs à combustion ; les émissions de protoxyde d’azote : en augmentation constante, elles sont en grande partie issues de l’agriculture industrielle et des moteurs à combustion. es émissions de méthane : son augmentation dans l’air tendait à se stabiliser en 2005-2007, mais est à nouveau en forte hausse dans l’atmosphère avec un record en 2012 (1 ,819 ppm, soit + 260 % par rapport au niveau préindustriel), surtout à partir des zones tropicales. Les émissions d’ozone : contrairement au méthane et au protoxyde d’azote, elles ne sont pas prises en compte dans le protocole de Kyoto en raison de difficultés pratiques bien qu’elles influencent aussi le climat.

Il faut signaler que l’ozone stratosphérique joue un rôle essentiel de protection (filtre) contre les rayonnements ultraviolets. les rejets de méthane non naturels sont dus principalement aux ruminants et aux surfaces inondées telles les rizières. On peut imputer à l’augmentation du cheptel de bovidés comme aux égouts et décharges, une 0 égouts et décharges, une augmentation des émissions de éthane.

En effet, une partie notable des GES proviennent de l’industrie de la viande, dont provient des flatulences (méthane) émises par les bovins. Nous avons aussi des raisons naturelles telles que : Le volcanisme, la respiration : sources de C02. Les rejets de méthane naturels par les hommes et la plupart des animaux, (les flatulences). Les surfaces inondées (estuaires, marais) produisent du méthane naturel en lieu et place du C02. Il.

Les effets des gaz formés, GES | 0)- Qu’est ce qu’un gaz à effet de serre (GES) Les gaz à effet de serre (GES) sont des composants gazeux ui absorbent le rayonnement infrarouge émis par la surface terrestre et contribuant à l’effet de serre. L’augmentation de leur concentration dans l’atmosphère terrestre est l’un des facteurs d’impact à l’origine du récent réchauffement climatique. Un gaz ne peut absorber les rayonnements infrarouges qu’à partir de trois atomes par molécule, ou à partir de deux si ce sont deux atomes différents.

Les principaux gaz à effet de serre qui existent naturellement dans l’atmosphère sont[G 1] : _ la vapeur d’eau (« 20) ; le dioxyde de carbone (C02) Le temps de résidence de ce gaz ans l’atmosphère est très variable, il oscille entre 15 et 120 ans ; _ le méthane (CH4) Sa durée de vie dans l’atmosphère est de neuf ans ; _ Le protoxyde d’azote (N20) sa durée de vie de 150 ans ; _ L’ozone (03) qui ne reste pas plus de deux mois dans l’atmosphè PAGF s 0 (N20) sa durée de vie de 150 ans ; l’atmosphère ; -Les gaz à effet de serre industriels comprennent aussi des hydrocarbures halogénés comme : _ Les hydrochlorofluorocarbures, comme le HCFC-22 (un fréon) ; Les chlorofluorocarbures (CFC) , Le tétrafluorométhane (CF4) ; _ l’hexafluorure de soufre (#6). 1. L’eau (sous forme de vapeurs ou de nuages) est à l’origine de 72 %, soit près de trois quarts de l’effet de serre total. 2. e dioxyde de carbone est le principal (en quantité) gaz à effet de serre produit par l’activité humaine, 74 % du total (tous modes d’émissions réunis). L’azote et l’oxygène, constituants essentiels de l’atmosphère, ne sont pas impliqués dans l’effet de serre. 0)- Les effets des gaz formés Les gaz formés sont des GES contribuant à l’effet de serre sauf qu’il n’est pas en soi nocif aux écosystèmes ; sans lui, la Terre ne serait qu’une boule de glace où la vie ne seralt pas possible, car l n’y aurait pas d’eau liquide. Le danger pour les écosystèmes réside plutôt dans la variation trop rapide et trop importante des conditions climatiques pour que la plupart des espèces dites évoluées puissent s’adapter en cas de changements de température et de pluviométrie. Des écosystèmes marins et littoraux pourraient également être touchés par une hausse du niveau de la mer et des modifications des courants marins et des conditions physico-chimiques de l’eau de mer (acidité, taux de gaz dissous… ). Les populations humaines seraient évidemment touchées p 6 0