devoir 4 français seconde

devoir 4 français seconde

Références du devoir Matière : Français Code de la matière : FR20 N a du devoir : 4 (tel qu’il figure dans le fascicule devoirs) Pour les devoirs de langues étrangères, précisez LVI, LV2 ou LV3 :LVI or7 Sni* to View Vos coordonnées Indicatif : Nom : Ndamobissi Yapama Prénom : Ted Peter Ville de résidence : Khartoum Pays (si vous ne résidez pas en France) : Soudan Double-cliquez dans les zones bleues pour saisir les différentes informations demandées puis commencez à saisir votre devoir en page 2.

Nom du professeur correcteur Note : sur scene la règle de bienséances n’est pas brisée. Dans Phèdre, Phèdre mourra sur scène, mais les règles de bienséances sont supposées empêcher que la mort soit représentée. Racine va certes représenter la mort sur scène, mals pour ne pas trop choquer les bienséances, il n’y a pas de mort violente : Phèdre se suicide par le poison. Dans Electre, à la fin de la pièce, le personnage du Mendiant est utilisé par Giraudoux pour raconter l’assassinat d’Agamemnon par sa femme et son amant et la vengeance d’Oreste qui tue les deux meurtriers.

La scène des trois meurtres est racontée, les règles classiques sont bien respectées. Cependant, dans la

Désolé, mais les essais complets ne sont disponibles que pour les utilisateurs enregistrés

Choisissez un plan d'adhésion
ersion moderne de ce mythe, Giraudoux s’écarte de la règle classique, en employant dans le récit des meurtres le champ lexical de la boucherie et en utilisant une anaphore : « bête qu’on saignait bête qui criait … on la saignait. Son fils la saignait De même l’image « de la main que Vépée découpait peu à peu » ne peut que faire frémir le spectateur. ) Tout d’abord la tragédie cherche à susciter la terreur et la pitié, et à inspirer chez le spectateur des leçons morales. Dans Britannlcus, Racine nous montre le comportement des courtisans, d’abord la bassesse de ces personnages « Mais eux qui de la cour ont un plus long usage sur les yeux de César composent leur visage » et également leur lâcheté « la moitié s’épouvante et soft avec des cris Phèdre en avouant ses remords expie ses « péchés ».

Sa mort va purifier la noirceur de ses actes et rétablir la PAG » rif 7 ses remords expie ses « péchés Sa mort va purifier la noirceur de ses actes et rétablir la normalité des choses : « et la mort rend aux jours qu’ils souillaient toute leur pureté » Giraudoux nous montre l’inanité de la vengeance. Le meurtre ne résout rien. Egisthe et Clytemnestre deviennent des victimes de la engeance d’Oreste : « mere innocente qu’il tuait … ésespéré de mourir en criminel quand tout de lui était devenu pur et sacré L’adjectif qualificatif «innocent » apparaît deux fais dans la tirade, la première pour qualifier Clytemnestre et la seconde Egisthe « dans tant de loyauté et d’innocence, de se trouver rinfâme en face de ce parricide Même la mort n’arrive pas à séparer les êtres qui s’aiment.

Elle légitime l’union des amants « Et il y a pour l’éternité un couple Clytemnestre-Égisthe» COMMENTAIRE COMPOSE Au XVIIe siècle, les meurtres et les actions violentes sont bannis es scènes de théâtre à cause de la règle de bienséances Mers le XIXe siècle le mouvement romantique se démarque des ces règles littéraires très contraignantes et les dramaturges ont alors multiplié les morts sur scène.

Hippolyte Jean Giraudoux est un écrivain français né le 29 octobre 1882 et mort le 31 janvier 1944. Il est très connu pour son théâtre qui compte des pièces célèbres comme par exemple Electre(1 937) qui est une adaptation de l’odyssée d’Homère. Au XXe, Giraudoux renoue avec la tradition antique et les règles classiques. Pendant sa réécriture du mythe d’Electre, à la fin de la iece un personn PAGF3C,F7 les règles classiques.

Pendant sa réécriture du mythe d’Electre, ? la fin de la pièce un personnage assez étrange, le Mendiant, vient faire le récit récapitulatif du meurtre de Clytemnestre et de son amant Egisthe, cela se situe à facte Il scène IX de la pièce. Nous verrons tout d’abord dans un premier temps les châtiments et ensuite la mise en abîme présentée dans cette scène, le théâtre dans le Théâtre. Dans cette tirade du Mendiant nous pouvons retrouver la violence et la cruauté.

Tout d’abord on le peut remarquer avec les cris que Clytemnestre pousse qui seront perçues comme es cris de bêtes par Egisthe, ce qui fait une anmalisation de Clytemnestre. On retrouve un lexique de la boucherie comme avec le mot : « saignait pour tuer sa mère, Oreste frappa au hasard : « Il avait frappé au hasard sur le couple, en fermant les yeux » La victime va également essayer de se défendre mais cela sera sans résultat cela nous montre une vraie cruauté de la part d’Oreste.

La violence est représentée avec le lexique de la boucherie L’horreur de ce matricide est représenté avec le lexique de boucherie c’est-à-dire : « Mais on la saignait. Son fils la saignait » Le mot saignait est un mot assez choquant qui est avec une certaine approche du sujet et du complément. Lorsque l’assassin frappa c’est-à-dire Oreste frappa, il frappa avec les yeux fermés ce qui montre une certaine honte envers sa mère. On peut retrouver également un champ lexical de la parenté et des Atrides.

Clytemnestre reçoit une vraie punition de Clytemnestre reçoit une vraie punition de la part de son fils. Elle est tout d’abord présentée sous la forme d’une autre mère, c’est une mère indigne : « Mais tout est sensible et mortel dans une mère, même indigne Clytemnestre se cramponna au bras ‘Egisthe ce qui symbolise sa seule chance désormais dans la vie de se tenir debout : « Et elle se cramponnait au bras droit d’Égisthe. Elle avait raison, c’était sa seule chance désormais dans la vie de se tenir un peu debout. ? L’assassinat d’Egisthe est assez différent de Clytemnestre. pendant ce meurtre Egisthe essaye de se défendre : «Mais elle empêchait Égisthe de dégaine. » Il voudra également aussi se dégager de Clytemnestre qui est un obstacle pour sa lutte qui veut faire seule, pour pouvoir mourir seul mais il ny parvient pas : « Il la secouait pour reprendre son bras, rien à faire. Et elle ?tait trop lourde aussi pour sewir de bouclier. ? Alors il ne résista plus, il secouait seulement son bras droit, et l’an sentait que s’il voulait maintenant se débarrasser de la reine, ce n’était plus pour combattre seul, mais pour mourir seul, pour être couché dans la mort Ion de Clytemnestre. » Cela a l’alr tragique car Egisthe n’a aucune chance pour pouvoir se défendre. Egisthe s’est racheté. On voit une certaine métamorphose de pur et sacré : « Et il y avait encore cet oiseau qui le giflait de ses ailes et l’attaquait du bec. » Il ne cherche plus à mourir en un couple de criminel mais plut