depuis plus de 4 ans

depuis plus de 4 ans

Depuis plus de 4 ans, la situation de crise a malmené l’économie malgache. Toutefois, « le déficit de la balance commerciale s’est nettement amélioré de 67 millions de dollars par rapport au premier semestre de Fannée précédente C’est ce que confirme la Banque mondiale dans son étude sur l’évolution économique récente de Madagascar publiée au courant de ce mols. pour la banque, « la balance commerciale s’améliore grâce à l’exportation de produits miniers Le nickel est, selon la banque, devenu le premier produit d’exportation de Madagascar.

Son exportation génère en moyenne plus de 30 millions de dollars par mois, selon les Swp to page données de la Banqu « à son rythme actue s or2 cette année le niveau es Sni* to ouvrages en ces mati de produits exportés re assure qu’ kel excéderont textiles et é le principal groupe Pour le premier semestre de 2013, le déficit global s’élève à 91 millions de DTS. La réduction des flux d’investissements entrant et des autres investissements a, en effet, été plus impor importante que l’amélioration au niveau des transactions ourantes.

Ce déficit est financé uniquement par les réserves de la Banque centrale. Exportations de biens : hausse de 26 % La Banque mondiale explique

Désolé, mais les essais complets ne sont disponibles que pour les utilisateurs enregistrés

Choisissez un plan d'adhésion
que Famélioration de la balance commerciale « provient de l’amélioration de la balance des biens qui a contrebalancé l’amenuisement du solde des services. La structure des exportations est aussi modifiée. » Au total, les exportations de biens ont connu une hausse de 26 % au premier semestre. Cependant, les exportations sont tirées exclusivement par les produits miniers.

De leurs côtés, les exportations « hors minier » n’ont pas cessé de régresser de semestre en semestre depuis le début de l’année 2012. Les exportations de girofles, de produits pétroliers, de haricots et de litchis en sont les principales victimes. Les importations de biens ont crû moins vite que les exportations (+4 %). Avec l’achèvement de la phase d’investissement des grands projets miniers, on assiste au ralentissement des importations de biens d’équipement. La hausse est apportée surtout par les biens de consommation.