1) Présentation Dead by hamburger, tirée de la série dkfter Pop», est la photographie d’une installation réalisée en 2001 par: David Lachapelle artiste repéré par Andy Warhol qui le fait entrer comme photographe pour sa revue Interview, poursuit sa carrière comme réalisateur de clips vidéos et de documentaires. caractéristiques artistiques : goût pour le burlesque, l’humour, la dérision, l’absurde, l’excès, le surréalisme.
Composée de couleurs saturées, elle a été prise à l’extérieur, dans une ruelle. Elle correspond à l’époque moderne, avec la société de onsommation . com critique et caricature n société de consomm or2, to View nous prévient que ce en nous écrasant, so 1950) qu’elle e écrasée sous la hamburger, elle mmant, ou plutôt onne l’impression que ces objets sont essentiels et qu’on doit les acheter. Cette œuvre suit le courant artistique du pop-art. En 2009 a été organisé une exposition des œuvres de D.
Lachapelle à L’hôtel de la Monnaie, où était exposée Dead by hamburger. On pouvait y retrouver d’autres œuvres semblables, notamment avec la série «inflatable» : une canette de Coca-Cola ui écrase une voiture, une femme «embrassant» un hamburger, David Lachapelle est un photographe et réalisateur américain né le 11 mars 1963 aux États-Unis. Influencé par l’érotisme,
Beaucoup de ses œuvres ont comme but de dénoncer les excès de la société, et sont souvent sans trucage numérique («C’est beaucoup plus drôle, si on veut photographier une fille asslse sur un champignon, de fabriquer le champignon et de l’asseoir dessus, que de le faire à l’ordinateur. De même si on veut mettre une fille nue et un singe en plein Time Square… »). 2) Description Cette photographie, en couleurs saturés, représente un hamburger écrasant une femme dans une ruelle, à priori dans New York.
Au premier plan, un hamburger gonflable occupe la majeure partie de la photographie. Il écrase un personnage, manifestement une femme, dont on ne voit que les jambes : le reste est écrasé sous le hamburger. La femme a des chaussures à talons blanches et cloutées, avec des lacets qui lui entourent le mollet ; elle a également une culotte blanche et cloutée, ssortie à ses chaussures : cette tenue fait ressortir le côté sexy et aguicheur de la femme mannequin.
Le reste de ses jambes est nu. On peut aussi distinguer un soutien-gorge noir sur son dos Leurs ombres, qui indiquent qu’il est aux alentours de midi, sont sur un sol en goudron. Au deuxième plan, à droite du hamburger et de la femme, on voit une voiture jaune, plutôt sportive, aux vitres noires ; l’avant est caché par le hamburger et l’arrière est hors-champ. A gauche, une partie du mur d’un hangar gris est visible, avec une porte ouverte.
A l’arrière-plan, derrière la voiture jaune, une camionnette lanche est représentée sur le sol apparemment en asphalte, avec à côté d’elle un coin de mur brun, puis PAG » OF d représentée sur le sol apparemment en asphalte, avec à côté d’elle un coin de mur brun, puis on voit le ciel bleu devant lequel sont tendus des fils électriques La lumière met en avant le hamburger, la jeune femme, la voiture de sport et l’asphalte, tandis que le hangar est laissé dans l’ombre.
Toute la partie droite est elle aussi éclairée par le soleil. Grâce à cette lumière, sa position et sa taille, le hamburger est e qui attire immédiatement rœil ; on voit ensuite le mannequin écrasé sous le hamburger, puis la voiture, et ce n’est qu’après que l’on remarque le reste de la photographie. ) Interprétation Dans cette œuvre, nous pouvons supposer que le hamburger symbolise la société de consommation populaire, ainsi qu’un mode de vie américain rendu mondial, il incarne également la «malbouffe» et l’obésité, enfin nous pouvons également penser qu’il vient de l’affiche d’un fast-food, et symbolise donc aussi la publicité omniprésente et étouffante. La jeune femme aux jambes de mannequin représenterai quand ? elle le glamour, l’élégance, en incarnant un corps réputé parfait, et, d’après ses chaussures et la voiture qui semble lui appartenir, la richesse.
Cette photographie évoquerait donc la victoire «écrasante» de la société de consommation populaire, de la «malbouffe» et de de la publicité envahissante sur la beauté, la richesse et la perfection. Cependant, cette femme ressemble à un mannequin, et symbolise donc également la société de consommation : les mannequlns vendent un rêve faux et éphémère ; elles idéalisent leur corps pour le vendre et elles nous font croire le me