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Cours Internet premium Chapitre introduttil (Ci-dessous) Section 1 : L’évolution des relations Internationales (cl«dessous) Section 2: Les rapports théoriques entre le droit et les relations qu’il régit Section 3: Les rapports concrets entre le droit et les Emarketing Premium E-marketing Les IC P du Mix Marketlng: People – Process – Permission – Partenariats – Purpule cow – Physical experience – Politique de produit – Politique de prix – Politique de communication- Politique de distribution On DECATHLON QUESTIONS Définition programme de première Santé (selon l’OMS) La santé est un état complet de blen-étre physique. cial et mental qui ne consiste pas seulement en l’absence de maladie ou d’infirmité. Santé publique une discipline autano… Dossier Nouveaux Indicateurs De Performance En Atelier DOSSIER Quels sont les nouveaux indicateurs de performance en atelier ? Les nouveaux indicateurs de performance en atelier L’enjeu des entreprises industrielles est désormais le pilotage et la gestion de la industr_. CHAPITRE 1 L IDENTIFICATION DE LA CLIENTELE L’identification de la clientèle I, La démarche mercatique Dans une économie de marché, l’entreprise a pour rôle la production de biens et services qui doivent satlsfalre les besoins.

Le profit est alors la résultante de l’adaptatlon de l’offre socio culturelle3320150323 l’interdiction du recours à

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la force, le système de sécurité collective de l’ONU et son évolution Les relations internationales semblent uniquement régies par les intérêts des États, interêts stratégiques, dlplomatiques, économiques, etc. Les moyens mis au service de ces intérêts sont souvent violents (guerres. ) Le droit semble donc jouer un rôle assez effacé dans les relations internationales.

Le droit y joue en réalité un rôle non négligeable, car elles oscillent sans arrêt entre droit et violence. Chapitre introductif : le droit des relations internationales, un droit parmi d’autres Le droit est l’ensemble des règles juridiques qui régissent la vie en société. « Ubi societas ibi jus » : toute société sécrete du droit. Voyons tout d’abord quelle est cette société internationale. en société. « Ubi societas ibi jus » : toute societé sécrète du droit.

Section 1 : L’évolution des relations internationales – Les relations internationales durant la période classlque • une société relativement homogène dominée par les nations europeennes. Charlemagne avait reconnu la supériorité du Pape. Quand l’empire devint Saint-Empire Romain Germanique en 843, le conflit entre la papauté et l’empire réapparut. Le traité de Westphalie, en 1648, est considéré comme l’acte de naissance des États modernes. On parle parfois de crise du modèle westphalien, car d’autres acteurs que les États s’inscrivent dans le droit international. – Une OF go acteurs que les États s’inscrivent dans le droit international. I – Une société devenue relativement homogène Au départ, l’homogénéité économique se traduisait par le mercantilisme, mais à partir du milieu du 18ème siècle, elle peut ?tre décrite en termes de capitalisme libéral. Le mercantilisme est une doctrine qui estime que l’État nation naissant doit être puissant, donc riche. Il lui faut alors des métaux précieux. L’économie est alors orientée vers l’obtention de ces métaux, il faut vendre en masse à l’étranger et importer le moins possible.

Pour cela, l’objectif est de protéger l’économie nationale, le mercantilisme est donc protectlonnlste. A cette première phase protectionniste a succédé une phase d’expansion du monde, notamment par la colonisation. Le capitalisme libéral est la doctrine selon laquelle les échanges nternationaux doivent être le moteur de la croissance, les États doivent donc s’ouvrir au commerce mondial, commerce devant se faire sans entraves. Aujourd’hui, ce libéralisme absolu est parfois contesté au profit d’un retour à un certain protectionnisme.

Cette homogénéité est aussi idéologique, notamment au niveau européen. En 1856, le traité de Paris qui met fin à la guerre de Crimée entre la France, l’Angleterre et la Russie, exclut l’empire Ottoman du concert des relations européennes. Cela n’exclut pas qu’il y ait des conflits idéologiques, d’intérêt. Le conflit idéologique ésulte toujours d’un conflit d’intérêt, mais la réciproque n’est pas vraie. Conflit idéologique : c’est un conflit idéologique qui a formé la Sainte-Alliance en 1815. Elle était le défenseur des monarchies contre les velléités révolutionnaires. ontre les velléités révolutionnaires. Il s’agit donc de l’Autriche- Hongrie, de la Russie et de la Prusse. A la base, il y avait un conflit d’intérêt . la noblesse contre la bourgeolsie montant. Il s’agissait de surcroît de lutter contre le principe des nationalités, propagé par les guerres napoléoniennes, selon lesquelles le souverain doit ?tre accepté par le peuple. Ce principe est à l’origine du « droit des peuples à disposer d’eux-mêmes » du 20ème siècle. Conflit d’intérêts : c’est un conflit entre l’Angleterre et les Pays-Bas au sujet du droit de la mer.

Cela déboucha vers une opposition. La puissance des Bataves tendit à remporter sur celle de l’Angleterre qui fut pourtant ultra-dominantes des siècles durant. Se posa alors la question des principes juridiques qui vont régir les mers : liberté ou réglementation ? L’intérêt à la liberté revient à la Hollande afin de continuer à dominer, la réglementation ervira plutôt à se protéger, c’est donc dans l’intérêt de l’Angleterre. Henri Lacordaire : « Entre le fort et le faible, c’est la règle qui affranchit et la liberté qui opprime. ? Tout ceci est à l’origine d’un conflit doctrinal entre le Hollandais Grotius (considéré comme le père du droit international), qui a écrit en 1 609 Mare Liberum, dans lequel il prône la liberté des mers, et l’anglais Selden, auteur en 1 635 du livre Mare Clausum. C’est le principe de la liberté des mers qui l’a emporté. Cette controverse se retrouve à Iheure actuelle entre les pays développés et ceux en voie de éveloppement ; les pays riches défendant la liberté des mers contre la réglementatio OF go de développement ; les pays riches défendant la liberté des mers contre la réglementation voulue par les pays du sud.

Cest robjet de la convention annuelle de Montego Bay (Jamaïque) qui régit les droits des mers. La différence entre concept formel et concept matériel est fondamental en droit. Presque la totalité des concepts juridiques peut avoir une approche formelle (extérieure, histoire, volontés, etc… ) et matérielle (contenu). Il – une domination par les nations européennes – La première vague de colonisation Il s’agit ici de la colonisation des pays du sud de l’Europe.

A Bref rappel des événements La colonisation a débuté à partir des grandes découvertes, notamment à partir de la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb en 1492. Cette première vague a été la colonisation portugaise et espagnole. Un an après Parrivée de C. Colomb en Amérique, le Pape décide dans une Bulle papale de diviser le monde en deux , il donne la parte occidentale de l’Amérique du Sud à [‘Espagne, et la partie orientale au Portugal. Ces deux puissances entérinent ce partage du monde par le traité e Tordesillas en 1494, avec l’Amérique du Sud pour VEspagne et l’Inde pour le Portugal.

Vasco de Gama quitte le Portugal en 1497 et arrive en Inde en 1498. Deux ans plus tard, en 1500, Cabral (autre grand navigateur portugais) part pour l’Inde et … découvre le Brésil ! Il s’ensuit que les deux grandes puissances modifient le traité de Tordesillas pour finalement attribuer le Brésil au Portugal. L’empire portugais s’est développé essentiellement par le biais des comptoirs en Afrique, en Inde et sur les côtes de l’Amérique du Sud. Il s’est modelé durant cette PAGF s OF go omptoirs en Afrique, en Inde et sur les côtes de PAmérique du Sud.

Il s’est modelé durant cette première moitié du 16ème siècle. La deuxième moitié su siècle, l’empire espagnol base sa colonisation sur l’exploitation des matières premières en Amérique Latine. Les pays du nord refusent en réalité la traité de Tordesillas et décident de coloniser ce nouveau monde. Ils vont employer des méthodes différentes, utilisant notamment les compagnies ? chartes, des compagnies privées. Nommons ici la compagnie des Indes Occidentales (Amérique) et celle des Indes Orientales (Asie. )

Chaque pays possède ses propres compagnies : la compagnie des Indes Orientales anglaise est créée en 1600, celle des Indes Orientales hollandaise en 1602 et celle de la France en 1664 avec Colbert. Le roi octroie ici le monopole de l’exploitation économique aux compagnies qui doivent découvrir les territoires, les peupler et les évangéliser. Les treize colonies anglaises en Amérique du Nord ont parfois été créées par des compagnies ? chartes. B – Les aspects juridiques La colonisation est [‘occupation territoriale (comptoirs, peuplement, etc. et la domination économique et culturelle. On parfois souhaité la justifier. En ce qui concerne le continent américain, on peut faire référence à un ouvrage de l’Espagnol Vitoria, auteur de Leçon sur les Indiens en 1539, ouvrage dans lequel il prend position sur les règles devant gérer les relations entre colonisateurs et Indiens. Il estime que les Indiens ne sont pas esclaves par nature, ils n’ont pas perdu leur pouvoir en raison d’une quelconque fablesse mentale. Les peuples Indiens ont une certaine souveraineté et il justifie alor 6 OF go quelconque faiblesse mentale.

Les peuples indiens ont une certaine souveraineté et il justifie alors la conquête par le fait ue s’ils refusent de commercer alors il est légitime de déclarer la guerre, si les richesses indiennes ne peuvent être acquises par l’échange, alors on a le droit de les acquérir de force. un deuxième type de justification est la théorie de la res nullius : si un territoire n’appartient à personne, on peut se l’approprier. Cette théorie a été utilisée pour justifier les conquêtes territoriales dans des endroits peu peuplés.

Cela est d’actualité lorsque l’on se réfère à la controverse concernant le Sahara occidental. Le Maroc souhaite s’en emparer contre l’Espagne et obtient en cela le soutien de l’Algérie. La cour internationale a estimé en 1976 qu’il ne s’aglssait pas d’une terra nullius, et que l’idée selon laquelle le peuplement limité autorisait la conquête ne s’appliquait pas ici. L’esclavage se développe à l’époque car il n’est pas considéré comme contraire aux différents droits.

Europe • Pacotilles • Afrique Esclaves • Amérique • Marchandises Europe C’est le commerce triangulaire, qui au départ est monopolisé par le Portugal et les Pays-Bas. En 1759, le commerce triangulaire est libéré, il n’est plus un monopole des compagnies portugaises et néerlandaises. Ci-dessus, une carte représentant les échanges du commerce triangulaire (ou traite atlantique/occidentale) C – La première décolonisation La première décolonisation s’opère en Amérique, d’abord au nord puis au sud.

C’est dans la deuxième moitié du 18ème siècle que les colonies anglaises se libèrent de l’influence anglaise et mènent à la création des US 7 OF go que les colonies anglaises se libèrent de l’influence anglaise et mènent à la création des USA. Cela débute en 1775. La déclaration d’indépendance est datée du 4 juillet 1776. L’indépendance ne devient réelle qu’en 1783 avec le traité de Paris qui reconnaît l’existence d’une république fédérée des États-Unis. Ceux-ci ayant malgré tout accepté le droit libéral et capitaliste de l’Europe, une certaine affiliation.

La décolonisation en Amérique Latine est postérieure, du début du 19ème siècle. En 1806 s’effondre l’empire colonial espagnol, et en 1822 celui du Portugal avec l’émancipation du Brésil. 2 – La deuxième vague de colonisation A – Bref rappel des événements Le 19ème siècle est marqué par une forte expansion démographique et cela pousse à une nouvelle vague de colonisation, surtout dominée par les pays du Nord. Les nations du Nord s’opposent dans une course à la colonisation, notamment la France et l’Angleterre.

Elle se situe environ entre 1840 et 1914 et va concerner essentiellement l’Afrique et PAsie. A cette époque, on n’a plus cherché à prendre en compte les théories de res nullius. Les relations entre colonisés et colonisateurs devaient être fondées sur l’accord, la justification de la colonisation était donc que tout le monde était d’accord ; bien qu’en réalité il s’est agit d’un accord entre deux camps inégaux. Prenons ici l’exemple du traité du 19 février 1842 entre la France t Peter, roi de Grand-Bassam (Côte d’Ivoire. Les rois africains vont ici donner à la France la souveraineté de l’État, en échange de pacotilles et de la protection de l’armée française. C – La décolonisation des années 60 de pacotilles et de la protection de Parmée française. La décolonisation ne s’est faite que durant la seconde moitié du 20ème siècle, et a débuté par des mouvements d’émancipation après la seconde guerre mondiale. Les colonisateurs vont donc chercher à créer des structures supra-étatiques afin de garder une certaine emprise sur les pays colonisés.

C’est l’origine du Commonwealth britannique, bien qu’en réalité cela eut été plus aisé pour la Grande-Bretagne que pour la France dans la mesure où elle avait maintenu une certaine autonomie dans les colonies. Jusqu’au milieu du 20ème siècle, les relations internationales étaient marquées par une domination européenne, remise en cause par deux vagues de décolonisation. Au-delà de leurs divergences les États européens étaient marqués par une certaine convergence autour du mercantilisme puis du capitalisme libéral. 2 – Les relations internationales au 20ème siècle jusqu’à la chute u mur de Berlln : une société hétérogène traversée par deux conflits majeurs. La société moderne jusqu’à la chute du mur de Berlin en novembre 1989, est traversée par deux conflits majeurs. L’Europe jusqu’alors dominante, a été déchirée par deux conflits armés majeurs. La première guerre mondiale a eu des conséquences importantes, avec le commencement de l’ingérence des États- Unis dans les affaires européennes.

C’est aussi à partir de ce conflit qu’apparaît la volonté de construction d’une organisation internationale des États avec la création de la SDN. La seconde uerre mondiale est la source du développement du droit international concernant les droits de IHomme ; notons ici la D PAGF OF go source du développement du droit international concernant les droits de VHomme ; notons ici la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme signée par les membres de PONCI en 1948, et la convention pour la prévention et la répression du crlme de génocide signée en 1948.

I – Le conflit Est-Ouest Il s’agit au début du conflit Occident/Russie, mais cela a été compliqué par l’arrivée de la Chine sur la scène internationale. On peut dater le début de ce conflit à l’année 1917, avec la naissance u premier État marxiste en Russie. À ce moment-là est créée l’Union des Républiques Soviétiques Socialistes. Elle va se heurter au système qu’elle souhaite abolir : le capitalisme. La domination européenne est ensuite remplacée par un bipôle : le pôle occidental autour des U.

S. A et le pôle soviétique autour de l’URSS. On parle de guerre froide, avec la formule de Raymond Aron : « Guerre impossible, paix improbable. » La guerre froide pourrait donc être définie comme un état de tension extrême entre les deux blocs s’arrêtant au seuil de l’affrontement armé direct entre es deux blocs. Les débuts de la guerre froide ont été marqués par certains épisodes tendus. L’URSS s’entoure dabord d’un glacis protecteur.

Le plan Marshall en 1947 et son refus de la part de l’Europe orientale est un autre élément. Le coup de Prague et la prise de pouvoir des communistes en 1948, le blocus de Berlin en mai 1948 et enfin la guerre de Corée, viennent entériner cette situation d’opposition aux débuts de la guerre froide. Le conflit Est-Ouest ne s’arrête pas à la mort de Staline, étant donné qu’il s’agit d’un conflit essentiellement idéologlque ; il était donc destiné à perd