Commentaire « 3h56 » Poste restante De Gilles ortiieb (1997) Étape 1 Gilles Ortlieb écrit « 3h56 un poème de son recueil Poste restante, en 1997. Mouvement : Poésie contemporaine, Nouveau Roman Auteur : Cest un poète, prosateur, essayiste et traducteur français Né le 20 mai 1953 au Maroc et vie maintenant au to nextggge Luxembourg. Poème de forme libr de rimes. ors « 3h56 » : Titre origin m. : faisant penser à une Résumé : l’auteur rac Porto à Salamanca, du Portugal Étape 2 : alité du sujet, pas n, heure précise Liculier car chiffres. train qui va de l’Espagne.
Champs lexicaux : -Du voyage : « bruyant convoi ; gares paysage ; frontière ; passager ; wagon ; voyager » -Du temps : « 3h56 ; traverser ; puis ; ralentit ; longtemps ; rester ; lentement ; à l’arrivée » -De la nature : « campagne ; paysage ; oignon ; relief ; bruyère ; vigne ; eucalyptus » Allitérations : -En « r « s » Verbes : à l’infinitif, Phrases : Non terminées : enjambement, phrases rallongées, Ponctuation : rare ponctuation, (prose intervient à la fin et au milieu(à l’hémistiche), qui fait un rythme particulier) ?
Mais pas de connotations religieuse dans le texte l) VOYAGE EN TRAIN -Description du voyage -Description du paysage – La gare et le train IDLE VOYAGE DE L’AUTEUR -L’auteur en passager Les pensées sur le voyage de l’auteur -Le ressentit de l’auteur Problématique : Par quels moyens l’auteur exprime-t-il son besoin de voyager poétiquement et spirituellement ? INTRODUCTION Gilles Ortlieb est un auteur, oète rosateur, essayiste et traducteur français. II est n 953 au Maroc, et il vit spirituellement ?
D’abord par un voyage en train, avec une description du voyage, du paysage puis une avancée vers la gare et le train, et par un voyage personnel avec l’auteur en passager, les pensées sur le voyage de celui-ci, et par son ressentit. D’une part, l’auteur décrit son voyage en train en commençant par le titre de son œuvre, « 3h56 c’est une horaire précise entre la nuit et le matin, ce titre connote une horaire de train, il est également particulier car ce ne sont que des chiffres.
Le champs lexical du voyage rappelle l’idée directrice de ce poème avec les mots : « bruyant convoi ; gares ; frontière ; passager ; wagon voyager l’auteur veut nous faire partager son voyage. D’autre part, le champs lexical de la nature connote comme une approche du poète vers l’action : « campagne ; paysage ; oignon , elief ; bruyère ; vigne ; eucalyptus et également avec la personnification : « La campagne accroupie » qui fait référence au convoi ralentit et à la nuit sombre.
Le coté mystérieux est également présenté avec la personnification : « Puis le paysage ralentit avant la frontière, s’immobilise en grinçant l’auteur explique qu’en fait, le train s’arrête et non le paysage, mais avec la noirceur de la nuit, on pourrais croire que le paysage est anlmé et que celui-ci bouge. Cela donne une atmosphère mystérieuse du voyage Puis avec « un chapelet de gares », on peut imaginer ici une uccession de gares, chaque arrêt peut être représenté par une perle, sans connotations religieuses dans le poème. On peut en déduire que l’ perle, sans connotations religieuses dans le poème.
On peut en déduire que l’auteur exerce une approche progressive vers l’action, comme un mouvement de train. Le convoi de l’auteur n’est pas présenté très méliorativement avec les vers : « Et le wagon tout entier sent l’oignon entamé, le tabac refroidi et les conversations inachevées. mais il peut être contre-dis avec une antithèse avec les vers : « dans le jour débutant, le relief entement changer la bruyère supplanter la vigne, et les bordées d’eucalyptus se raréfier sur les côtés l’auteur raconte en fait le levé du jour que visiblement, il préfère à la nuit.
Après avoir étudier le voyage en train de l’auteur, nous allons étudier le voyage personnel de l’auteur. D’abord l’auteur fait comme une approche progressive vers l’action principale, il décrit d’abord son voyage dans la nuit « La campagne accroupie dans l’obscurité puis avec « l’éternel passager on peut voir qu’il commence à décrire précisément ne personne, enfin, avec les trois derniers vers « Et l’on devient soi-même,encore une fois, Un autre-à quoi Et celui qui déjà ,nous attend à l’arrivée. ?, le poète montre qu’il parle en fait de lui, qu’il ne voyage pas pour la première fois. Cela donne un côté de voyage initiatique au poème, puis avec les enjambements lors de longues phrases comme avec : « La bruyère surpplanter la vigne, et les bordées D’eucalyptus se raréfier sur les côtés le poète fait un éloge de ce voyage, même si il y a une ambiance particulière. Puis, les pensées de l’auteur peuvent être PAGF