Commentaire Un misanthrope est une personne qui possède une opinion défavorable, qui hait et méprise le genre humain. Molière est un célèbre comédien et dramaturge français du XVIIeme siècle dont il à créer plusieurs comédies très célèbres comme Les fâcheux, L’École des femmes ou encore Les femmes savantes Le Misanthrope ou l’atrabilaire amoureux est une comédie écrite et mise en scène par Molière en 1666. Cette comédie se compose d’un personnage principal, Alceste qui hait l’humanité et les gens alhonnêtes qui est donc ici notre misanthrope.
Il dénonce aussi l’hypocrlsie sociale. C de l’acte Il que nous hypocrisie suite à la lui. Dans cet scène d de rester dans la salo PACE 1 ors t dans la scène IV humanité et son imène de vivre avec se trouve contraint e où celle-ci ce livre avec ses invités au jeu du portrait qui consiste à critiquer des personnes qui ne sont pas présente dans un lieu de réunion mondain ou l’on pratique des activités . Ce lieu ce nomme un salon. Nous pouvons nous demander comment Molière critique-t-il la ociété à travers des caractères précis pour en former une critique général sur celle-ci ?
Pour cela nous étudierons ce passage en deux axes, le
Dans ces critiques satiriques elle emploie des hyperboles comme dans ces extr (vers 579) . Dans ces critiques satiriques elle emploie des hyperboles comme dans ces extraits « de la tête au pied » (vers 586) « il assomme le monde » (vers 590) « je souffre le martyre » (vers 605). plus on progresse dans la scène plus les portraits son longs. Cela crée un effet de gradation qui va du plus court portrait au plus long. Ce portrait ce termine par Damis qui est une version masculine de Célimène.
Cependant en critiquant Damis Célimène ce critique elle même c’est à dire de l’auto-dérision mais elle ne s’en rend pas compte . Nous avons ici implicitement un troisième portrait. Le présent de vérité général règne dans cet extrait avec l’utilisation du sujet « on ces portraits satiriques offres donc une morale comme une petite fable. Nous pouvons constater dès le début de la pièce que cette scène compose un théâtre dans le théâtre car il y a la présence de spectateurs et de « sièges » (vers 561) ce qui suppose que
Célimène est la seul debout dans son salon. Dans ces portraits ce dresse un jeu de langage. Les portraits ne dépassent pas plus de dix vers puis Célimène intègre une chute à la fin de chaque portrait : « Et ce n’est que bruit que tout ce qu’on écoute » (Vers 582) « Et jusques au bonjour il dit tout à l’oreille » (vers 594) Ces chutes clôturent donc chaque portrait réaliser par Célimène. Les jeux de mot reposent sur les antithèses « ne rien dire avec de grands discours » (Vers 580) « sans aucune affaire est toujours affairé »