a une différence ess qui s’intitule « Aujour malheureux d’un pèr Ainsi on peut voir tou sorte de avant/après Commentaire La Cocinelle Victor Hugo Premium gy Xperike Maa 02, 2015 IO pages Introduction Poète, romancier, dramaturge, critique, Victor Hugo (1802-1885) est l’un des auteurs les plus connus en France notamment pour « Le dernier jour d’un condamné » ou encore « Les misérables », il est présenté comme un poète incontournable du XVIIème siècle. A la tête du mouvement romantique, il avait révolutionné le théâtre et inventé une nouvelle langue poétique.
Le poème que nous allons étudiés est extrait des contemplations en 1856, La Coccinelle figure dans la première partie du recueil intitulé « Autrefois » ce poème est présenté comme une fable ou un apologue. Victor Hugo affirme que Fon peuty lire « les poèmes d’une âme cela commence comme un sourire il y Swipe Lo nexL page or 10 Sv. i* to View partie du recueil es sentiments crit et d’un exilé. évolution et une e SI nous savons que ce recueil a été écrit en une tois. La Coccinelle est datée de 1830 mais en réalité elle a été écrite en 1854 : Au moment où
Hugo termine un poème
Ce poème se présente comme un ouvenir tendre qui vient teinter d’une lumière l’homme ravagé par la mort d’une proche. Le poème est découpé en cinq strophes composées de quatrains. Les vers sont en heptasyllabes, ils sont courts et offre donc une certaine légèreté à l’ensemble. Le poème se présente telle une petite histoire, voire une fable. C’est une anecdote amusant qui raconte la mésaventure d’un baiser volé que le poème transforme en baisé raté, un souvenir d’adolescence d’un amour perdu.
Il conte une histoire d’amour et en même temps une occasion perdue pour le jeune homme. Les 4 premiers quatrains constituent un locus amoenus d’un rendez-vous amoureux dans le jeu de la séduction, et le quatrain final constitue une morale. Il évoque l’apprentissage amoureux ainsi que l’approche du premier baiser. Victor Hugo renvoie à une mésaventure personnelle qu’il a eue à 16 ans. Victor Hugo, est âgé de 54 ans lorsqu’il compose ce poème il y peint la naiveté adolescente au travers de l’échec d’un baiser volé.
Cette image représente assez bien le poeme, elle symbolise le doux glissement de l’enfance à l’adolescence. Par quel procéder stylistique Vic 10 oème, elle symbolise le doux glissement de l’enfance ? l’adolescence. Par quel procéder stylistique Victor Hugo renvoi t’il a un amour de jeunesse perdu ? l) Le regret d’une idylle pour le moins surprenante. Un locus amoenus est présent dans ce poème en effet on peut retrouver une idylle amoureuse, de la nature « les fauvettes pour nous voir » vers 11 ou encore « se penchaient dans le feuillage » vers 12.
En lisant le poème on peut voir un détail qui peut nous intriguer, en effet tout au long du poème, on assiste plus ou moins à un dialogue entre le jeune homme et la occinelle, la demoiselle n’est mentionnée que très rarement. L’idylle commençait pourtant bien, en effet on peut voir une certaine sensualité dans le début du poème, lorsqu’Hugo décrit la jeune femme. Lors du premier quatrain les trois premiers vers sont consacrés à la jeune femme, et le dernier vers est lui consacré à la coccinelle.
On retrouve cette construction pour le deuxième quatrain mais lors du troisième quatrain l’attention du jeune homme est entièrement tourné vers la bête, il la décrit « on eut dit un coquillage » vers 9, « Dos rose taché de noir » vers 0. Cependant cette hésitation est d’autant plus marquée dans le quatrième quatrain, dans cette strophe on peut voir l’esprit brouillé du jeune homme qui est aussi présent avec l’antithèse vers 5 « J’aurais dû mais, sage ou fou Ainsi on peut voir une description de ce qui aurait pu être le pre mais, sage ou fou ».
Ainsi on peut voir une description de ce qui aurait pu être le premier baiser de Hugo vers 13-14 puis il refait référence à la coccinelle vers 15 et enfin vers 16 il fait une confusion entre la fille et la coccinelle «Mals le baiser s’envola » l associe le baiser, qui représente la jeune femme et le verbe s’envoler qui fait référence à la coccinelle. Ce fait est accentué par la construction elliptique de ce vers, on peut penser que l’ellipse représente un temps de réflexion.
L’émotion du désir n’est pas absente mais rend compte de réveil de la sensualité. Les couleurs sont tendres « roses » vers 4 et 10 et « bleu » vers 18 la grâce des courbes « l’insecte à son cou » vers 8 et des mouvements disent la fraicheur de la jeune fille. Tout cela pourrait nous faire d’autant plus penser à un triangle amoureux On peut suivre es étapes d’une comédie à 3 personnages « je » « elle » « la coccinelle » même verbe déclaratif en situation initiale et finale ouvre et ferme le récit dans une vivacité dramatique scénique.
La variété des rythmes disent la différence des deux dispositions psychologique des adolescents : La jeune fille a un caractère vif et plus direct que traduit les vers 1 et2 « quelque chose me tourmente » et l’irrésolution du jeune homme est rendu au vers 9 et 10. A l’appel du désir la jeune fille succède l’errance du jeune homme qui semble opposé à un dilemme. Les fauvettes semblent complices de cette 0